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Critiques de Mathieu Guibé (790)
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Even dead things feel your love

Commençons par cette sublime couverture, pleine de mystères et qui a la fois en dit long sur le contenu du livre…



Cette homme mystérieux dont on ne voie que le bas du visage nous laisserais presque sur notre faim... on a envie de découvrir le reste de ce visage mais surtout de découvrir ses yeux… ce regard que l’on imagine froid et hypnotisant... on voit a sa tenus qu’il s’agit la d un lord des années passées classe et sobre à la fois bref une couverture à la hauteur de son contenu.



Contenu dont je vais parler maintenant l’histoire de Josiah Eddington Scarcewillow, vampire d’une autre époque loin de tous les clichés que l’on peut en faire nos jour loin de ses histoires de vampires qui par amour renies leur véritable nature, Josiah lui assume pleinement le fait d’être un vampire et son coté obscure et c’est ce qui m’a conquis dans ce roman ! Ce cote obscure et tiraillé du vampire, le livre nous montre ses démons les plus profonds. Mais il y a aussi cette histoire d’amour en lui et Abigale qui sort de tout ce que l’on peut connaitre. On ne sait pas où tout ça mènera mais on veut le découvrir vite. Une phrases du livre ma marquée et résume assez bien ce roman :



« … pourtant, aussi charmante pouvait-elle être, j’étais un vampire et elle était humaine, Nous étions comme les deux faces d’une pièce dont la tranche était la mort »



L’histoire est tellement bien tournée et la lecture si fluide que j’ai eu cette impression qu’un écran sortais du livre et que je regardais un film (bon là c’est le moment où l’on me prend pour une folle ! J ) Ce que je veux dire par là c’est que l’on est tellement transporter par l’histoire que l’on en oublie le temps qui passe, on est captiver et on veut savoir la suite donc on ne s’arrête pas de lire. Pour ma part il ne m’a fallu que quelques heures pour le lire du début à la fin ! La description des personnages et des lieux sont réellement bien décrites et nous aides a visualisé les scènes. On voit dans ce roman toute la recherche qu’a du faire l’auteur afin de nous proposer de si belles descriptions !



Ce livre m’a été conseillé par un ami et je l’en remercie car il est fantastique !!!



Je ne peux pas plus en parler sans risquer de vous dévoiler des parties de l’histoire donc je vais conclure par une autre phrase du livre qui m’a touchée :



« Le monde n’est ni beau, ni laid, tout comme la vie ou la mort. C’est à vous d’y chercher et trouver ce qu’il y a à aimer.»





Merci à Mathieu Guibé pour ce magnifique ouvrage !!
Lien : http://mylittledreams.eklabl..
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Even dead things feel your love

Ma grande habitude est de lire en diagonale les préfaces mais pour une fois, je me suis laissée envoûté par la plume... mais qui a bien pu l'écrire? Georgia Caldera... hum, ce nom me dit quelque chose, non? L'auteure des Larmes Rouges aura su me donner envie de découvrir son monde tout en présentant l'oeuvre d'un autre, je sais ce qui figure dans ma wish-list maintenant. Une pierre, deux coups.



Ce livre est magnifique. Il est sombre, il est beau et est à l'image de son personnage Lord Josiah Scarcewillow. Un vampire à la vie décadente qui retourne dans son village natal où il y fera une rencontre qui bouleversera sa (non)vie. Le récit est à la première personne et il se découpe en quatre parties se concluant chacune par un épilogue. Il permet ainsi d'avoir parfois le point de vue d'un autre personnage, cette particularité est bien trouvée et apporte un petit côté théâtrale à cette tragédie. L'ambiance générale nous rappellera des oeuvres classiques issus du mouvement romantique-gothique avec ses codes qu'on connait bien.



Oh mon dieu, qu'est ce que j'ai pu pleuré en lisant cette histoire. Elle prend rapidement une tournure, on sait comment cela va finir... on sait que c'est inéluctable et qu'on y échappera pas. Alors, je reconnais avoir traînée ma lecture. Tous les moyens sont bons pour se voiler la face et je lis essentiellement dans les transports en commun, ça devenait tendu de renifler tous les matins. Serais-je un peu trop fleur bleue en fin de compte ? J'ai souffert, j'ai eu de l'espoir, j'ai été fataliste avec Josiah et sa bien aimée. J'ai été transporté par les mots et le style de Mathieu Guibé, qui a une très jolie plume.



C'est un magnifique roman que je recommande, prévoyez juste une lecture plus légère après ;)
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À un sanglot de moi, tu reposes

J'ai passé un excellent moment, je n'ai pas lu toutes les nouvelles d'une traite mais je les ai savourées les unes après les autres sur deux semaines, en lecture parallèle à ma lecture principale.



Je vous invite à écouter mon podcast si vous souhaitez avoir mon avis sur chaque nouvelle, bien que je ne dévoile absolument rien sur le contenu.



En bref : un recueil qui passe en mode "incontournable" si vous aimez les nouvelles et sinon, c'est le moment de les aimer. Le style de Mathieu Guibé est vraiment addictif, j'ai adoré me plonger dans chacune de ses histoires si bien menées.
Lien : http://fleurnlivres.blogspot..
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Even dead things feel your love

L'auteur a une belle écriture, bien calée sur l'époque où se situe le roman, l'histoire est intéressante, mais je n'ai pas du tout accroché aux personnages. Ce Josiah m'a agacé avec ses atermoiements de donzelle et même les passages "vampiriques" ne m'ont pas donné le frisson, je n'y ai pas cru. Quant à Abigale, sans trop réfléchir, elle se laisse saigner par ce type qu'elle ne connaît pas vraiment, aussi facilement que si elle se faisait faire une manucure, alors que cette décision est si lourde de conséquence, mettant en jeu sa vie ! Bref, je les oublierai vite, je crois...



Je ne parviens pas vraiment à dire ce qui m'a manqué pour m'accrocher, si ce n'est que je suis allée jusqu'au bout en me disant "ça va s'arranger, ça ne peut pas être aussi plat", et bien arrivée à la page finale j'ai pu dire "hélas ! si..." Peut-être un peu de rythme, des dialogues auraient-ils suffi ?



Déception....
Lien : http://la-clef-des-mots-e.mo..
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Quintessence hiémale contes d’hiver

Bonjour,



Je recherche ce livre, est ce que quelqu'un serait disposé à me le vendre s'il vous plait ?



Bises
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Even dead things feel your love

Un roman francophone dans la tendance gothique romantique qu’on apprécie d’avoir entre les mains. Even dead things feel your love de Mathieu Guibé nous transporte dès les premières pages dans son univers tout en contraste. Le roman est Amour autant qu’il est Souffrance, il se construit de ses deux amants métaphoriques avides de se nourrir l’un de l’autre.



Une histoire qui pourrait sans conteste être issue du XIXème siècle. On m’aurait confié que Even dead thing feel your love avait un jour figuré sur la table de chevet de Bram Stoker, Oscar Wilde ou Edgar Allan Poe, je n’aurais pas été surprise le moins du monde.



L’univers de Mathieu Guibé est clairement imprégné de l’époque victorienne, tout autant que le sont ses personnages dont l’humeur mélancolique ramène au genre romantique.



Josiah Scarcewillow, notre principal narrateur, est complexe, difficile à cerner. Son identité clair-oscbur nous laisse souvent perplexe et bien que l’on développe facilement une certaine complicité avec lui, on ne peut nier qu’il nous effraie au même titre. C’est un personnage doué de tendresse comme de cruauté. Ainsi, dans cette histoire, il incarne à la fois le supplicié et le bourreau.



Le lecteur se lie très rapidement au personnage et ce malgré la noirceur d’âme de ce dernier. Il devient son complice et cautionne toutes les horreurs que Josiah démontre dans le roman. Le lecteur va même jusqu’à lui trouver des circonstances atténuantes et une en particulier qui se traduit par l’amour soudain que le vampire développe pour la jeune Abigail.



Bien que l’univers de Even dead things feel your love soit sombre et torturé, l’Amour est omniprésent. Il est même le centre autour duquel gravitent les personnages, jusqu’à se perdre dans le néant. On nous dévoile l’Amour sous ses jours les plus cruels. Il en devient un supplice duquel, pourtant, on ne voudrait se libérer pour rien au monde. Ainsi, Josiah se morfond dans ce masochisme que n’autorise que le sentiment amoureux. Il en va jusqu’à se perdre lui-même – dont il n’a pas si belle estime d’ailleurs – pour le souvenir de l’être aimé. On assiste alors à sa descente aux enfers sans appréhender un seul instant jusqu’où il pourra aller.



Mathieu Guibé, avec ce récit, fait se bousculer nos émotions. On passe de la tendresse, au dégout, à la compassion puis à l’horreur presque en une seconde à peine. L’auteur ne nous laisse aucun répit et nous envoie à la figure toute une kyrielle de sentiments contraires et pourtant compatibles.



Even dead things feel your love est semblable à un long poème. Une complainte, un requiem qui s’effile avec une lyrisme macabre sur près de 260 pages. Un pur régal !
Lien : http://lilibouquine.blogspot..
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Even dead things feel your love

Un roman francophone dans la tendance gothique romantique qu’on apprécie d’avoir entre les mains. Even dead things feel your love de Mathieu Guibé nous transporte dès les premières pages dans son univers tout en contraste. Le roman est Amour autant qu’il est Souffrance, il se construit de ses deux amants métaphoriques avides de se nourrir l’un de l’autre.



Une histoire qui pourrait sans conteste être issue du XIXème siècle. On m’aurait confié que Even dead thing feel your love avait un jour figuré sur la table de chevet de Bram Stoker, Oscar Wilde ou Edgar Allan Poe, je n’aurais pas été surprise le moins du monde.



L’univers de Mathieu Guibé est clairement imprégné de l’époque victorienne, tout autant que le sont ses personnages dont l’humeur mélancolique ramène au genre romantique.



Josiah Scarcewillow, notre principal narrateur, est complexe, difficile à cerner. Son identité clair-oscbur nous laisse souvent perplexe et bien que l’on développe facilement une certaine complicité avec lui, on ne peut nier qu’il nous effraie au même titre. C’est un personnage doué de tendresse comme de cruauté. Ainsi, dans cette histoire, il incarne à la fois le supplicié et le bourreau.



Le lecteur se lie très rapidement au personnage et ce malgré la noirceur d’âme de ce dernier. Il devient son complice et cautionne toutes les horreurs que Josiah démontre dans le roman. Le lecteur va même jusqu’à lui trouver des circonstances atténuantes et une en particulier qui se traduit par l’amour soudain que le vampire développe pour la jeune Abigail.



Bien que l’univers de Even dead things feel your love soit sombre et torturé, l’Amour est omniprésent. Il est même le centre autour duquel gravitent les personnages, jusqu’à se perdre dans le néant. On nous dévoile l’Amour sous ses jours les plus cruels. Il en devient un supplice duquel, pourtant, on ne voudrait se libérer pour rien au monde. Ainsi, Josiah se morfond dans ce masochisme que n’autorise que le sentiment amoureux. Il en va jusqu’à se perdre lui-même – dont il n’a pas si belle estime d’ailleurs – pour le souvenir de l’être aimé. On assiste alors à sa descente aux enfers sans appréhender un seul instant jusqu’où il pourra aller.



Mathieu Guibé, avec ce récit, fait se bousculer nos émotions. On passe de la tendresse, au dégout, à la compassion puis à l’horreur presque en une seconde à peine. L’auteur ne nous laisse aucun répit et nous envoie à la figure toute une kyrielle de sentiments contraires et pourtant compatibles.



Even dead things feel your love est semblable à un long poème. Une complainte, un requiem qui s’effile avec une lyrisme macabre sur près de 260 pages. Un pur régal !
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Even dead things feel your love

Un vrai coup de coeur, j'ai adoré
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Germ-iN-es[SENS]ce

En fermant définitivement Germ~iN~es[SENS]ce, j'avais l'impression d'avoir vécu une aventure, et tourner la dernière page m'a déçu... car j'en voulais encore. Mais je crois que plus aurait gâché ce plaisir, cette fin belle, mignonne et touchante (oui bon j'ai beaucoup répété ce mot). Car en plus de sa facilité à nous transporter dans ces diverses visions, Mathieu est un magicien des mots, il manipule nos sentiments comme un sorcier avec ses potions. Cette lecture fut comme un crescendo de battements de coeurs, un nuancier entre noirceur et blancheur immaculée en commençant pas le plus sombre pour nous faire douter, pour clore par le plus brillant qui noue les tripes comme lors de la mort de la mère de Bambi (OK j'y vais un peu fort).
Lien : http://themidnightangel.cana..
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Quintessence hiémale contes d’hiver

Neige et brise hivernale guident le lecteur à travers les pages ...
Lien : http://autrecotedumiroir.net..
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