Tout l’attirail des traits est déployé sur la feuille. Largement, amplement ; et même parfois jusqu’à ne plus laisser sur la feuille une seule marge libre. De quelque manière que l’on regarde le dessin de François de Asis, vertical sur le mur ou à plat sur une table, la foule, petite ou grande, des traits noirs a été jetée, on le voit du premier regard, largement. Le dessin est un filet jeté sur la feuille, une pensée jetée sur le monde.