Dieu et Diable, rébellion et capitalisme, se côtoient dans le rap. En passionné, Sylvain Bertot s’empare de ces contradictions, et tente d’éclaircir le lecteur.
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Et le rap qui a vraiment imposé sa marque, celui qui a triomphé, le gangsta rap, a pris un malin plaisir à abattre l'édifice patiemment construit par la génération de la lutte pour les Droits Civiques, remplaçant l'engagement politique par le nihilisme, l'élévation spirituelle par un matérialisme éhonté, le respect des femmes par la misogynie.