Je persiste et signe par rapport à ma 1ère critique sur ce livre. Autant j'ai eu de trés bons moments et apprécié de bons mots et images burlesques ... autant j'ai eu par moments de grands moments de solitude quand l'absurde devient trop absurde pour moi et que l'écriture autant que l'histoire perd tout sens. Peut-être ce livre n'est-il pas à lire en lecture du soir comme je l'ai fait mais en momentané, lorsque l'esprit est bien en éveil et acuité.
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En cours de lecture ... mais un peu de mal. L'humour juif new yorkais de Hallen perd parfois tout son effet en français dans le texte dans mon lit français au cours d'une soirée française. Par contre, je ne peux me résoudre à abandonner cette lecture de peur de louper une de ces perles loufoques et absurdes qui me font hurler (en silence cause dans mon salon français) de rire !
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Il est fascinant de constater à quel point la raison peut se désintégrer, une fois mise en face d'une sinistre vérité, et s'enfuit avec fureur, pour mieux matérialiser un mirage et édifier un abri précaire contre les assauts d'une réalité trop effrayante !
O'Shawn a toujours été obsédé par la guerre de Troie. Il n'arrivait pas à admettre qu'une armée fut assez stupide pour accepter un cadeau envoyé par l'ennemi en temps de guerre. D'autant qu'en s'approchant, on entendait distinctement rire à l'intérieur du cheval de bois.
D'après le dernier livre de Moïse, Dieu est bienveillant - bien qu'il y ait pas mal de choses dont il ferait mieux de ne pas s'occuper.
L'oocidental moyen progresse dans la vie avec un strabisme divergent perpétuel : un oeil sur le pèse-personne, l'autre sur la carte des basses calories - à moins que ce ne soit le contraire.
"Soit dit en passant" de Woody Allen lu par Jean-Luc Kayser I Livre audio