Nationalité : France
Né(e) à : Crosne (Seine-et-Oise puis Essonne) , le 27 juin 1952
Né(e) à : Crosne (Seine-et-Oise puis Essonne) , le 27 juin 1952
Biographie :
Francis Bergeron est un journaliste, essayiste et scénariste de bandes dessinées français, originaire de l'Indre.
Son grand-père a rejoint les Croix-de-feu durant les années 1930.
En 1968 il est élève au lycée Saint-Exupéry de Fameck (Moselle).
Il suit des cours en sciences économiques à la faculté de Dauphine.
Francis Bergeron participe à la direction d'un groupe industriel international de premier plan.
Il décide, après avoir lu "La Bataille" de Pierre Sergent, de rejoindre le Mouvement jeune révolution de Jean-Pierre Stirbois et Nicolas Kayanakis.
Il anime en 1989 le comité "Vérité 89 en Bas-Berry", en réaction aux célébrations du Bicentenaire de la Révolution française. Cela se traduit par l'érection d'un monument en présence de Gonzalve de Bourbon (petit-fils du roi d'Espagne Alphonse XIII d'Espagne ) à la mémoire de la petite Chouannerie du Bas-Berry.Pour cette même occasion, Françoise Pichard illustre sur un scénario de Francis Bergeron "La Révolte de Crève-Bouchure : la petite chouannerie du Bas-Berry" paru en 1989 chez Bédésup (fanzine dirigé par Jean-Claude Faur).
Journaliste, essayiste et scénariste de bandes dessinées français, il défend des idées proches de certains courants du Front national.
Il a écrit dans "Présent" dès l'origine, et au "Quotidien de Paris" il a également collaboré aux "Écrits de Paris" (périodique français fondé par René Malliavin), à "Reconquête", et à "Famille chrétienne".
Francis Bergeron a publié une soixantaine de livres ; il a une abondante production rn direction de la jeunesse. Fin 2012, sa série " Le Clan des Bordesoule ", qui s'adresse à des jeunes lecteurs de 8 à 12 ans, a dépassé les 300 000 exemplaires vendus. Elle pourrait approche 40 titres d’ici 2020.
Il a publié plusieurs biographies d'écrivains, à savoir Maurice Bardèche (qu'il a fréquenté), Béraud, Léon Daudet, Henry de Monfreid, Saint-Loup ; Hergé dans la collection "Qui suis-je ? ".
Il préside l'association littéraire des amis d'Henri Béraud.
+ Voir plusFrancis Bergeron est un journaliste, essayiste et scénariste de bandes dessinées français, originaire de l'Indre.
Son grand-père a rejoint les Croix-de-feu durant les années 1930.
En 1968 il est élève au lycée Saint-Exupéry de Fameck (Moselle).
Il suit des cours en sciences économiques à la faculté de Dauphine.
Francis Bergeron participe à la direction d'un groupe industriel international de premier plan.
Il décide, après avoir lu "La Bataille" de Pierre Sergent, de rejoindre le Mouvement jeune révolution de Jean-Pierre Stirbois et Nicolas Kayanakis.
Il anime en 1989 le comité "Vérité 89 en Bas-Berry", en réaction aux célébrations du Bicentenaire de la Révolution française. Cela se traduit par l'érection d'un monument en présence de Gonzalve de Bourbon (petit-fils du roi d'Espagne Alphonse XIII d'Espagne ) à la mémoire de la petite Chouannerie du Bas-Berry.Pour cette même occasion, Françoise Pichard illustre sur un scénario de Francis Bergeron "La Révolte de Crève-Bouchure : la petite chouannerie du Bas-Berry" paru en 1989 chez Bédésup (fanzine dirigé par Jean-Claude Faur).
Journaliste, essayiste et scénariste de bandes dessinées français, il défend des idées proches de certains courants du Front national.
Il a écrit dans "Présent" dès l'origine, et au "Quotidien de Paris" il a également collaboré aux "Écrits de Paris" (périodique français fondé par René Malliavin), à "Reconquête", et à "Famille chrétienne".
Francis Bergeron a publié une soixantaine de livres ; il a une abondante production rn direction de la jeunesse. Fin 2012, sa série " Le Clan des Bordesoule ", qui s'adresse à des jeunes lecteurs de 8 à 12 ans, a dépassé les 300 000 exemplaires vendus. Elle pourrait approche 40 titres d’ici 2020.
Il a publié plusieurs biographies d'écrivains, à savoir Maurice Bardèche (qu'il a fréquenté), Béraud, Léon Daudet, Henry de Monfreid, Saint-Loup ; Hergé dans la collection "Qui suis-je ? ".
Il préside l'association littéraire des amis d'Henri Béraud.
Source : Wikipédia
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L'histoire de Bardèche, c'est d'abord l'histoire d'une extraordinaire amitié, d'une amitié littéraire et politique, mais d'abord d'une amitié d'hommes. Brasillach a littéralement illuminé la première moitié de la vie de Bardèche.
Cet homme, comme le dit Bardèche lui-même, avait un don particulier, celui de "faire miroiter, étinceler. La vie, les livres, les spectacles, les évènements lui apparaissaient avec des couleurs plus vives qu'à nous, comme elles lui auraient pu apparaître à un peintre et il ne pouvait pas se retenir de les représenter." Brasillach, c'est une capacité contagieuse d'enthousiasme, et du même coup une aptitude au bonheur, ce qu'Anne Brassié a su si bien traduire dans sa biographie, Brasillach ou encore un instant de bonheur.p.82/83,
Tout le monde était installé autour d"une énorme table en chêne, faite d'une seule pièce. La cuisine reconstituait, jusque dans les moindres détails, une cuisine du passé, avec ses casseroles en cuivre, sa balance, ses mortiers. Cette table, devait préciser Emmanuel au cours du dîner, avait été taillée dans le bois d'un chêne de la forêt de Tronçais, un chêne d'environ 35 mètres de haut, et qui était âgé de 200 ans environ. Une belle pièce, qu'il avait mis près d'un mois à fabriquer.
- vous savez, c'est une région qui a eu longtemps mauvaise réputation. Elle compte de nombreux étangs. C'est pourquoi on l'appelle le pays au mille étangs. Et ces étangs propageaient aussi mille maladies, autrefois ; les Brennous - les habitants de la Brenne - étaient surnommés les "ventres jaunes". A cause de ces maladies qui leur donnaient le teint jaune. Ah, mes enfants ! Au dix-neuvième siècle, on ne faisait pas de vieux os dans la Brenne. Et aujourd'hui encore c'est une des régions les moins peuplées de France. Il n'y a plus que des animaux qui vivent là, en toute liberté d'ailleurs : plus de mille sortes d'animaux sauvages ; surtout des oiseaux.
Comme ils allaient éteindre la lumière, ils entendirent un curieux grincement qui semblait venir de l'intérieur même de la maison. Pas d'erreur : il était plus de minuit et pourtant la porte venait de grincer en bas. Nicolas ouvrit une fenêtre de la chambre et se pencha pour regarder dans le jardin. Il lui sembla qu'une lueur fugitive, comme celle d'une lampe de poche, éclairait par intermittence le soupirail de la grande cave, celle qu"on appelait la cave voûtée.
Nicolas, le sportif, Gaëlle, la fillette courageuse, Corentin l'intellectuel et Julien le boute-en-train formaient une équipe de quatre enfants unis comme les doigts d'une main, qui n'aurait en effet comporté que quatre doigts. Pardon, cinq doigts, car il fallait encore mentionner le professeur Champion, un vieux monsieur qui, dans le passé; avait participé à la totalité de leurs aventures.
Le Berry était plus riche, plus actif autrefois. C'est un pays rural ; nos campagnes se sont dépeuplées. Les greniers, ici, sont pleins de trésors. Par ailleurs, nous n'avons pas subi les conséquences des guerres mondiales, à la différence de ce qui s'est passé dans l'Est et le Nord de la France. C'est pourquoi antiquaire et collectionneurs peuvent y trouver leur compte.
- Ils ne sont pas très forts en orthographe, les organisateurs de ce jeu ; "faire bonne chère", cela veut dire : faire un bon repas, manger de bonnes choses. Mais il ne fait pas l'écrire "chaire", comme un fauteuil ou une chaire d'église, ni "chair", d'ailleurs, comme dans Le Petit Poucet "ça sent la chair fraîche, ici ! ".
- Mon Dieu ! Ce n'est pas possible !
Du premier étage, Nicolas contemplait la rue Gambetta, totalement noyée sous les eaux. Une masse mouvante, noirâtre avait tout envahi. Des sortes de petits tourbillons se créaient autour des portes des maisons et au pied des murets des jardinets.
Du premier étage, Nicolas contemplait la rue Gambetta, totalement noyée sous les eaux. Une masse mouvante, noirâtre avait tout envahi. Des sortes de petits tourbillons se créaient autour des portes des maisons et au pied des murets des jardinets.
NI une, ni deux : sans réfléchir, Julien fonça vers le groupe, se fraya un chemin à coups de coudes, bousculant quelques touristes. Il monta quatre à quatre les marches, et se dissimula, tout essoufflé, dans l'ombre de la pièce où se trouvait l'appareillage électrique des cloches.
Nicolas sursauta : là, cette masse enfoncée dans l'eau... une baleine ! Ils venaient de longer le corps d'une baleine échouée ou endormie ! La bête avait peut-être vingt mètres de long. Elle émergeait de quelques dizaines de centimètres, tout au plus.
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