Fabien Vehlmann

Un jeu des sept familles assez plaisant, qui redonne foi en cette série.
Lien : http://www.bdencre.com/2014/..

Critique de Corentin



L’histoire de cette BD se passe dans une petite ville nommée Fortville. Il y a 5 enfants, Dodji, Leila, Camille, Terry et Yann qui ne se connaissaient pas avant que tous les adultes et tous les enfants aient disparu de leurs villes. Ils vont devoir apprendre à se débrouiller tout seuls.Yvan est le gars qui joue aux jeux vidéo pour compenser l’absence de ses parents, Terry est un petit grognon et n’est jamais content, Leila est une fille bricoleuse et qui aime se servir de son imagination,Camille est la fille qui est la première et Dodji l’orphelin qui sait déjà se débrouiller tout seul.

C’est un premier tome qui introduit la série avec la disparition de tout le monde dans la ville.

Ce premier tome instaure bien le mystère grâce à cette disparition, car on se demande comment vont se débrouiller les enfants dans cette ville, sans personne. Ils devront trouver à manger, se protéger contre toutes les menaces puis trouver un endroit où ils seront en sécurité puis partir à la recherche d’autres personnes qui n’auraient pas disparu tout comme eux. Ces cinq enfants se sentent libres car il n’y a aucun adulte pour les contrôler.



J’ai plutôt apprécié cette BD car l’histoire est plaisante et prenante.

Je trouve les personnages bien dessinés et leurs personnalités bien choisies même si je trouve dommage que le suspense soit gardé trop longtemps et que l’histoire n’avance pas assez vite.



Critique de Sulyvan Blais



Le livre s'appelle « Seuls », il a été publié en 2007 par Gazzotti et Vehlmann. Grâce à ce titre le lecteur peut se faire une petite idée car le mot « seul » peut faire imaginer une personne qui se retrouve toute seule mais le mot « seuls » du titre comprend un « S » à la fin du mot, ce qui peut faire penser à quelques personnes qui se retrouvent seuls tous ensemble et qui essayent de s'en sortir . L'histoire se passe en plusieurs journées et plusieurs nuits. Le suspense est maintenu jusqu'à la fin.



J'ai vraiment bien aimé cette histoire car j'aime bien le fait de garder le suspense jusqu'à la fin, au moment où il relâche le tueur de couteaux qui est d'ailleurs très jeune et aussi le fait de tout le temps couper l'histoire de chacun et remettre ce qui se passe avec un autre personnage puis remettre la suite deux ou trois pages après. Nous sommes intrigués par la suite donc on continue de lire pour découvrir ce qui va arriver aux personnages. Mais le point négatif de ce livre c'est qu'à quelques endroits on sait déjà ce qui va se passer. Je conseille la lecture de ce livre aux gens qui aiment le suspense ou encore les histoires qui se finissent bien ou encore les histoires de jeunes un peu fantastiques.

Très bon livre qui donne envie de connaître la suite

Très bon livre qui donne envie de connaître la suite

Très bon livre qui donne envie de connaître la suit

magnifique bd ! vivement le tome 2 !!!

Un tome 8 dans la lignée de précédents : suspens, et même frissons, avec toujours la même hâte de découvrir la suite !

Les Arènes relancent l'intérêt de la série et donne toujours autant envie de poursuivre la lecture, surtout avec les quelques rebondissements qu'il contient.
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..

j'aime

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Cinq enfants, d'âges et d'origines différents se retrouvent seuls au monde. La ville est en effet mystérieusement désertée de ses habitants. Ces jeunes vont devoir apprendre à se débrouiller seuls et faire face aux dangers qui rôdent...



Le lecteur est immédiatement embarqué dans cette histoire surprenante : où sont donc passés les gens ? Les enfants sont ils vraiment seuls dans la ville ? Les cinq héros vont devoir faire preuve de courage et s'entraider pour survire dans une ville fantôme angoissante.

L'intrigue est captivante mais n'apporte pas encore de réponses ! Une série à suivre donc ...

Sincèrement, je n'ai qu'une seule angoisse au sujet de cette excellente série : c'est que le scénariste ne sache pas très bien où il va emmener tous ses personnages ... et que donc nous nous en arrivions à un tome final, semblable au dernier épisode de la série américaine "LOST" ... Une horreur, quoi !

Et, d'un autre côté, c'est ce qui fait également le charme de cette bande dessinée : mais comment tout cela va-t-il finir ? et quelles sont les raisons de tout cela ?

Vous n'avez pas encore lu un tome de "Seuls" ? Alors, courrez chez votre libraire.

Seuls a réussi à imposer son univers très particulier et sept albums plus tard, la mécanique de précision aussi mystérieuse que bien huilée imaginée par Fabien Vehlmann fonctionne toujours aussi bien.
Lien : http://www.auracan.com/album..

S'étant rendu compte que la ville s'enfonçait autour du monolithe noir, Dodgi, Saul et Leïla vont devoir trouver une solution pour sauver les enfants d'une disparition certaine. De l'action garantie…

Les auteurs nous avaient emmenés précédemment sur un terrain métaphysique un peu tortueux. On se satisfait d'un regain d'action même si les conditions vont de mal en pis. Gazzotti et Vehlmann réussissent le pari de relancer cette aventure qui risquait (risquait seulement) de tourner en rond et vers le bas comme le centre de la ville.. On a hâte de lire la suite car la fin de ce 7e opus est étonnante.

Après la mort supposée ou avérée de plusieurs d'entre eux, Leîla, Dodgi et les autres essayent de comprendre ce qui leur arrive. Sont-ils morts, comme le dit Saul après son combat contre le requin? Toujours est-il que tous les enfants se retrouvent à Fortville et vont former deux clans qui vont marquer leur territoire, et bientôt se livrer un combat féroce.

F. Velhmann et B Gazzotti nous entraînent sur un terrain métaphysique difficile a vivre pour des enfants, et aussi ardu à comprendre pour les plus âgés. Cet épisode marque un peu le pas e

Notre équipe de départ a quitté le parc d'attraction pour retourner en ville, accompagné de quelques autres dont deux enfants énigmatiques apparemment frère et sœur. La vie à la ville ne va pas se révéler aussi simple que prévu. Un groupe de singes très agressifs s'ingénie à rendre les choses plus difficiles encore et de mystérieux cairns rouges sont érigés un peu partout. Le maître des couteaux refait son apparition et vient demander de l'aide aux enfants pour sauver un bébé…

Les deux auteurs donnent une dimension encore plus fantastique à l'histoire et la lutte contre les primates nous fait penser à “La Planète des Singes” dans une version urbaine. Les personnages prennent de la gravité et mûrissent encore plus vite.

Dans ce 3e tome, Dodgi, Leïla, Yvan, Camille et Terry ont quitté Fortville à la conquête d'Ailleurs. Poursuivis par une meute de chiens redevenus sauvages, ils vont trouver refuge dans un parc d'attractions où nombre d'enfant sont réunis sous le commandement d'un mystérieux Saul.

Gazzotti (SODA), et Vehlmann (SPIROU) nous emmènent dans un monde d'enfants obligés pour certains de se comporter en adultes. On pense aux enfants perdus de Peter Pan, et, à mi-chemin entre “Les Coloriés” d'A. Jardin et ”Mad Max”, les auteurs nous livrent un album plus grave et en fin de compte, posent plus de questions qu'ils n'apportent de réponses.

Le deuxième tome de Seuls voit nos cinq héros s'organiser pour préparer un bus avant de partir à l'aventure. Les caractères des personnages s'affirment et entre “grands” l'autorité se dispute. Leïla semble prendre son équipe comme une grande sœur, tandis que Dodgi qui en a bavé étant plus jeune, est plus mature et plus autoritaire. Un nouvel ennemi fait son entrée d'une manière plutôt saignante mettant à dure épreuve les nerfs de nos jeunes amis, qui apprennent la vie un peu à leurs dépens. L'unité du groupe devient indispensable, non, ils ne sont pas que cinq survivants.

Velhmann et Gazzotti mènent bien leur histoire et avec un découpage très classique, une interrogation à chaque bas de page, donnent du corps et du sentiment à cette aventure.

Un jour, ou plutôt après une nuit un peu bizarre, la ville se réveille sans aucun habitant. Aucun ? Seuls, quelques enfants se retrouvent au détour des pages et arpentent les rues à la recherche d'autres êtres vivants. Ce n'est pas le Club des Cinq, mais nos héros vont devoir affronter d'autres survivants, les animaux d'un cirque mystérieusement vidé de ses humains.

J'ai beaucoup aimé l'idée de départ de cet album dont le scénario, même destiné à un jeune public, ne manque pas de personnalité. Le dessin de facture traditionnelle, fonctionne très bien, et montre aussi bien les différents caractères et est efficace, rapide et lumineux.

Un premier tome aussi prenant que violent dans un bel album toilé.
Lien : http://www.avoir-alire.com/p..