Pour célébrer la fin de Tokyo Revengers cet été, vous pourrez découvrir à Japan Expo une exposition exclusive dédiée à l'oeuvre de Ken Wakui !
Une cinquantaine de reproductions de planches, des illustrations couleurs et des surprises vous attendent !
RDV du 11 au 14 juillet !
— Rejoins-nous. J'aime ton style... Takemichi Hanagaki.
— Des mecs qui savent se battre... c'est pas ça qui manque. Mais ce qui est beaucoup plus rare, c'est les gens comme toi prêts à se taper contre n'importe qui pour protéger ce qui compte pour eux...
- Il comptait tellement pour moi que parfois... j'oublie qu'il n'est plus là. Je ne sais même plus ce que signifie son absence. Dans ces cas-là, ma tête est complètement vide. Je ne peux même plus distinguer la droite et la gauche, le haut et le bas. Plus moyen de faire la différence... entre le bien et le mal. (p.30-31)
Peu importe que tu t'inclines devant les gens ou pas... L'important, c'est de veiller sur les autres.
Draken est “l’âme” de Mikey. Il le complète.
T’as déjà entendu parler des quarante-huit positions sexuelles ? A mon avis, y en a pas tant que ça...
Arrêtez vos conneries bande de bâtards...
Tu verses toutes les larmes de ton corps pour les autres et tu souffres avec eux de tout ton cœur.
J’étais tout le temps obligé de m’excuser, encore et encore. J’ai passé ma vie à m’excuser.
- Moi, j'aime Takemichi pour sa beauté intérieure ! Tu te méfies de lui, tu le trouves pas fréquentable... mais c'est en réalité quelqu'un de très gentil et affectueux... il est prêt à faire n'importe quoi quand j'ai des ennuis !!
- "Pachin... Mitsuya... Draken... Mikey... Kazutora... vous, les membres fondateurs du Toman... vous êtes ce que j'ai de plus précieux."
N'oublie jamais le rêve de Baji ! Ne perds pas ta détermination !
- Taiju. J'avoue, le Black Dragon est très puissant. Mais pas assez pour marquer son époque.
Tu n'es qu'une énorme brute sans aucun mental.
Je vais ouvrir une nouvelle ère avec le Toman. (p.178-179)
- Tu as fait plein de sauts dans le passé pour sauver ma soeur... et tu es revenu chaque fois à une version différente du présent.
Celle où nous sommes actuellement est la pire de toutes. (p.159)