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Citations de Julia Quinn (812)


Elle n'aurait pas supporté d'épouser un homme alors qu'elle était si désespérément éprise de Colin. Et peut-être, tout au fond de son esprit – dans le coin le plus reculé, coincé entre les verbes français qu'elle n'avait jamais su conjuguer et les notions d'arithmétique qui ne lui étaient pas de la moindre utilité – avait-elle conservé un infime espoir.
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Quand les gens sont persuadés d'avoir des problèmes, la dernière chose qu'ils souhaitent, c'est qu'on leur propose une solution simple et facile à mettre en oeuvre.
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L'amour, c'est de trouver la personne qui comblera votre cœur et fera de vous un être meilleur que tout ce que vous avez rêvé d'être ; c'est de plonger les yeux dans ceux de l'être aimé en ayant la conviction absolue que c'est la meilleure personne que vous ayez jamais rencontrée.
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Elle aussi avait commencé son repas avec un journal sous les yeux, mais elle avait été si stupéfiée par une annonce sur la vente d "un Négre, bon cuisinier, non sujet au mal de mer" qu'elle avait reposé le journal, et fixé toute la nourriture dans son assiette.
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– Oh, Elizabeth... murmura-t-il en se penchant pour l'embrasser tendrement sur la bouche. Je vous aime tant... Il faut me croire.
– Je vous crois, assura-t-elle avec douceur. Parce que je lis dans vos yeux ce que je ressens dans mon cœur.
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N'acceptez aucun compromis. Sachez ce que vous voulez et faites ce qu'il faut pour l'obtenir. Et si vous doutez encore, soyez patiente. Les réponses à vos questions viendront en leur temps. Vous vous apercevrez souvent que ce que vous désiriez se trouvait juste sous votre nez.
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- Souvenez-vous, vous m’avez dit un jour que les murs de mon palais étaient trop hauts. Je vous réponds que c’est indispensable. Ils monteront jusqu’au ciel si nécessaire. Pour vous protéger et pour protéger notre valeureux peuple.
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- Je vous aime, le savez-vous ?
Violet sourit.
- Je le soupçonnais plus ou moins.
- Mère !
- Bon, bon... Bien sûr, je le sais. Comment pourrais-tu ne pas m'aimer, moi qui t'aime tant ?
- Je ne vous l'ai pas dit, murmura Francesca, que cette omission horrifiait. Pas récemment, en tout cas.
- Tout va bien, dit Violet en lui pressant la main en retour. Tu avais d'autres préoccupations.
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- On ne vous a jamais dit que vous étiez impertinente ?
- Je cache bien mon jeu, répliqua-t-elle modestement.
- Il est facile de comprendre, observa-t-il, pourquoi vous vous entendez si bien avec ma sœur.
- Je suppose que vous considérez cela comme un compliment ?
- Je ne prendrais pas le risque de considérer cela comme quoi que ce soit d'autre. Je tiens à ma peau.
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- Benedict ?
- Oui, mère ? demanda-t-il d’un ton de vertueuse patience, en faisant une fois de plus volte-face.
- Vous me tiendrez informée du résultat de votre démarche, n’est-ce pas ?
- Promis.
- Vous mentez, répliqua-t-elle avec un sourire, mais je vous pardonne. Je suis si heureuse de vous voir amoureux !
- Je ne suis pas...
- Comme vous voudrez, mon chéri, coupa-t-elle en lui faisant signe de se sauver.
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Ce que je vis aujourd'hui n'arrive pas à la hauteur de ce que je vivrai demain, et demain n'aura rien à voir avec ce qui viendra ensuite. Aussi parfait que soit l'instant présent, il est sans commune mesure avec ce que sera l'avenir.
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Les hommes sont des créatures contrariantes.
Leur tête et leur cœur ne sont jamais d'accord.
Et, comme les femmes ne le savent que trop bien, leurs actions ne sont, en général, gouvernées ni par l'une ni par l'autre.
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Il paraît que cela devrait être plus facile pour moi parce qu'il est mort en héros, mais ça ne l'est pas.
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Voilà des années qu'une sourde colère bouillonnait à petit feu au plus profond de lui. Tel un volcan en furie, elle trouva son chemin vers la surface, et il suffit de la plus infime provocation pour le jeter dans la bagarre.
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- Impossible. Avez-vous une idée du chagrin de ma mère ? fit-il. Et je ne parle pas de la vôtre, ajouta-t-il en levant les yeux au ciel.
- Je sais, gémit Pénélope.
- Elle me pourchasserait et me tuerait.
- Ma mère, ou la vôtre ?
- Les deux. Elles uniraient leurs forces.
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- De lui ou de son frère, je ne sais lequel me tuera le premier, gémit lady Bridgerton.
- Quel frère ?
- Chacun. Tous. Les quatre. Ce ne sont que des voyous.
Des voyous qu’elle semblait adorer.
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Tout en sifflotant, il se dirigea vers Miranda et s’assit à ses côtés.
— Bonjour, mon cœur.
Elle leva les yeux au ciel d’un air exaspéré.
— Encore vous ?
— J’espère être le seul à vous appeler ainsi ?
Elle ne répondit pas, comme si elle attendait qu’il s’en aille.
— J’essaie de lire, dit-elle.
— Excellente idée. J’aime les femmes qui ont de la conversation.
Sans lui demander la permission, il lui prit le livre des mains.
— Orgueil et Préjugés. Est-ce intéressant ?
— Je le saurais si vous me laissiez lire.
Ignorant sa pique, il ouvrit le livre au tout début.
— C'est une vérité universellement reconnue, lut-il à voix haute, qu'un célibataire pourvu d’une belle fortune doit avoir envie de se marier...
Miranda tenta de reprendre l’ouvrage mais il l’éleva hors de sa portée.
— Hum... dit-il, pensif. Voilà une remarque intéressante. En ce qui me concerne, je suis assurément à la recherche d’une épouse.
— Allez à Londres, répliqua-t-elle. Vous en trouverez autant que vous voudrez.
— Et je suis doté d’une belle fortune, poursuivit-il tout en se penchant vers elle pour lui rendre son livre. Au cas où vous ne l’auriez pas remarqué.
— Vous me voyez ravie de vous savoir à l’abri du besoin.
Il éclata de rire.
— Oh, Miranda ! Pourquoi vous battre contre l’inéluctable ? Vous ne gagnerez pas ce combat.
— Je ne connais aucun pasteur qui marierait une femme sans son consentement.
— Oh, mais vous allez consentir, répliqua-t-il.
— Pourquoi donc ?
— Parce que vous m’aimez.
Miranda refréna une furieuse envie d’étrangler Turner.
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Elle ne comprenait rien aux hommes. Elle ne comprenait rien non plus à la plupart des femmes, du reste, mais c'était pis encore avec la gente masculine.
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Il paraît qu’il n’existe pas vraiment de scénario original et que tout ce qu’un romancier peut faire, c’est raconter toujours la même sempiternelle histoire, mais avec son style personnel.


Prologue
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Moi, j'ai reçu de l'amour murmura-t-elle. Je n'ai rien connu d'autre que l'amour et la confiance dans mon enfance. Et crois-moi, cela change tout !
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