Dans ce roman picaresque et fou, on apprend que le nombril de Pierre est une zone érogène, on croise
Sempé et Goscinny, du sexe, un boa qui coûte une jambe à
Copi, un requin, encore du sexe, des triplés... La fiction se confond avec la réalité, mais les cadavres s'empilent -à moins que, comme Pamela dans Dallas, on ne se rende compte que tout n'était qu'un rêve... C'est cru, crade, Cillel et
monstrueux.
Copi se demande d'ailleurs si le
roman sera publié -son éditeur n'en est pas sûr, il le trouve "abominablement snob".
En exergue de sa postface, le dramaturge Thibaud Croisy cite
Pierre Bourgeade.