Dans ce second volume sur le mythe de Mu, l'auteur s'attarde sur les survivants de cette civilisation antédiluvienne. Selon lui, ils sont allés coloniser d'autres parties du monde. Ils ont enseigné leur savoir tout en gardant secret les principaux secrets de la haute technologie qui avait été atteinte sur Mu...
(ouvrage paru dans les années 30)
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Au cours de mon voyage en Amérique centrale, j'ai appris des Indiens qu'il existait encore au fond des forêts touffues du Honduras et du Guatemala des villages d'Indiens blancs et blonds. Un de mes interlocuteurs affirmait avoir vécu pendant plusieurs semaines dans un de ces villages, et avait obtenu de ses habitants les récits les plus authentiques que j'ai jamais entendus sur les Quetzals. Leur langue est maya, et ils affirment être les descendants de ceux qui ont fui dans les forêts quand leur roi Quetzal a été vaincu et détrôné.
Lors de la destruction de Mu, sa population était extraordinairement civilisée et ses progrès scientifiques dépassaient tout ce que nous pouvons connaître aujourd'hui, ce qui n'a rien de surprenant, puisque ce peuple avait deux cent mille ans d'expérience, alors que nos débuts scientifiques ne remontent guère qu'à un demi-millénaire!
Les grandes civilisations des anciens empires orientaux — Babylone, l'Inde, l'Egypte, etc. — n'étaient que les derniers feux de la civilisation de Mu, ses enfants qui moururent quand elle ne fut plus là.
Au nord-est, enfin, un troisième courant colonisateur n'alla jamais plus loin que l'Amérique du Nord, Nevada et Mexique, et l'Amérique du Sud, au Pérou, où l'on trouve des traces des canaux évoqués plus haut au sommet de la cordillère des Andes, près du lac Titicaca. Des vestiges de peuples extrêmement anciens ont été trouvés de l'Alaska au cap Horn et un fait s'impose: aucun vestige humain très ancien n'a été découvert près des côtes.
James Churchward's Theories Part 1 (en anglais)