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Citations de Amy Engel (460)


« A l’époque, les femmes étaient autonomes, elles choisissaient leur conjoint, leur métier, elles étaient libres d’opter pour un chemin ou un autre. Un rêve très lointain pour moi. »
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Mais chez moi, la beauté n'était pas prisée. Personne ne faisait jamais de compliments sur l'apparence, je n'ai eu droit qu'aux moqueries de Callie sur ma taille et mes courbes. Cette absence d'intérêt pour l'apparence physique était une bonne chose, sur beaucoup de plans. Pourtant, je trouve tout de même triste qu'un père ne dise jamais à sa fille qu'elle est jolie, ne sache même pas si elle l'est ou non. 
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je suis sur qu'elle m'aime, mais elle ne l'a jamais montré. Et c'est horrible pour un enfant, tu vois ?Tu as toujours l'impression de devoir gagner cet amour au lieu de le recevoir sans conditions
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"je veux m'élever au-dessus des leçons qu'ils m'ont enseignée. Je veux que mon amour soit plus grand que ma haine, ma miséricorde plus forte que mon désir de vengeance."
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Il a raison. Il me connaît mieux que personne ne m'a jamais connue, mieux que personne ne me connaîtra jamais. Si j'en avais été capable, j'aurais interrompu ce qui se passait entre nous. Mais j'ai appris à la dure qu'on ne choisit pas la personne qu'on aime. C'est l'amour qui vous choisit; qui se fiche bien de ce qui est pratique, facile ou planifié. L'amour à ses propres projets et tout ce que nous pouvons faire, c'est le laisser agir à sa guise."
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Les larmes dévalent mes joues et leur sel me pique les lèvres. Je cède et m'autorise à pleurer. Pour tout ce que j'ai perdu, par peur de ce qui m'attend. Je pleure la fille que j'ai été, l'épouse que je n'ai jamais voulu être, le tueuse que j'ai refusé de devenir, la traîtresse que j'ai prétendu être.
Je ne suis aucune d'entre elles à présent. Je relève la tête et m'essuie les yeux. Fille. Épouse. Tueuse. Traîtresse. Ce sont toutes d'anciennes version de moi. À partir de maintenant, je deviens une survivante.
Je respire un grand coup et je lâche la barrière.
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La vie n'est qu'une plaisanterie de mauvais goût après une autre, je commence à le découvrir. Car c'est injuste de souffrir autant une fois qu'on a enfin obtenu ce qu'on souhaitait.
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Mon père nous racontait toujours la façon dont se passaient les choses avant-guerre, qu’il tenait de son propre père. Des femmes juges et médecins, des femmes qui se présentaient même aux élections présidentielles. Bien sûr, ce n’était pas le cas de toutes. Il y en avait encore qui restaient au foyer pour élever leurs enfants. Mais il s’agissait d’une décision, et non d’une voie imposée. A l’époque, les femmes étaient autonomes, elles choisissaient leur conjoint, leur métier, elles étaient libres d’opter pour un chemin ou un autre. Un rêve très lointain pour moi.
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Je ne suis en rien comme ces adolescentes qui m’entourent. Epouser Bishop Lattimer, ce n’est pas accomplir mon destin. Ma mission n’est pas de le rendre heureux, de porter ses enfants et d’être sa femme. Ma mission, c’est de l’assassiner.
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Lorsqu'on est conscient d'être manipulé, mais que ça fonctionne, peut-on encore appeler ça de la manipulation ?
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Selon Callie, il y a la famille et il y a tous les autres.
Mon père, c'est ma famille.
Bishop, c'est tous les autres.
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Danser autour de la vérité, c'est épuisant.
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Depuis le début, il me prend au dépourvu, renverse toutes mes idées préconçues à son sujet, même les plus simples. C'est encore une pièce dans le puzzle de Bishop, une pièce aux contours déchiquetés et qui ne s'imbrique pas facilement dans le reste de l'image. Ça me plaît qu'il soit complexe, que la somme de toutes ces pièces donne quelqu'un d'unique et de difficile à comprendre. Je n'ai pas le droit de le souhaiter, et je ne peux pas avoir l'espoir que ce souhait se réalise, mais j'ai quand même envie d'être celle qui le déchiffre.
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Dans l’arsenal du président Lattimer, notre obéissance aveugle est l’arme la plus efficace de toutes.
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Lorsqu’on a un destin tout tracé, comme le mien, on n’a pas le droit d’être dorlotée. Son rôle, c’est de me rendre forte. 
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-Vérité.
J'ai chuchoté, car je ne fais pas confiance à ma voix.
-Est-ce que tu avais peur de moi, le premier soir ? me demande Bishop.
Sa question me surprend, tout comme son front plissé et son regard sérieux.
-Oui.
Aucune raison de mentir.
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Soit nous fuyons , soit nous mourrons
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Les filles de Roanoke ne font jamais long feu ici
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Tu es facile à déchiffrer, Ivy, mais ton livre est compliqué.
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Et peut-être est-ce aussi ça, l'amour. Ressentir la douleur de l'autre comme si c'était la nôtre.
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