Garfield, Tome 40 : Garfield fait le poids

Garfield fête ses 24 ans à l'occasion de ce quarantième album ! Et effectivement, le célèbre matou fait le poids !

L'album est clairement placé sous le signe de l'amusement. Pas de lundi, ni de régime, ni de sport : Garfield est vraiment à la fête. de nombreuses piques suscitent une franche rigolade, ce qui démontre une nouvelle fois le talent de Jim Davis malgré ces nombreux albums.

Les gags en une page cassent la dynamique du sacro-saint rythme des trois cases. Ces histoires qui n'en sont pas vraiment donnent l'impression qu'elles auraient pu gagner à être résumées. Très honnêtement elles donnent même l'impression de faire du remplissage.

Voici donc un album, qui propose des gags amusants et qui se laisse lire de manière plaisante, surtout en été. Dommage que ce rythme ne soit pas tenu jusqu'à la fin...

Garfield fait le poids. Avec tout ce qu'il mange, ce n'est pas surprenant. Cet énorme chat, qui fête son vingt-quatrième anniversaire dans ce tome, n'est jamais rassasié. le peu de temps qu'il ne consacre pas à la nourriture, il le passe à dormir, ou à tourmenter son maître et le chien de ce dernier.

Comme je l'avais annoncé dans une précédente chronique, j'ai voulu me tourner vers un volume un peu plus récent de cette bande dessinée, en espérant y déceler une petite évolution. Malheureusement, il n'y en a pas vraiment, si ce n'est au niveau des illustrations. Rien de bien transcendant, mais je les ai préférées.

En ce qui concerne les gags, en revanche, rien ne change. Certains m'ont plu (c'est-à-dire les plus cyniques), d'autres m'ont laissée de marbre. L'anniversaire de Garfield, par exemple. Je suppose que vingt-quatre ans, c'était l'âge de la BD au moment de sa parution, mais qu'est-ce que ça apporte ? Aucune des blagues à ce sujet ne m'a arraché ne serait-ce que l'ombre d'un sourire.

Pourquoi est-ce que je m'obstine à lire Garfield, alors, puisque je n'en ressors jamais réellement enthousiaste ? Eh bien, même si c'est un peu plat et très redondant, je ne peux pas dire que je n'aime pas.

Pour être exacte, j'apprécie son côté lecture rapide et sans prise de tête. Peu de dialogues, des scènes courtes et un brin d'amusement. En fonction du contexte ou de mon état d'esprit, c'est parfois tout ce dont j'ai besoin. Voilà pourquoi je continue (et continuerai) à acheter et à me plonger dans ces bandes dessinées, malgré une opinion mitigée.
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Bah c'est Garfield! Pour les amateurs, il est toujours aussi amateur de lasagne, embête toujours john et ce pauvre Odie.
Je suis fan et j'adore ce gros matou ventru... et comme il dirait "I hate Monday!"