Écrire c'est une nouvelle occasion de laisser une valise de mots derrière toi et de t'en libérer.
C’est bien plus stimulant, de commencer mes journées par un sourire plutôt qu’une mine morose qui ne m’inspirait qu’une seule envie, celle de fuir mon reflet. J’apprends à m’aimer.
J’espérais qu’un homme me libère, comme un chevalier délivre sa princesse. Pourquoi m’aurait-on lu tant de contes, si les princes charmants n’existaient pas pour de vrai ? J’attendais le mien comme on attend qu’un brin de soleil perce les nuages, pour qu’il nous enveloppe de chaleur.
Les faiblesses des hommes
font la force des femmes…
Voltaire.
Aujourd’hui, je vais faire une légère entorse à la règle, les limites sont parfois faites pour être dépassées.
C’est tout ce que je possède. À mon âge, il ne me reste plus que des souvenirs, et je refuse qu’une femme me les dérobe.
Souvent, on entend dire qu’on retrouve dans le verre les arômes du sol dans lequel la vigne pousse. C’est grâce aux minéraux présents dans le sol. Tu vois, par exemple, le vin que nous sommes en train de boire, eh bien les amateurs disent, sans que cela soit péjoratif, qu’il sent le caillou.
C’est la différence des sols et du climat qui modifie les arômes du vin. Les vins du Sud sont beaucoup plus ronds, leurs arômes de fruits beaucoup plus prononcés. Ils font penser à des fruits confits. Cela, on le doit au climat méditerranéen qui charge les raisins de soleil.
Manger est un besoin de l’estomac, boire est un besoin de l’âme.
C’est leur tout premier baiser. Enlacés, ils parlent du beau temps et lisent encore du beau temps dans leurs yeux. La pluie ne fait plus partie de leur réalité.