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Citations de Jussi Adler-Olsen (1298)


Jussi Adler-Olsen
Je pense, personnellement, que la psychologie joue une part importante dans le roman policier ou dans le thriller. Sans réelle empathie et sans prendre compte des interactions psychologiques entre les individus, la littérature est bien fade.
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Longtemps, elle eut peur de devenir folle ; peur du jour où elle ne se contrôlerait plus. Elle se mit à inventer des images du monde extérieur, de la lumière et de la vie dehors. Elle se mit à sonder des recoins de son cerveau que la banalité laborieuse du quotidien fait oublier d’ordinaire. P 134
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C’était juste une preuve supplémentaire que la haine engendre la haine qui engendre la haine dans une suite prévisible d’imprévisibilité.
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"Dans les bureaux de l'administration, on passe plus de temps à remplir des formulaires idiots qu'à aider nos concitoyens, tu savais ça, Carl ? Je voudrais bien y voir les prétentieux qui nous gouvernent. S'ils étaient obligés de remplir des formulaires pour avoir des dîners gratuits, leurs chauffeurs gratuits, leur logement gratuit, leurs indemnités journalières, leurs voyages gratuits, leur secrétaire gratuite et tout le tremblement, ils n'auraient le temps ni de manger, ni de dormir, ni de voyager, ni de rouler en voiture, ni de faire quoi que ce soit.

Imagine un peu si notre Premier ministre, avant les réunions, était obligé de mettre une croix devant les sujet qu'il allait aborder avec ses ministres ! En trois exemplaires, imprimés à partir d'un ordinateur qui ne fonctionne qu'un jour sur deux.

Et si on le forçait à faire valider son texte par un fonctionnaire quelconque avant d'en parler. Je suis sûre qu'il en mourrait !"
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Quand vous conseillez aux plus riches d'organiser la fuite de leur argent vers des pays connus pour défendre sèvérement le secret bancaire, quand vous participez à l'exil des entreprises, quand vous aidez vos clients à payer moins d'impôts, quand vous interprêtez la loi fiscale à leur avantage, ne contribuez-vous pas, en réalité, à détruire les fondements sur lesquels est bâtie notre société , Et n'êtes-vous pas indirectement responsable du fait que ce sont les contribuables modestes qui finissent par payer la facture fiscale que vos clients auraient dû assumer ?
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C'est parmi tes amis que se cachent tes pires ennemis
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Vous savez Chef, peu importe comment on s'assied sur le poteau de la clôture,
on a mal au cul pareil en se relevant!
Carl regarda son assistant incrédule.
Encore un dicton qu'il avait dû comprendre de travers.
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En un instant, Carl récapitula toute l’affaire et le déclic se produisit. Quelque part en lui, à cet endroit du cerveau humain où les déductions logiques et l’explication ne viennent pas perturber l’intime conviction, à cet endroit au fond de soi-même où l’on réfléchit librement et sur un mode contradictoire, exactement à cet endroit-là, plusieurs pièces du puzzle vinrent prendre leur place et tout devint cohérent. P 393
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La plupart du temps, ce n’étaient pas les questions que les gens posaient, mais celles qu’ils ne posaient pas qui les trahissaient.
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Le meilleur moyen de se débarrasser des gens était le silence. Ils se sentaient ignorés et détestaient ça, et ils étaient aussi déstabilisés. Un jour, il avait entendu quelqu'un prétendre que le silence était l'arme absolue. Il tuait les couples, séparait les amis. La meilleure arme des politiques était le silence, le mensonge venant juste après.
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Carl hocha la tête, il la regarda comme il aurait regardé son bourreau à Nuremberg, le clou de son cercueil et le caillou dans son soulier incarnés en une seule et même personne.
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La vérité sort toujours de la bouche des enfants et des ivrognes.

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Pourquoi les gens s'obstinent-ils à poser des questions dont ils connaissent déjà la réponse ?
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Ils refusèrent de se mettre en blouse d’hôpital. Deux hommes d’âge mûr en liquette trop longue, le cul à l’air et montés sur des cannes de serin, était une vision d’horreur qu’ils préféraient éviter à leurs congénères.
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Quelle ne fut pas sa satisfaction de passer devant le bureau de Lars Bjorn ! On dit que la vengeance est douce au coeur de l'Indien, mais l'adage était en dessous de la vérité. La vengeance était jubilatoire.
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« Là d’où je viens, on dit que s’il n’y a plus moyen de s’en sortir, il faut monter son dromadaire de la cinquième façon. »
Carl était largué et pas très sûr d’avoir envie de connaître les quatre premières, pas plus que la cinquième, d’ailleurs.
« Ah oui, c’est un truc avec devant, entre, derrière ou sur les bosses, dit Hardy. J’ai déjà entendu ça. »
Assad hocha la tête. « La cinquième, c’est le pied bien coincé dans le cul du dromadaire. Et là, ça va très vite, tout à coup. »
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Allons, Gordon, quand on est dans la merde jusqu'au cou, ce n'est pas le moment de baisser la tête.
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- Maman ? s'enquit-il prudemment en fronçant les sourcils.
- Tu me fais mourir de peur, chéri, quand tu hurles comme ça. Tu as mal à la gorge, mon trésor ?
Carl soupira. Il y avait maintenant trente ans qu'il était parti de chez lui. Depuis, il avait eu affaire à des assassins, des proxénètes, des pyromanes, des braqueurs et un nombre incalculable de cadavres dans divers états de décomposition. On lui avait tiré dessus. On avait brisé sa mâchoire, son poignet, sa vie privée et tous les espoirs que son village natal avait fondés en lui. Voilà trente années qu'il avait sorti la paille de ses sabots, trente années qu'il s'était convaincu une fois pour toutes qu'il était maître de son destin et que les parents on pouvait les mettre de côté ou les prendre en compte, selon son bon vouloir. Comment faisait-elle pour le renvoyer, en une seule phrase, à l'état de petit garçon ?
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À présent défilaient dans sa tête une multitude d'images venant d'un temps où la vie était encore pleine de promesses. Elle et son frère sautant dans les dunes, leurs parents leur criant d'arrêter, d'arrêter...
Pourquoi fallait-il toujours arrêter ? N'était-ce pas dans ces dunes qu'elle s'était sentie vraiment libre pour la première fois de sa vie ?
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Quand Nete regardait la mer, elle ne voyait pas seulement des vagues susceptibles de l'emmener vers la liberté, elle voyait aussi des vagues capables de l'entraîner vers le fond, de la submerger et l'emporter à un endroit où plus personne ne pourrait lui faire du mal.
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