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Critiques de Maud Tabachnik (442)
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L'ordre et le chaos

ça m'a bien plût cette Merryl, à mi-chemin entre la lucidité et la folie mentale, qui dézingue les machos, les beaufs, les bidochons, les violeurs, qui rend elle-même sa petite justice, selon ses critères, qui règle a-posteriori, ses comptes avec sa mère morte.
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L'ordre et le chaos

Bon roman, avec une bonne intrigue originale, de cette femme, Merryl qui a 40 ans, après le décès de sa mère, vend tout pour partir en camping-car. Et elle est prise dans l'engrenage de la violence, sans le vouloir au départ, mais elle se retrouve confrontée dans des situations qui la font réagir sans hésiter.

Belle écriture, ça se lit bien et rapidement.
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L'ordre et le chaos

L'ordre est le chaos de Maud Tabachnik a été édité en 2014 chez les éditions Albin Michel. J'ai aimé la couverture. Une femme au long cheveux, de dos, un camping-car garé dans une rue bien entretenue. Entre chien et loup.

L'héroïne, Merryl a quarante ans. Elle vit avec sa mère, une femme castratrice qui gère le budget familiale. Le père s'est fait la malle et le fils adoré meurt, renversé par un camion. Elles travaillent toutes les dans un service administratif, dans une entreprise du pays de galles. Elles prennent leurs vacances ensembles, chaque année dans un petit manoir que possède le comité d'entreprise. C'est un huis-clos effrayant. Alors, quand elle se déplace seule pour le mariage d'un cousin éloigné, Merryl découvre un monde heureux et ouvert. Et quand sa mère meurt, Merryl décide de voyager pour découvrir ce monde dont elle a été privé. D'autant plus que sa mère qui tenait les cordons de la bourse, a accumulé un joli pécule. Pour cela, elle achète un camping-car et sillonne la campagne galloise. Mais, sa rencontre avec le monde extérieur ne se passe pas comme prévu ; et la colère enfouie depuis des années explose et fait des ravages. Merryl supprime des nuisibles. Alors, elle ne comprend pas que les forces de l'ordre cherchent à la stopper. C'est l'inspecteur Milland, ancien de Scotland yard, et son jeune acolyte, un stagiaire, qui s'y collent.

Le roman est superficiel. J'aurais approfondi les relations entre Merryl et sa mère. Les paysages sont suggérés plutôt que détaillés. J'aurais aimé une autre fin qui aurait pu laisser une ouverture.
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L'ordre et le chaos

Mon premier livre de cette auteure que je decouvre a cette occasion.Son style est vif ,sec et nerveux et convient parfaitement au style d'histoire qu'elle nous offre.Ici on suit l'histoire d'un roadtrip qui vire au cauchemar pour sa pauvre inspiratrice.On esrte en haleine de bout en bout grace au talent de l'auteur,un livre a decouvrir d'urgence.
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La honte leur appartient

C'est le premier roman de Maud Tabachnik que je lis et c'est une lecture assez agréable.

L'histoire assez simple est malheureusement traitée de façon superficielle et j'aurais aimé que les personnages du récit aient un plus d'épaisseur , de vécu .

Ceci dit c'est un petit polar vite lu et aussi vite oublié .

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La honte leur appartient

Un petit village de l'est de la France voit revenir avec étonnement un enfant du pays, après 20 ans d'absence. Enfin, "du pays", façon de parler : tous n'étaient pas prêts, 20 ans plus tôt, à lui accorder une place parmi eux. C'est que la famille Walter était juive, voyez-vous. Et en février 43, suite à une dénonciation, les parents et leur fille avaient été arrêtés et déportés. Ils mourront, comme tant d'autres. Seul le fils avait réussi à s'échapper, avant d'être pris en charge par une association de défense des Juifs, et de poursuivre ses études à l'étranger.

Et le voici donc de retour, reprenant l'étude du notaire local, bien décidé à prouver que les notables du coin sont ceux qui ont détruit sa vie.



Je sors déçue de cette lecture. Non pas à cause de l'écriture de Maud Tabachnik, mais en raison des attentes que j'avais, erronément, en tête. J'attendais un suspense, une inquiétude allant crescendo dans le chef des personnes visées. Et ce ne fut pas tout à fait le cas. L'irruption dans l'histoire d'un fou, puis de deux hommes de main au cerveau directement proportionnel à l'étendue de leur vocabulaire m'a... M'a quoi, dans le fond? M'a fait me demander "Mais euh, enfin, pourquoi?". Ce n'est même pas une question de crédibilité, ou de style, ou de talent. C'est une rencontre ratée entre elle et moi, parce que, pour moi, la situation de départ se prêtait tellement bien à un roman d'atmosphère, à une plongée dans la psychologie des personnages, à un récit où la peur s'installe graduellement, où on se demande jusqu'où l'autre est prêt à aller.

A une réflexion plus poussée sur les choix personnels, aussi, sur la collaboration et ce que l'on aurait fait, soi-même, dans les mêmes circonstances.

Tout cela est abordé, certes, mais de manière trop superficielle à mon goût, et ce au profit d'une réflexion sur la folie dont je me demandais finalement pourquoi elle devait être "casée" dans ce roman-là en particulier. Il y avait clairement là matière à deux récits et je n'ai pas compris, je l'avoue, pourquoi l'auteur avait mélangé ces deux thèmes (encore une fois, cela se tient au niveau de l'intrigue, mon incompréhension porte sur le mélange des deux thèmes).

L'ambiance, l'époque, les personnages (l'industriel adepte du droit de cuissage, le médecin qui a épousé une fortune plutôt qu'une femme, le propriétaire endetté d'un vignoble...) dépeignent une société refermée sur elle-même et sur ses prérogatives, très peu ouverte aux minorités plus ou moins visibles, gardant le silence sur les secrets du passé pourtant prêts à exploser. Et de nouveau, je regrette que l'accent ne soit pas davantage mis sur l'atmosphère lourde que tout cela engendre, plutôt que sur des morts finalement assez sanglantes.



Je retenterai l'expérience avec un autre titre de Maud Tabachnik pour lequel nous serons, je l'espère, sur la même longueur d'ondes.
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La honte leur appartient

Walter revient dans son village plusieurs années après l'avoir quitté dans le but de se venger des édiles de l'époque qui ont dénoncés sa famille à la milice pour que le village ne subisse pas de représailles des allemands . Mais les édiles qui ont pris cette décision n'ont pas envie que la vérité ressurgisse et sont prêts à tout pour museler Walter .Seulement un fou dangereux s'est échappé d'un asile en semant la mort mettant leurs plans en veille .Un bon polar noir .
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La honte leur appartient

Maitre Walter , notaire revient dans sa ville natale après 20 ans d'absence . Où a -t-il passé ces dernières années se demandent tous les habitants et surtout la belle société qui détient le pouvoir comme l'ont détenu leurs pères à l'époque où maitre walter vivait ici avec ses parents et sa sœur ?

Pourquoi certains ne se sentent pas très à l'aise en sa présence ? Petit à petit , le scénario se met en place : les parents de Walter ont été dénoncés par les conseillers municipaux et , en temps que juifs , déportés dans un camp dont ils ne sont jamais revenus .

Walter est revenu pour se venger ; en parallèle , Damien , un psychopathe , s'évade de la clinique en tuant deux gardiens et trouve refuge , par hasard chez le notaire .

On prend beaucoup de plaisir à lire ce bon roman qui nous amène dans les milieux bourgeois où les notables se croient au dessus des lois..un bon moment de lecture

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La honte leur appartient

Net, précis, ciselé, pas un mot de trop.

Le genre de roman propre au style français.

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La honte leur appartient

J’ai eu du mal à ouvrir ce livre. Non pas parce que le sujet ne m’intéressait pas, mais parce que les derniers écrits de Maud Tabachnik que j’ai pu lire m’avaient profondément déçu, notamment à cause du style que je trouvais, au final, assez mauvais. Après quelques pages c’est l’inverse qui s’est produit : beaucoup de difficultés à refermer le livre.


L’histoire est simple : un homme revient dans sa ville natale pour se venger de ceux qui ont détruit sa famille vingt ans plus tôt.


J’ai aimé le style et les mots simples, ce huis-clos étouffant d’une petite ville de province où l’hypocrisie est le maître mot, presque une religion, non pas d’Etat, mais communale. J’ai aussi aimé le lien que Tabachnik a su créer entre le personnage principal et le « protégé » de ce dernier. Maud Tabachnik a su se révéler à mes yeux une fine psychologue des âmes des petites villes bourgeoises de province. Malgré tout cela, quelques rebondissements sont assez prévisibles et téléphonés. Ce livre m’a donné envie de lire d’autres écrits de Maud Tabachnik. Affaire à suivre…


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La honte leur appartient

un bon moment de lecture sans plus. Un suspens omnipresent mais une fin que je trouve baclée.
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La honte leur appartient

Ce livre est une histoire de vengeance avec en toile de fond la seconde guerre mondiale.

Le personnage principal revient dans le village de son enfance, là où il a vu ses parents et sa soeur se faire embarquer par la milice suite à une dénonciation il y a de cela quelques années.

Il n'a plus jamais revu sa famille, envoyée dans les camps de concentration. On en saura pas beaucoup plus sur cette famille disparue, sur cette période et sur Walter, le seul survivant de la famille qui est maintenant le notaire du village.



Seulement la vengeance n'arrive pas par là où on l'attend et fait un grand ménage dans cette bourgade de province plus tranquille du tout.



J'ai bien aimé la seconde partie du roman, on se demande à quel moment le nombre de cadavres va cesser de s'accumuler, c'est presque du Tarantino.

Mais il y a un petit mélange des genres qui m'a laissé perplexe, et j'aurais aimé en savoir plus sur Walter, son passé, sa fuite après l'arrestation de sa famille plutôt que de plonger dans la folie d'un personnage qui arrive un peu dans le récit comme un cheveu sur la soupe.





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La honte leur appartient

Si j'apprécie les thrillers américains, si je n'ai rien contre les auteurs francophones qui écrivent comme s'ils étaient des purs ricains, j'apprécie tout de même un thriller à la française !



Pas de honte, messieurs, dames, les écrivains à être francophone. Il faudrait de temps en temps éviter cette manie de "fabriquer" des thrillers à l'américaine.



Avec ce livre, mes vœux sont exaucés, Maud Tabachnik est revenue au policier classique. Ouf, un bol d'air pur !



Enfin, "air pur", façon de parler, hein. Ici, c'est tout ce qui s'est passé (et qui se passerait encore) dans nos charmantes provinces peuplées de francs salauds et autres fumiers, sans oublier les indétrônables cons, ceux qui se croient tout droit sortis de la cuisse de Jupiter, alors qu'ils ne seraient même pas digne d'être sorti du côté "officiel" de celui des excréments. C'est vous dire ce que je pense d'eux.



Oui, je parle de ce que je nomme poétiquement "les raclures de bidet".



Ambiance glauque, dans ce roman...



Pourquoi ? Que se passe-t-il ? Et bien, c'est le fils Walter qui revient dans la petite ville de l'est de la France où il a passé une partie de son enfance.



On ne l'y avait pas vu depuis la guerre, et plus précisément une nuit où ses parents ont été arrêtés suite à une dénonciation.



Vous voyez où je veux en venir ? Oui, les Walter étaient juifs, et le fils a été le seul membre de la famille à réussir à s'enfuir, échappant à la mort.





Il revient donc dans ce charmant patelin bucolique et rachète l'étude du notaire.



Toutes les familles qui jalousaient la sienne sont encore là et guettent ses moindres réactions dans la crainte d'une vengeance, car Walter veut savoir qui a dénoncé sa famille.



Mais aura-t-il la force d'accomplir cette vengeance ? L'apaisera-t-elle seulement ? That is the question... Non, je ne dirai rien de plus !



Voilà donc un livre subtil, tout en nuances, digne du meilleur des écrivains de roman policier, me réconciliant un peu avec l'auteur, du moins, pour ce roman.



Si vous aimez les huis-clos étouffants d'une petite ville de province où l'hypocrisie est un sport national, un état d'esprit, quelques chose d'inscrit profondément dans les gènes, ou, comme le souligne une autre critique "une religion, non pas d’État mais communale", alors ce livre est fait pour vous et il vous ira comme un gant.



Pas besoin de faire des retouches, ça ne fait pas un pli, il vous tombera pile-poil dans les mains.



L’atmosphère est lourde comme un soir de canicule sans vent, elle vous colle aux basques, vous oppresse, vous indispose de par sa moiteur et l'évocation des actes lâches dont se sont rendus coupables un certain nombre de français pendant la guerre donne à réfléchir (hé, je ne jette pas la pierre aux Français ! Beaucoup de peuples ont à rougir).



Une fois de plus "putain de guerre !".



Voilà pourquoi je vous disais plus haut que l'ambiance de ce roman était glauque : la trame de fond est consacrée à la persécution subie par le peuple juif durant la guerre et à la vengeance que l'un d'eux pourrait accomplir...



Les personnages sont fouillés et vont jusqu'au bout d'eux-mêmes avec une vérité m'a prise à la gorge.



Une indéniable réussite.



Moi aussi j'ai apprécié le lien que l'auteur a créé entre le personnage principal et le « protégé » de ce dernier.



Que voilà donc une belle étude psychologique des âmes des habitants des petites villes bourgeoises de province. Le gratin... de la raclure du bidet, of course !



Malgré tout cela, quelques rebondissements sont assez prévisibles et je m'y attendais. Cela n'enlève rien au plaisir que j'ai pris à lire ce livre.



Belle description (si je puis m'exprimer ainsi) de ce qu'a pu être l'ignominie de ce mois de février 1943, les dénonciations "ordinaires", les spoliations "ordinaires", et que, vingt ans plus tard, les mêmes qui les avaient organisées étaient toujours en place, près du pouvoir, que leurs idées "noires" ne les avaient pas quitté.



A méditer...
Lien : http://the-cannibal-lecteur...
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La honte leur appartient

L'auteur nous remémore un pan de notre histoire contemporaine : la déportation de familles juives pendant la seconde guerre mondiale.

C'est un homme, Walter, qui revient sur les traces de son douloureux passé. Il veut démasquer ceux qui ont brisé sa vie en collaborant à l'arrestation de ses parents.

Ira t-il jusqu'à la vengeance pour effacer de sa mémoire le jour où on lui a arraché sa famille ?

La rencontre fortuite avec un criminel qui s'est échappé de l'asile judiciaire d'aliénés va engendrer malgré lui le processus de vengeance.

Très bon roman !
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La maison au fond des bois

Ceci me rappelle pourquoi je n'aime généralement pas les nouvelles. Il n'y a rien à se mettre sous la dent, pas le temps de trouver qu'il y a du suspense que c'est déjà terminé.
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La mémoire du bourreau

Une lecture à couper le souffle ! classé en thriller, mais abusif, plutôt un roman noir tout comme la mort est mon métier de Robert Merle.



Un homme raconte son parcours à son fils. Et ce parcours est particulièrement éprouvant pour le lecteur. Entre vérité, mensonges, on ne peut que frémir.



Le fils, malgré son éducation national-socialiste, semble malgré tout mal à l'aise également. Ce qui ne l'empêchera pas de trahir son père, lui voler son trésor de guerre et de l'abandonner dans une maison de retraite municipale où il sera soigné par un médecin juif, ayant été déporté au camp de Belzec et l'ayant reconnu.
Lien : http://mazel-pandore.blogspo..
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La mémoire du bourreau

Premier Maud Tabachnik! Ça commence fort.

La shoah vu sous l'angle du bourreau: un ancien SS...

Lu très rapidement car très intéressant d'un point de vue écriture, et historique.

Très beau roman noir lorsque l'on s'intéresse à cette période sombre de l'histoire
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La mémoire du bourreau

Je trouve que ce livre pousse à réfléchir sur les motivations qu'avaient les SS. Sans jamais excuser ou justifier les actes qui ont été commis, il permet de réfléchir un peu plus loin, de pousser sa réflexion personnelle. L'air de rien, dans ce qui est le roman lui-même, le personnage est relativement attachant et le parallèle entre les deux générations et les deux époques est super intéressant. L'écriture de Maud TABACHNIK est égale à elle-même : géniale.
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La mémoire du bourreau

Ce n'est pas une confession.

Il n'y a pas de regret.

Pas d'aveu de péché.

Pas de péché reconnu.

Pas de pardon demandé non plus.

Le mal, banal, ....

Le mal, assumé, nié, sans haine et sans émotion.

Il y a le mal, insupportable et assumé ...

A la fin un doute, la vapeur d'un doute, le frisson d'un doute .... quand le froid vient.
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La mémoire du bourreau

Il existe plein d'ouvrages sur la Seconde Guerre Mondiale et la Shoah, mais il existe moins d'ouvrages évoquant le point de vue du bourreau. Robert Merle avait ouvert la voie avec son autofiction La Mort est mon métier. Jonathan Littell avait suivi avec Les Bienveillantes. Maud Tabachnik a suivi la voie.

Le récit est original car il alterne récit épouvantable d'un vieux nazi qui veut publier ses mémoires et dialogue entre ce nazi et son fils qui enregistre les propos.

On y apprend beaucoup de choses mais surtout on voit la haine aveugle, le cynisme de Anton, son antisémitisme et son absence de remords. Jusqu'au bout cet homme sera fidèle à lui-même. Nous ne ressentons rien de bien pour lui. Aucune compassion.

Certains commentaires ont reproché la vision très manichéenne et clichée de ce nazi. Mais comment imaginer avoir de la compassion pour un tueur ? Quand on prend le temps de regarder des témoignages d'anciens nazis, vous n'y voyez aucun remords du tout. Il aurait été naïf et peu réaliste d'imaginer un homme "bon" obéissant aux ordres.

Oui Anton effectue des vols, cumule les maîtresses, est amateur de soirées mondaines, ne se préoccupe que de sa carrière. Cela n'a rien de cliché, c'est une réalité. Il suffit de lire la vie de Goering ou de Rudolf Höss.



Un livre très facile à lire, criant de vérité qui offre une vision différente de la guerre et qui nous rappelle que la Terre a engendré des monstres...
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