Hugues de Crozenc part en Terre sainte, il est approché par un homme de couleur basanée, est il ce qu'il prétend être : fils de chevalier franc et d'une sarrasine C'est souvent le même schéma qui apparait dans les aventures d' hugues, l'histoire semble s’essouffler petit à petit..
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Pour empêcher le départ de son nouveau mari en croisade, Nolwenn trouve un stratagème pour qu'il ne suive pas Hugues, un loup.
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Hugues est fait prisonnier et doit servir de monnaie d'échange à Ravenaud pour le blanchir de toutes ces félonies. Kraehn et Pierret restent dans la même veine et toujours en proposant une bd de qualité graphiquement.
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Ravenaud est en fuite avec Nolwenn et essaie de trouver un moyen de destituer Hugues. Il ne montre pas trop d'égard pour dame Nolwenn pour qui il était épris auparavant.
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Sigwald est décédé des suites des tortures subies. Nolwenn doit être jugé et parvient à quitter le château. Kraehn et Pierret nous tiennent toujours en haleine.
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Hugues a trouvé un plan pour sortir Alix du donjon, mais son fidèle ami Sigwald est lui prisonnier. Dans ce tome Pierret a pris le relais de Kraehn dans les dessins qui restent très bons avec de bons cadrages.
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Dans ce tome Hugues reçoit une lettre d'Alix et décide de la sauver, mais tout ne se passe pas comme prévu. De beaux dessins et de beaux décors qui donnent plus de vie à la saga.
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Hugues est marié à Nolween dans ce tome. Les dessins sont différents des tomes précédents et correspondent aux années 90, les couleurs sont plus vives et donnent plus de dynamisme.
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Hugues s'est échappé et poursuit sa quête avec toutes les difficultés qu'elle présente. Toujours aussi bon, bd avec beaucoup de textes mais très agréable.
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Les dessins et l'histoire m'ont bien plus. Après la bd est un peu datée car datant des années 80. On a envie de connaitre ce qu'il va se passer pour Hugues après son arrestation et sa mise au trou au puits des fous.
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Troisième et dernier épisode du premier cycle des Aigles décapitées, avec Pellerin au scénario, "Les éperons d'or" est aussi, à mon sens, le moins réussi des trois.
Comme je le disais, Pellerin quittera la saga à l'issue de cet opus, laissant ensuite la barre d'abord à Kraehn tout seul pour le tome 4, puis à Pierret pour les suivants... et cette information n'est pas sans importance. Je m'explique :
Alors que la première moitié de cette BD est plutôt bien fagotée, dans l'esprit des épisodes précédents (même si la fin du bâtard de Cuzion est un peu traitée à l'emporte-pièce, c'est le cas de le dire :-) ), dans la deuxième partie en revanche, Pellerin sombre dans la facilité :
- Garin, prisonnier des deux héros, détache ses liens et s'échappe en pleine nuit, prenant armes et chevaux... Mais il les laisse en vie, alors qu'il a déjà montré à deux reprises que c'était un assassin sans foi ni loi.
- Plus gros encore, les deux héros tombent complètement par hasard sur un espion du roi de France en train de se faire trucider par des satellites de Lusignan. À pied et sans armes, ils réussissent à effaroucher les tueurs montés et armés jusqu'aux dents (!), et l'espion a le temps de leur confier un message qu'il allait donner au Roi, ce qui leur permet d'approcher Louis IX.
- Toujours mieux, Garin, avec sa tête d'affreux borgne, a réussi entre-temps à se faire admettre comme valet de bouche du Roi de France – qui ne l'avait pourtant jamais vu – pour mieux l'empoisonner !
Ensuite, le temps s'emballe : l'enrôlement des héros dans l'armée française, la bataille de Taillebourg, l'écrasement de la rébellion des barons poitevins, la mort de l'ignoble Enguerran, l'adoubement d'Hughes, son acquisition du fief de Crozenc, tout cela est traité en... quelques cases.
Bref, on a la désagréable impression que Pellerin voulait (devait ?) finir son histoire au terme de cet épisode, tant pis si pour cela il devait recourir à des deus ex machina invraisemblables, ou accélérer le temps et compresser en quelques pages, voire quelques cases, ce qu'il aurait été intéressant de raconter en un tome de plus.
C'est bien dommage, cela ternit quelque peu un début de saga qui jusque là avait fait un sans-fautes.
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Super graphisme, précis et scénario bien pensé. Il y a beaucoup de rebondissement ce qui m’a tenu en haleine. J’ai hâte de lire la série avec impatience. L’histoire s’achève en un seul tome ce qui est très appréciable
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Avec douzième tome se termine le troisième cycle, commencé avec le neuvième. Il est un peu difficile de faire un résumé de cet album, considérant qu’il est la partie finale d’une histoire en quatre tomes.
Je n’ai pas changé d’avis et je trouve que c’est là une bonne série mais j’ai fait l’erreur de ne pas m’imprégner en relisant le troisième cycle avant d’attaquer le douzième. Résultat je suis resté un peu sur ma faim. Gil Saint-André ressemble à une version dessinée de séries style Chérif et autres qui inondent le petit écran.
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Série réaliste et classique, sans aspérité mais de grande qualité. Un scénario qui parvient lentement à installer une ambiance et à fouiller les personnages mais également des rebondissements un peu artificiels qui empêchent ces deux premiers volumes de séduire complètement.
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Une suite aussi bien que le tome 1. On y retrouve avec plaisir les personnages et le graphisme est toujours aussi beau.
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L'aboutissement de l'histoire de "Bout d'homme " a eu lieu dans le tome 4.
J.C. Kraehn se propose maintenant d'expliquer la parenthèse qui a lieu entre la fin du tome 3 et le début du tome 4. Cette période où il est devenu un homme, cette période où il a grandi, cette période où il a bourlingué et croisé des personnages bons et mauvais....
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Un tome +++ dans la série. Après la période noire remplie de morts, on passe à la fin de ce tome à un dénouement bien plus positif.
Tout en gardant le fil conducteur du pouvoir fantastique de certains personnages, on découvre maintenant que "bout d'homme" a commuté et peut sauver.....c'est même la chute surprenante de ce tome excellent !
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La pérégrination de bout d'homme continue : après le premier tome chez lui avec sa mère alcoolique, puis le second tome dans le cirque avec les monstres, le hasard va l'amener en mer, sur un bateau de pèche comme moussaillon. Le hasard, ou peut-être le rat qui l’accompagne. encore une fois, la mort est proche de lui.
J.C. Kraehn nous fait découvrir la Bretagne, son patois,, et le métier de marin au 19ème siècle.
Un tome intéressant.
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Bout d'homme a été vendu par sa mère à un cirque. Il se retrouve au milieu des monstres, avec sa taille minimale pour un homme qui a refusé de grandir. Mais ce qui va tout dérégler , c'est son pouvoir surnaturel. Sa capacité à tuer en regardant fixement.
Une BD qui navigue entre meurtre et amour, car on a beau être un monstre, on en est pas forcément dépourvu de sentiments.
Une BD habilement menée et qui mérite d'être lue.
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