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5/5 (sur 1 notes)

Biographie :

Reporter à la télévision canadienne, lauréat de plusieurs prix, conférencier et auteur de six ouvrages, Victor Malarek a déjà signé un autre livre important sur l’industrie du sexe, The Natashas, un portrait des ravages de la traite à des fins de prostitution dans les pays de l’Est.

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Alain Olivier a publié aux Éditions Dédicaces (une maison fondée par Guy Boulianne) son autobiographie intitulée « Good Luck Frenchy ». Son histoire vraie a inspiré le film « Suspect numéro un » (Target Number One en version originale). le long métrage de Daniel Roby qui met en vedette Antoine Olivier Pilon et l'acteur américain Josh Hartnett sera diffusé sur les écrans de la province dès le 10 juillet prochain. Information : http://www.dedicaces.ca | http://www.alainolivier.ca RÉSUMÉ DU LIVRE : Être mépris pour quelqu'un d'autre, être faussement dépeint comme un important trafiquant et importateur d'héroïne à l'échelle internationale, et devenir involontairement complice d'un meurtre, ne sont pas des occurrences de tous les jours. Assurément, ce n'est pas là comment la police se conduit pour prendre leur homme ? Mais … s'ils allaient plus loin ? Oui … Qu'arriverait-t-il si, avec l'aide d'une crapule employée comme agent civil rémunéré à grand frais, la GRC implémentait une opération anti-drogue, une Solution Finale pour vous exterminer ? Et qu'arriverait-il si l'un d'eux était tué lors de la transaction, et ce, sous des circonstances très nébuleuses ? Un scénario terrifiant qui devient encore plus déconcertant quand ces mêmes membres de la GRC se parjurent afin de s'assurer votre conviction et camoufler les circonstances entourant la mort de leur collègue. Mais… qu'arriverait-il si vous étiez condamné à mort pour cela et suite à un procès jonché de témoins mensongers et d'évidences teintées qui vous envoient sur un chemin conçu pour détruire votre vie déjà brisée. Et … qu'arriverait-il si, en bout de ligne, votre gouvernement optait pour défendre l'indéfendable afin de protéger l'intégrité de la GRC et l'image du Canada ? Identifié à Bank Kwang comme le détenu 482/33, j'ai appris ce que signifie d'être sacrifié au nom de la politique, lorsque la GRC fait une gourde durant une opération anti-drogue controversée, outremer. Ceci est mon combat pour survivre la jungle de la prison de Bang Kwang, une histoire vraie qui a quelque chose pour tout le monde – drogue, meurtre, menaces, violence, conflit d'intérêt, corruption politique, camouflage, et mon espoir infime que mon gouvernement revienne à ses sens et me ramène au Canada. À PROPOS DE L'AUTEUR : Alain Olivier était un accro à l'héroïne qui travaillait à Gibsons, Colombie Britannique, lorsqu'il est devenu la victime en 1987 d'une dramatique opération d'infiltration anti-drogue, qui le mena à être assujettit à la peine capitale en Thaïlande, où il passa plusieurs années à la prison infâme de Bang Kwang. Il a appris à ne jamais abandonner face à l'adversité et il croit fermement qu'à toutes les fois qu'un individu est victime d'une injustice, c'est l'ensemble de la société qui en souffre. Passionné avec son sens d'humour et une volonté de parler contre les injustices, aujourd'hui, il donne des conférences sur la peine de mort et les effets néfastes engendrés lorsque condamné à tort. Depuis son retour, il a passé 15 ans à travailler avec deux firmes d'avocats dans sa tentative d'avoir réparation devant les tribunaux canadiens, où ce qui est arrivé révèle une réalité encore plus troublante sur la justice au Canada. Alain vit à Montréal, où son combat pour la justice continue. Son histoire a inspiré le film Suspect Numéro Un avec Antoine Olivier Pilon (photo couverture) dans son rôle, ainsi que Josh Hartnett et Jim Gaffigan ; histoire basée sur une série d'entrevues avec Victor Malarek et lui-même avec le réalisateur, Daniel Roby. le premier Bestseller d'Alain, Prisonnier à Bangkok fut écrit en collaboration avec Normand Lester. Good Luck Frenchy est son deuxième livre et il est présentement à écrire la suite.

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Citations et extraits (8) Ajouter une citation
Toute cette tragédie sociale se résume à un enjeu : la dignité, celle des femmes et des jeunes filles du monde entier. Dans la prostitution, il n’y a ni dignité, ni autonomisation, ni égalité d’aucune sorte. L’égalité réelle entre les femmes et les hommes demeurera toujours hors de portée tant que les hommes considéreront qu’ils ont le droit de louer le corps d’une femme. Ce n’est pas un droit et ce ne devrait jamais l’être. Nous devons faire tout en notre pouvoir pour abolir la prostitution
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Certes, les idées des "ABOTUEURS" en valent bien d'autres.
En tout cas, c'est les leurs, ça se respecte, qu'on soit d'accord (ou pas, ce qui est mon cas).
Mais ce qui est ridicule, au delà de l'intolérance moraliste des "ABOTUEURS", c'est cet art de zapper les contradictions propres à leur discours et cette manie d'insulter n'importe qui n'est pas soumis à leur point de vue..
Partons de Victor MALAREK et de la publicité sur son ouvrage.
(cf. message à efigies-info et article: http://www.prostitutionetsociete.fr/eclairage/acteurs/l...e-les )
Victor MALAREK semble bien être (selon http://en.wikipedia.org/wiki/Victor_Malarek ) de l'élite blanche, érudite, masculine, pas trop pauvre, valide ,
Et "senior reporter for CTV Television's W-FIVE"
Donc bel et bien un décideur ou cadre supérieur de la TV.
L'accroche du livre de Victor MALAREK commence comme ça:
"Les prostitueurs, ces hommes invisibles, sont le moteur du réacteur. Ils génèrent un marché multimilliardaire. C’est leur demande "qui engendre les profits faramineux des réseaux criminels mondiaux et incite les trafiquants, les proxénètes, les tenanciers de bordels et les producteurs de pornographie à leur fournir encore plus de proies."
En bref, ce serait LA DEMANDE QUI CREERAIT L'OFFRE.
Sauf erreur, cette religion a été mise à la corbeille depuis des lustres.
PARTANT de la même "logique", faudrait-il CONDAMNER LES CLIENTS DE SUPERMARCHES car ce type de magasins est une énorme source d'exploitation, d'oppression, de pollution, de gaspillage et favorise la concentration du capital (la fermeture des commerces de quartier) ?
Et pour reprendre une remarque faite l'autre jour, la majorité des végétaliens ou végétariens traitent ils sans cesse de MEURTRIERS D'ANIMAUX à vau-l'eau les mangeurs de steack et de fromage ?
Non, je ne le crois pas.
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Si nous voulons réellement faire quelque chose contre la prostitution, il faut reconnaître le rôle des clients (johns) et ceux-ci doivent assumer la responsabilité de leurs actes. La prostitution est affaire de choix et de décisions. Ainsi, ce sont toujours les clients qui choisissent de payer pour avoir des relations sexuelles avec une femme : ils choisissent de faire appel à une "travailleuse" plutôt que de s'investir dans une relation. Ils choisissent de se rendre dans des pays pauvres pratiquant le tourisme sexuel, parce qu'ils sont déçus ou qu'ils ont peur des femmes occidentales. Ils choisissent de fermer les yeux sur la dure réalité de ces femmes et de ces petites filles qui doivent louer leur corps et enfin, ils choisissent d'imposer leur volonté à ces personnes extrêmement vulnérables.
En réalité, ce sont les clients qui peuvent choisir et qui seront gagnants en cas de légalisation de la prostitution. [...] La société doit faire face à une détérioration de la virilité et au caractère destructeur qu'a adopté le comportement masculin. Les possibilités d'établir des relations équitables de respect et d'honnêteté entre hommes et femmes, dans tous les aspects de la vie, sont fortement limités par la prostitution, qui enseigne aux hommes et aux petits garçons que les femmes et les petites filles ne sont pas leurs égales, mais de simples objets sexuels qu'ils peuvent utiliser.
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alors que les femmes sont stigmatisées, par des expressions lourdes d’opprobre et de mépris – prostituées, putains, traînées et salopes -, ceux qui profitent de ces femmes sont affublés d’épithètes anodines comme client, consommateur, acheteur ou micheton
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Tout se passe comme si le prostitueur tournait son propre film pornographique : il écrit le scénario, donne des ordres et joue le rôle vedette. Il peut être mesquin, agressif, dégradant ou vulgaire… ou plaisant et attentionné, et même se donner le rôle du tendre ami de cœur. Toutefois, son rôle n’est pas de plaire à la femme ou de se préoccuper de ses sentiments. L’essentiel est que lui se sente bien
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Aucun groupe social n’est aussi victimisé, aussi brutalement terrorisé et maltraité, que ce groupe des femmes et des enfants piégés dans le cycle infernal de la prostitution. Ce qui est le plus étrange, c’est que cette exploitation demeure aujourd’hui l’une des violations des droits de la personne les plus négligées de la planète
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Il est grand temps de cesser de traiter les prostitueurs comme un détail accessoire et immatériel de ce qui est de plus en plus reconnu aujourd’hui comme un très grave problème social. Les hommes sont le moteur sous-jacent de la prostitution
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Refusant de regarder au-delà des apparences, ces prostitueurs préfèrent croire que le sourire d’une esclave sexuelle prouve son consentement
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