J’ai le droit à tout ce qu’il faut faire et ce qu’il faut éviter dans cet état. Je suis assez étonnée lorsque mon patron me dit qu’il y a même des exceptions sur notre uniforme. Il ne veut pas me voir en short et débardeur, cependant « les vêtements plus légers » qui permettent une meilleure respiration du corps sont permis, comparativement à mon ancien bureau qui m’imposait des tenues de ville classique.
J’ai compris très vite dans la vie de ne pas me fier aux apparences. Parfois, ce qui semble simple, très classique et tranquille peut cacher les pires horreurs.
Quel agent de feu, celui-là. Dès qu’il entend un coup de feu, il se cache derrière le premier truc qui lui semble assez solide pour le couvrir et hurle comme une femmelette pour obtenir des renforts.
L’idée de rester et de lui pourrir la vie en demeurant dans son service est tentante. Cependant, aucun des hommes ici ne me donne envie de perdre mon temps ni de prendre ce risque. Ils seraient tous du genre à armer n’importe quelle petite crapule pour me tirer dans le dos uniquement pour que je débarrasse le plancher.