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3,62

sur 5367 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Un roman de la veine des "feel good", qui, comme les autres livres de ce type, ne présente que peu d'intérêt. On peut prendre du plaisir à lire ce genre de livres car il nous encourage à être plus positif, voir la vie du meilleur côté, dire non au stress et aux "exigences" quotidiennes. Je suis assez d'accord car c'est aussi ma façon de voir la vie. Quel est l'intérêt de courir pour prendre un métro parisien alors qu'il y en a un toutes les 2 minutes en moyenne ? En revanche, ma méthodologie suivie par ces livres, et particulièrement celui-ci, me gêne énormément, d'autant plus qu'il n'a aucun recul sur ce qui est avancé. Premièrement, quel est l'intérêt de situer l'action au Népal, ou tout autre lieu loin de l'Occident, pour avancer des préceptes bien occidentaux (retour aux sources et compagnie) ? Tout simplement pour vanter les "valeurs ancestrales et religieuses" (dixit p.120). Ah bon ? C'était mieux avant ? Juste pour rappel, si ces valeurs ancestrales et traditionnelles sont si merveilleuses, on devrait alors enlever le droit de s'exprimer en société aux femmes, les marier de force à 10 ans pour respecter la tradition, ne les autoriser qu'à faire le ménage et la cuisine, et à enfanter. Pas sûre que l'auteure dirait la même chose si elle avait pris dur recul sur ce qu'elle dit. Aucune des personnes de ces fameuses sociétés "exotiques", régie par des lois religieuses et traditionnelles, n'est heureuse. Elles ont appris à cultiver une forme de bonheur quotidien car elles n'ont pas le choix, sinon leur quotidien, écrasé par ses us et coutumes, serait un enfer. C'est très différent de ce qu'avance l'auteure, ou de qu'elle a cru voir superficiellement avec ses yeux d'occidentale partie à la rencontre des peuples autochtones. Et un discours qui rappelle furieusement le discours du "bon sauvage" (Diderot et compagnie). Les "enseignements" de ce livre relève de la foi (on y croit ou pas). Cela ne me dérange pas. Mais je suis dérangé quand on essaye de justifier des croyances ou qu'on prône des comportements insensés. Dire qu'on peut éviter un rhume juste parce qu'on a décidé d'être en bonne santé, c'est tout simplement dangereux car, non seulement c'est complètement faux, mais en plus nombre de personnes vont se dire que c'est vrai avec toutes les maladies. Essayer d'expliquer l'effet placebo "je vais mieux car je suis positif" (qui existe, c'est scientifiquement prouvé, mais c'est aussi scientifiquement non expliqué) par des arguments scientifiques mal compris est une aberration. Cela rejoint le créationnisme. Alors non, les atomes ne sont pas composés de vide. L'auteure n'a à priori pas du tout compris la notion d'orbitales électroniques: les électrons sont en mouvement perpétuel autour du noyau, ce qui fait qu'à un temps t, ils sont à une position précise, mais sur une durée, ils occupent tout l'espace. Il n'y a donc pas de vide dans un atome. Loin de là. Et non, la théorie des cordes n'a jamais été prouvée (elle est même remise en cause): d'après l'étude de la lumière, il a été supposé que d'autres corps seraient ondes et particules (et non pas que ondes, contrairement à ce que suppose l'auteure), mais cela n'a jamais été prouvée. Partir de ce postulat pour dire, en s'appuyant faussement et de façon honteuse sur des données scientifiques, que tout est onde et que les humains doivent vibrer en harmonie avec les ondes de la nature pour être heureux est l'exemple même d'une utilisation fausse et déformée de la science. Cette affirmation relève de la foi, inutile de s'appuyer faussement sur des données scientifiques pour inciter les gens à y adhérer. Dire qu'on est seul responsable de son bonheur n'est pas nouveau. Sartre l'a très bien expliqué avec sa philosophie existentialiste. Mais il est faux de dire qu'on est pleinement responsable de son bonheur et de ses actes. Les actes des autres et l'environnement social et économique peuvent nous empêcher d'atteindre le bonheur et nous empêcher d'agir. Ce qui rejoint la thèse de l'auteure disant qu'on est responsable de sa victimisation. Souvent, peut-être. Je dirai même oui, souvent. Mais nier qu'on peut être victime est une aberration (quid des attentats ? des meurtres ? des viols ? Les victimes choisissent rarement d'être heurtées par ces actes; elles sont victimes, elles ne se victimisent pas !) Dire qu'on doit tous être égaux, honnir les conflits, , ne pas être en colère, etc, est une utopie, qu'on retrouve dans certains discours politiques d'extrême gauche. Cela n'existe pas et n'existera jamais. L'homme est avant tout un animal social et il n'existe aucune société animale (ou végétale puisque c'est aussi à la mode), sans lutte, sans conflit, sans inégalités. J'insiste: il n'en existe pas une ! Et pour finir l'auteure n'est pas à un paradoxe près: Shanti, un des héros, incite l'héroïne Maêlle à aller voir le couple raciste car il faut être positif, ne pas être dans le conflit et aller vers ceux qui ne pensent pas comme nous, mais cela ne le gêne pas, deux jours après, de bouder et fuir Maêlle en refusant de lui parler car elle est en colère contre lui et qu'il ne veut pas perdre son temps.
Bref, une très longue critique pour inciter les lecteurs à prendre énormément de recul avec ces lectures "feel good" très à la mode, qui finalement sont des croyances du même type qu'une croyance religieuse, mais plus perfides car elles se donnent une belle image exotique et détournent des données scientifiques pour justifier ce qu'elles avancent.
Pour moi, "kilomètre zéro" est sans intérêt. Il y a des méthodes d'introspection qui sont nettement plus intéressantes (l'ikigaï par exemple).
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J'avais vu sur internet l'engouement pour ce livre, mais je n'avais pas vraiment lu les critiques ou les résumés. Lorsque j'ai rencontré Maud Ankaoua lors d'un salon aux livres, je me suis dit que ce serait sympa d'avoir un livre dédicacé d'elle.
Finalement, le livre a dormi pendant presque 2 ans dans ma bibliothèque et je l'ai pris en mains parce qu'il correspond à plusieurs items des challenges auxquels je participe.

Je m'attendais à un récit de voyage, mais rapidement j'étais déçue par les leçons de morale dans quasiment chaque paragraphe. C'est lassant, pénible et je trouve le personnage de Maëlle niait.

En fait elle va faire le voyage sur demande d'une amie, Romane, atteinte d'un cancer. Pendant ce voyage elle va faire la rencontre d'un guide spirituel qui va l'enseigner de voir les choses d'une manière positive pour se sentir mieux ainsi... Maëlle une râleuse parisienne qui pense être indispensable à son boulot, mais ce qu'elle n'avait pas encore compris c'est que personne est indispensable. Pas besoin d'avoir un guide spirituel pour cela.

Je m'attendais à un récit de voyage au Népal et je me suis retrouvée avec un genre de guide sur le développement personnel sous forme d'un roman... J'avais déjà lu ce même genre de "roman" où une bonne femme apprend que sa deuxième vie commence lorsqu'elle s'aperçoit qu'elle n'a qu'une seule...

Ce livre est soporifique à souhait, la preuve est que je me suis endormie à plusieurs reprises le livre dans la main.

Je ne me ferai pas avoir une troisième fois!

Challenge Multi-défis
Challenge ABC
Challenge Plumes Féminines
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La couverture avait tout pour me plaire. La quatrième de couverture aussi.
Mais...
Dès les premières pages, je me suis dit. Mais qu'est-ce que ce machin là. Je suis quand même allée jusqu'à la page 50, car je me donne toujours ce délai.
Mais...
Impossible de croire à cette histoire, de me projeter à la place de Maëlle.
Bref, une déception. Pas pour moi ce truc, passons vite, vite, vite à autre chose.
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Ce livre m'avait été recommandé par une collègue comme une "chouette histoire". J'ai lu la 4ème qui m'a laissé croire à un roman.
Mauvaise pioche, ce n'est pas un roman dont la "chouette histoire" pourrait nous emmener sur les routes du Népal mais un pseudo-roman de développement personnel rempli de leçons et d'expériences aussi peu vraisemblables les unes que les autres.
Mais je suis allée jusqu'au bout. Un exploit car s'il y a bien un genre que je laisse tomber rapidement c'est le peu-importe-l'histoire-tant-que-je-colle-mes-petits-outils. Outils qui sont, soit dit en passant, prouvés comme étant peu efficaces, bien qu'ils en donnent l'illusion.
J'ai donc tout lu. Souvent en levant les yeux au ciel, parfois en étant agacée mais aussi parce que ce n'est pas mal écrit. L'auteure a tenté de construire un récit plausible où les lecons s'intègrent dans la trame, ce qui vaut pour moi une étoile.
Alors même si ce "roman" est rempli de neuromythes (comme celui du cerveau droit/cerveau gauche 😞), de stupides conceptions marketing (comme le loi de l'attraction 🙄), il se laisse lire.
Mais je garde toutefois un goût amer comme dans tous les livres de développement personnel que je trouve particulièrement culpabilisant et bourrés de clichés :
1 - si toi lecteur tu ne vas pas bien, c'est uniquement de ta faute. Il te suffit de penser positivement pour être heureux !
2 - nous sommes tous de pauvres petits occidentaux qui ne pensons qu'au matériel et à l'argent ! A croire que l'extrême pauvreté permettrait de trouver la voie (en attendant, la pseudo littérature de développement personnel rapporte plus de chiffre d'affaires que n'importe quelle autre catégorie)...
Bref, je m'énerve toute seule (mon ego, sûrement 😉).
Je ne doute pas que certains coachs et thérapeutes font très bien leur travail et qu'ils sont nécessaires pour prendre du recul. La confrontation a ses peurs, ses frustrations et autres blocages est un travail essentiel pour se sentir mieux dans sa peau. Mais c'est du travail et ça ne se fait pas seul, en lisant quelques bouquins. Changer de vie en une semaine, après un voyage et quelques heures de discussion autour d'un thé, c'est un fantasme, ça n'existe pas et ça ne fait que culpabiliser le lecteur qui ne peut que terminer cette lecture en se disant qu'il n'est juste pas à la hauteur puisque pour lui "ça ne marche pas".
Alors, cher lecteur, si tu cherches à être heureux, sache que le bonheur n'existe pas, tout du moins pas dans cette littérature. Et si tu cherches à pouvoir le trouver dans des petites choses ou des petits moments, prend le temps d'en discuter avec un professionnel de l'accompagnement qui te conviendra. L'investissement sera sans doute plus "rentable"...
Bon chemin à toi !
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La superbe photo de couverture m'a dit : « prends-moi » et quand j'ai vu le mot Annapurna au dos, je l'ai saisi. Mais quand j'en ai commencé la lecture, alors là c'est une tout autre histoire. Pas pu dépasser 50 pages. Il y est question d'une femme qu'une amie appelle pour lui apprendre qu'elle a un cancer et que pour la guérir, elle doit se rendre au Népal y chercher ‘la recette' de guérison. Mais celui qui la détient est parti en montagne, elle doit, elle-aussi, escalader l'Annapurna mais avant, je cite, 'étoffer ma garde-robe de montagne'. La proprio de l'hôtel et le guide lui apprennent la vie, comment elle doit réagir face aux situations. L'impression d'avoir à faire à une débile. Et pourtant, elle dirige 300 personnes qui ne peuvent se passer de son avis tellement important… le genre de bouquin que je fuis…
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Audio de 2h me permettant enfin de découvrir ce roman dont on m'a parlé plusieurs fois l'an dernier. Ce n'est pas le genre vers lequel je me dirige le plus. du coup, cet audio me permettra de savoir si son style et son histoire me plaisent suffisamment pour l'acheter et le finir.

L'histoire se laisse écouter même si certains passages semblent vraiment hors du temps avec ce manuscrit au pouvoir inouï. Pour le coup, je suis restée aussi perplexe que Maëlle. Celle-ci doit se rendre au Népal pour récupérer un manuscrit pour sa meilleure amie Romane qui est atteinte d'un cancer du sein. Maëlle tergiverse longtemps mais se lance dans l'aventure à reculons. Cette aide n'est pour elle qu'un aller-retour sur un week-end. Les choses se corsent à son arrivée au Népal, son contact est parti pour une mission humanitaire dans l' Himalaya. Il faut qu'elle l'y rejoigne pour récupérer le manuscrit. Que va-t-elle décider ? Retourner à sa vie bien rangée et surchargée de boulot ou rejoindre cet homme pour sauver son amie ? Certains passages sont intéressants sur le Népal et sa culture. Par contre, Maëlle me fait souvent penser à une gamine gâtée pourrie qui n'a jamais mis le nez dehors… L'histoire est courue d'avance et le comportement de Maëlle ne m'aide pas à apprécier plus que ça celle-ci.

Comme vous l'aurez compris, je n'en continuerai pas la lecture. L'histoire m'a fait sourire quelques fois mais ça s'arrête là… Je n'y trouve pas plus d'attrait que ça… Je vous conseille néanmoins de le découvrir pour vous en faire votre propre avis. Pour ma part, je vais partir vers d'autres horizons !

Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
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Je lis ici et là que ce roman est un feel good...

Et bien, je ne le mettrais pas dans cette catégorie mais plutôt dans la catégorie développement personnel avec une couverture romanesque... / mode startup.. d'ailleurs pourquoi une startup, n'importe quelle entreprise aurait fait l'affaire. Je suppose que c'est dans l'air du temps...

On y trouve les mêmes recettes que dans les formations "Gestion du temps" (priorités, pierre, sable etc) et des platitudes rabâchées dans les magazines de psy... le bonheur c'est une question d'attitude. Jusque là, rien à dire... Elle n'est ni la première (P Coehlo l'a fait avant), ni la dernière à surfer sur cette vague.

Par contre là où j'ai détesté, c'est ce coté : si vous adoptez une attitude positive, vous pouvez guérir de tout. Si vous mourrez de votre cancer et bien c'est que vous étiez trop négatif... Un peu à la Servan Schreiber.

Je trouve ce message particulièrement dangereux en ces temps de complotisme.

Certes chacun.e porte une part de responsabilité dans le déroulé de sa vie. Mais de là à dire que suivant votre aptitude, vous arriverez ou non à surmonter tous les obstacles, je ne peux souscrire à cette position.

La victimisation n'est pas la bonne réponse mais ce livre n'est pas non plus la panacée.




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Le bonheur est un état d'esprit, il ne dépend pas de ce qu'il se passera plus tard ni d'un fait extérieur. Il commence ici et maintenant".
.
Plus on pédale moins fort, moins on avance plus vite.
.
Voilà la première raison pour laquelle je le dis haut et fort, et en majuscules: JE N'AI PAS AIMÉ CE LIVRE !
C'est une suite de citations se voulant encourageantes mais qui en fait sont tout simplement des injonctions.
Je développe.
Dans la vie, je n'aime pas trop quand on me dit quoi faire, quoi dire, quoi penser. Il y a des situations où, comme tout le monde, j'obeis, bien sur. Mais quand je me tape un livre de plus de 300 pages qui me dit : pour être heureuse, fais ci, pense ça. Si tu veux être en bonne santé, il suffit de le vouloir. T'es une victime que parce que tu l'as décidé. Respire ! Pense positif !...
STOP !!!!!!
Je comprend qu'il y ai des gens qui ont besoin de ce genre de bouquin.
Mais, d'abord pas besoin d'aller jusqu'au Népal pour faire un point sur sa vie. C'est un peu limite cette idée que "oh la la les occidentaux pleins d'argents et de pouvoirs qui vont à la rencontre des populations exotiques qui n'ont rien et qui vont leur apprendre cékoi la vie quand on a rien, parce que quand on a rien on a tout 🤢".
Et puis cette positivité a tout prix, c'est une telle pression ! Pourquoi on n'aurait pas le droit d'être en colère, de faire la gueule, de se plaindre. Parfois quand c'est la merde, c'est la merde, point final. Ça finira par passer mais on n'est pas obligé de voir du positif partout !
Faites ce que vous voulez, ce qui est bien pour vous. Pas ce qu'un bouquin ou un gourou vous dira de faire.
Bref, pour moi c'est un immense ramassi de connerie, et un genre de lecture que je ne lirai plus jamais.
Ah oui, y a une histoire aussi. Une nana qui part chercher un livre qui guérit le cancer sans médicaments mais il est caché par les vilains monsieurs pour pas faire d'ombre aux industries pharmaceutiques 🙄
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Les livres audio me permettent de sortir de ma zone de confort. Je pensais être hermétique aux livres de développement personnel. Après la lecture de ce bestseller du genre, j'en suis maintenant convaincu ! Si vous aimez ce livre ou si vous êtes dans cette mouvance, ne lisez pas les lignes qui suivent, j'y suis sarcastique, sans demi-mesure.

Une jeune cadre dynamique qui part dix jours dans l'Himalaya, sans prévenir personne, seule avec trois hommes qu'elle ne connait pas, à la poursuite d'un individu énigmatique, capable de guérir le cancer avec une recette miracle. Ça commence bien ! Ensuite, celle-ci subit un cours magistral durant tout le trajet, qui remet en cause sa manière d'appréhender son destin.

Moins travailler, s'ouvrir aux autres, mieux manger, méditer plus, être positif, vivre l'instant présent, ne pas juger, vaincre ses peurs… sérieux ?! Je n'y avais pas pensé ! Merci Maître Yoda ! Une tartine de leçons de vie, dispensées par des illuminés, saupoudrées d'analyses pseudo-scientifiques et spirituelles, et le tout sans nuance… la paire de claques n'est pas loin !

A la fermeture de ce livre, trois choix s'ouvrent à vous : 1) Vivre là-bas 2) Rester chez vous, appliquer leurs préceptes, oublier son ego et se faire marcher dessus par votre environnement 3) Essayer de s'adapter à notre monde aussi terrible soit-il et profiter de tous les moments heureux que l'on peut croiser. Pour ma part, comme on ne vit qu'une fois, je choisis la troisième option !

J'ai conscience de la violence de ma chronique mais cette lecture m'a exaspéré. J'ai eu l'impression de subir un sermon réprobateur qui n'en finissait pas ! Je comprends que beaucoup de personnes trouvent dans ce livre des réponses à leur questions existentielles et je ne remets pas en question son pouvoir sur certains. Mais pour moi, qui suis pragmatique, ce fut prévisible, naïf, parsemé de lieux communs et de clichés, culpabilisant, parfois risible, un véritable calvaire !
Lien : https://leslivresdek79.wordp..
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j'ai trouvé ce livre niais, tant dans l'histoire que des principes moraux qui en découlent.

c'est relativement mal écrit, et toute la narration est cousue de fil blanc, et les dialogues sont d'une pauvreté affligeante.

je présume que certaines personnes peuvent y trouver leur compte, mais ce ne fut pas mon cas. dans les livres de développement personnel, c'est souvent du tout ou rien.
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