Citations de Adeline Dias (44)
« — J'ai du mal à croire que ce genre de choses existe sans que personne n'ait jamais rien vu...
— Nous, nous cachons bien, tu sais. Si ça venait à se savoir, nous serions traqués. Tu ne sais pas à quel point les Psis sont vus comme des bêtes curieuses dans le monde, ni le nombre de ceux que nous avons dû aider à se libérer. Le clan, c'est aussi être assuré que quelqu'un viendra à ton secours, quoi qu'il arrive. »
Anaïs me mijote toujours des trucs super
bons, elle me laisse la meilleure place dans le canapé et
elle ne dit rien quand je veux sortir, même tard le soir. La
femme parfaite. Je ne vais pas la quitter de sitôt, même si
je dois bien avouer que son physique d’humaine est assez
repoussant. Je préfère de loin les minettes graciles.
J’arrive enfin devant la baie vitrée qui donne sur le
salon. Je la vois, étalée dans le canapé au lieu de préparer
mon bol ! Je gratte furieusement et me mets à miauler.
Elle a intérêt à s’activer pour venir m’ouvrir ! Prince
- Bah alors, t'es coincé?
Josselin leva les yeux et fit non de la tête avec un sourire amusé.
- J'hésite entre vomir à l'intérieur ou à l'extérieur de ta voiture, finit-il par répondre en ouvrant la portière, ce qui ne manqua pas de provoquer l'hilarité de Liam.
Tu sais bien que les mauvais garçons gagnent toujours.
Mais ici, il y a des gens qui s'inquiètent pour toi. En trois jours, tu as bouleversé notre quotidien à tous et, même si tu crois qu'en si peu de temps, tu ne t'es pas attachée à nous, nous, par contre, nous ne sommes pas prêts à te laisser retourner dans la rue...
Quand tu parles avec tes sentiments, tu peux tout obtenir, crois-moi.
Il l'aimait. C'est aussi simple que ça ! Aussi douloureux que ça !
"En quelques jours, il avait compris que Margot avait pris une place dans sa vie qu'aucune autre avant elle n'avait jamais occupée. L'avouer était difficile, voir à quel point elle ne semblait pas y prêter attention l'était encore plus."
La confrérie des chats de gouttière était presque au complet: il ne manquait qu’une seule personne de la troupe d’enfants qu’ils avaient été: le temps l’ avait séparé des autres.
– Tu sais, dès que j’essaie d’aborder le sujet , ça finit invariablement en dispute… Il faut qu’elle comprenne qu’il aurait pu lui arriver n’importe quoi ce soir-là! Imagine si ce n’était pas moi qui l’avait trouvé?
– Elle a 22 ans et tu parles d’elle comme d’une gamine. Essaie de la voir comme une femme et tout ira mieux.
- Mes parents étaient musiciens.... Mon gout pour la musique, mes souvenirs et mon pendentif.... C'est tout ce qu'il me reste d'eux.
Julliette mentait. Ils n'étaient pas dupes, mais aucun ne trouva le courage de la contredire. Ils sentaient tout les deux un peu fautifs. Liam lança un coup d'œil à Josselin et attrapa sa tasse pour la terminer.
concentré sur sa tâche et ses projets, il en oublia de regarder devient lui et percuta assez violemment une passante qui tituba en se tenant l'épaule avec une grimace de douleur.
L'univers des Psis dans lequel tu viens de mettre les pieds, ce n'est pas le pays merveilleux des fées et des licornes.
Prendre le risque ferait moins mal que de regretter.
Elle était belle dans ses particularités et particulièrement belle.
S'attacher, c'était prendre le risque d'être blessé.
L'important, ce n'est pas ce qu'eux, ils pensent, mais ce que toi, tu sais. Leur avis, tu t'en fiches.
Il inspira profondément pour essayer de trouver les bons mots. Difficile de savoir comment parler de ses maux.