Ced

Chicago, 1938. Jerry Jingle a des super-pouvoirs mais il s'en sert surtout pour sauver Margot Muffin, la collègue du New Daily qui est très maladroite. Mais une pluie de dinosaures et la venue de robots tueurs vont le sortir de son train-train quotidien, il devient alors Mystery.

De Ced, j'avais beaucoup aimé Wikipanda, on comprend pourquoi je n'ai pas hésité à prendre cette série ! Le début m'a laissé sceptique mais finalement, on se laisse porter par les évenements et on fait bien marcher les muscles maxillaires. Je ne connais pas assez l'univers des super-héros mais on pense rapidement à Superman (et Lois Lane) avec Jerry et Margot. Ca part dans tous les sens et on a le droit à plusieurs voyages dans le temps ! Excellent, surtout la magie de l'anonymat du masque... à suivre !

Une BD jeunesse découvert par hasard à la bibliothèque… Un panda s’adresse à son lecteur : il s’agit de lui faire découvrir les particularités du monde animal. Il répond aux questions aussi bien universelles qu'insolites des internautes sur les animaux. Qui est venu en premier, l’œuf ou la poule ? Comment le bébé koala mange-t-il ? Quel est cet animal que j’ai trouvé dans ma piscine ? Les réponses expliquent bien le comment du pourquoi mais attention, à bien discerner la réalité du loufoque (pour le jeune enfant). En général, l'absurde est très facile à reconnaitre car l'auteur y va franchement ! J’ai beaucoup rigolé en lisant cette BD, excellente pour les adultes (beaucoup de références) et les enfants curieux de la nature et savent lire « avec discernement ». Les dessins sont sympas, très colorés (attention au rat-taupe !)… Le tome 2 est déjà emprunté.

Marcus, jeune lycéen prêt à tout pour séduire Jesslinda la gothique, participe à une séance de spiritisme. Celle n'a rien donné de concret mais bientôt apparait à ses côtés Clay un démon prêt à exaucer tous ses voeux en échange de son âme. Occultant la contrepartie, Marcus a quelques idées qui pourraient le rapprocher de de la jeune fille...

C'est d'abord l'auteur, Ced qui m'a donné envie de découvrir Wishlist, mélange d'Aladdin et de Dawson (en mode pimenté). J'avais beaucoup aimé sa série instructive, Wikipanda (2 tomes). Ici, on est dans la comédie aussi car Marcus cherche à plaire à Jesslinda, cette dernière n'est pas indifférente mais on enchaine les quiproquos. Comme quoi, une histoire d'amour d'adolescents qui pourrait être toute simple, même avec de l'aide, ça devient compliqué.

Pour détendre les neurones, même si quelques souhaits sont assez étonants et imprévisibles... Vivement la suite !

#Wishlist #NetGalleyFrance

Sherlock Holmes a reçu, de manière anonyme, plusieurs mystères à résoudre et signifie à Watson qu’il ne veut pas de lui sur ces enquêtes parce que son étroitesse d’esprit le freinerait au lieu de le servir…



Sympa, non ? Mais puisque dans ces mystères il y en a un qui lui semble être un coup monté et que c’est à deux pas, il charge Watson de l’affaire du chat de Baker Street.



Cette fois-ci, en plus de l’affaire du chat, vous devrez résoudre trois mystères, trois enquêtes où vous pourrez être Holmes ou Watson, ce dernier étant privilégié quant au nombre de questions qu’il a le droit de poser.



Si l’opus précédent était amusant, bourré de situations cocasses, de bonnes réparties et toussa toussa, celui est plus sérieux, le but du jeu étant de ne pas nous distraire de notre rôle d’enquêteur.



Pas de filature, pas de déguisement à enfiler, pas de possibilité de mourir non plus, ici, nous sommes dans le plus pur style du « Whodunit » ( c’est-à-dire « qui l’a fait ? »), avec quatre énigmes à résoudre.



L’avantage, par rapport aux anciens romans « dont vous êtes le héros », c’est qu’il ne faut aucun autre matériel qu’un crayon. Laissez tomber les dés…



Par contre, soyez attentifs pour ne pas rater des indices ou des numéros cachés qui pourraient vous mener droit à des indices importants. Moi même, j’en ai raté quelques uns.



Les dessins sont drôles, Sherlock a une drôle de tête mais je trouve cela amusant et cela ne me dérange pas le moindre du monde.



Bilan final ? Deux enquêtes réussies, une que j’ai totalement foiré et une autre où, hésitant entre deux suspects, j’ai malheureusement joué le mauvais chameau.



On passe assez bien de temps à manipuler le livre dans tous les sens, ce qui nous fait passer quelques heures très agréable à se creuser les méninges avant la solution finale des enquêtes.



Je me suis amusée comme une petite folle et je compte le ré-ouvrir dans peu de temps afin de voir ce que j’ai loupé comme indices importants.


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Parodie d'aventures de superhéros, jouant sur les stéréotypes du genre, avec un graphisme dynamique, des répliques truculentes, de l'autodérision, c'est totalement déjanté, à mourir de rire.

J'avais complètement zappé cette petite bédé sur Sherlock Holmes, heureusement que le post d'une chronique sur un blog (consultingblogger.fr) m'a rappelé mon erreur. Je me suis mise en chasse immédiatement afin d'acquérir cette bédé dont je serais, ni plus ni moins, que le docteur Watson himself !



Cette technique du lecteur qui joue un rôle dans un roman n'est pas nouvelle sous le soleil, toute jeune déjà, j'avais acheté les livres où le lecteur était le héros (ceux consacrés à Holmes, of course), mais là, il fallait une paire de dés, un carnet de notes et c'était des romans, avec juste quelques illustrations, pas des bédés comme celle que j'ai acheté maintenant.



Ici, pas besoin de dé ou de carnet de notes (une feuille volante suffira), mais l'interactivité y est bien présente. Un vrai plaisir que de résoudre la mort par empoisonnement du romancier Ames Douglas.



L'enquête est bien scénarisée, les pistes sont nombreuses, multiples, même, laissant la possibilité de trouver la solution par d'autres chemins ou de se faire aider un peu par Holmes.



Mes seules critiques seront pour les dessins : Holmes ressemble à une caricature de Benedict Cumberbatch ("Sherlock" à la BBC) et il y a comme des imitations de taches de graisse sur les dessins... ça gâche un peu le tout, mais cela lui donne un cachet comme s'il avait été feuilleté souvent.



Le canon est bien respecté (hormis le hiatus de 5 ans), l'enquête est originale et tellement bien trouvée que j'ai compris - un peu tard - qui était le véritable coupable (là aussi, les fausses pistes sont bien trouvées).



Par contre, ma fougue et mon mépris du danger m'ont desservis puisque je suis morte deux fois (du moins, mon personnage de Watson), je suis responsable de la mort de Holmes et un innocent est mort, dû à un mauvais choix d'action de ma part. Oups ! Game Over...



Le code secret m'a fait suer et heureusement que les indices étaient là, distillé à bon escient par Holmes. Le code étant important pour la suite.



Par contre, je n'ai pas foiré dans mes déguisements, ni dans mes filatures, ayant choisi les bonnes personnes à suivre. Quant aux questions à poser à la veuve et au majordome, j'ai évité les questions qui fâchent.



Bref, je me suis amusée comme une petite folle avec cette bédé aux multiples possibilités.



Pour vous dire, une fois l'enquête terminée, j'ai feuilleté le petit livre afin de voir ce qu'il se serait passé si j'avais suivi telles ou telles pistes, posé telles ou telles question et je compte bien approfondir ma recherche pour ne rien rater de cette bédé.



De plus, une image à la fin laisse sous-entendre que tous les mystères ne sont pas levés et que nous pourrions avoir un autre épisode. En tout cas, il y a encore une enquête à résoudre sur le Net.


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Voici mon retour de lecture sur la bande dessinée Le caïd du lycée, tome deux de la série Whishlist.

Récapitulons : le jeune Marcus, qui pensait brader son statut de loser en vendant son âme au diable, enchaîne les soucis depuis que Clay, le démon gaffeur censé réaliser ses vœux, est entré dans sa vie.

Non seulement Jesslinda, la plus belle fille du lycée, ne veut toujours pas de lui, mais en plus Marcus a embrassé la surveillante générale à la fête de Noël !

Mais tout ça ne serait rien si un terrible démon, Kradoch, ne venait soudain remplacer Clay..

Car Kradoch risque bien de pousser Marcus sur la mauvaise voie.. au risque de lui faire perdre son âme d'une autre façon..

Le caïd du lycée est donc le tome deux de la série Whishlist, dont j'avais trouvé le premier tome sympathique. Il est important de les lire dans l'ordre car c'est une suite directe.

Marcus, que j'ai beaucoup aimé dans le premier tome, a de sacrés soucis. Après avoir vendu son âme au diable et récupéré un démon peu expérimenté : Clay ; il se retrouve avec Kradoch. Un démon de niveau très supérieur mais dont le but n'est pas de faire tomber Jesslinda amoureuse de Marcus.. En effet le démon pète les plombs lol

J'ai apprécié le tome un, qui était frais et bourré d'humour.

Ici, j'ai trouvé ça un peu réchauffé et moins drôle.

Il est vrai que je ne suis pas la cible, qui est les adolescents. Ceux ci seront amusés vu le comportement du démon, ce qu'il provoque et certains passages.. surprenants.

Mais l'adulte que je suis a trouvé l'ensemble un peu répétitif et poussif.

C'est sympathique à lire, mais je n'en garderais pas un grand souvenir.

Par contre, j'ai toujours autant aimé les illustrations et la colorisation.

Je pense malgré un avis plus mitigé lire la suite car la fin nous laisse clairement sur notre faim et donne envie de savoir ce qui va se dérouler dans le tome trois.

Le caïd du lycée est un second tome amusant, que je recommande aux adolescents et note trois étoiles et demie :)

Wikipanda nous raconte sous forme d’éxposés scientifiques, la vie des animaux, l’ornythorynque, la fourmi, le rat-taupe… Dans la première page, l’auteur fait référence à Gotlib et son fameux Professeur Burp. Le ton est désinvolte, humoristique, un peu loufoque. Mais contrairement à Gotlib, il y a aussi du sérieux, du véritablement scientifique. J’ai parfois ri, appris quelques trucs, une lecture sympathique.

Toujours aussi loufoque et déjanté, ce tome 2 de la série L'apprenti seigneur des ténèbres m'a fait passer un bon petit moment de rigolade.

On y retrouve les grosses ficelles de la medieval fantasy caricaturées au possible, et une multitude de petites saynètes qui font avancer l'histoire à coup de gags souvent débiles mais marrants.

Une série plutôt drôle que cet AST, apprenti seigneur des ténèbres. Des gags à la pelle, des références et de l’humour med-fan comme on aime à les voir. Avec ses deux acolytes demeurés, notre petit-héros-maléfique-dont-on-ne-voit-pas-le-visage va tenter de conquérir le monde, et c’est pas gagné… Adapte de naheulbeuk ou de noob, cette série pourrait vous plaire. Amateur de fantasy en tout genre et doté d'une bonne dose de second degré, vous y trouverez aussi votre bonheur. Moi, j'ai bien ri :)

Un monde Idyllique, avec des licornes roses, des animaux mignons, des êtres fantastiques, un univers très girly, aux couleurs pastels, rose et bleu, mais pas vraiment, dans ce monde, tout va de travers. Penny s'y retrouve sans savoir comment elle est arrivée là, sans mémoire et avec une corne au milieu du front. Ce monde serait créé par la Grande Licorne Rose Invisible pour sauver les animaux rares et les recueillir dans son monde refuge. Est-ce une religion ou une légende, toujours est-il que le dahut exploite le filon. Penny avec ses amis, Uno, le cyclope, et Kurb, la licorne bleue, se lancent dans une quête pour rencontrer la Grande Licorne rose invisible. L'humour est décapant, l'aventure complètement déjantée, loufoque, et les répliques particulièrement bien salées. Et dans cette aventure viennent se greffer des thèmes pas si anodins, l'apartheid et le racisme, la religion et le business, l'embrigadement des foules, les médias, ça décorne sec ! J'aime l'humour de Ced, son ton décalé, de l'ironie appréciable à tous âges, c'est vivant, expressif, un truc de cinglé comme j'aime et très loin de l'innocence d'un monde de licornes gentilles pour petites filles.

Bon, j'ai commencé par le tome deux et il faut absolument que je dégotte le tome un.

Voici mon retour de lecture sur la bande dessinée Mon démon favori, premier tome de la série Whislist.

Marcus est prêt à faire n'importe quoi quand il est in love..

Par exemple, participer à un rituel d'invocation satanique afin de plaire à Jesslinda la gothique, la fille du lycée qu'il kiffe..

Et c'est ainsi que l'adolescent se retrouve flanqué de Clay, un démon prêt à exaucer tous les vœux de sa wishlist en échange de trois fois rien : son âme.

Le souci, c'est que Clay est un démon débutant, super gentil mais méga gaffeur. Ce qui fait qu'il va interpréter n'importe comment les vœux de Marcus !

Mon démon favori est une bande dessinée bourrée d'humour mettant en scènes les déboires du jeune Marcus, un adolescent fou d'amour pour Jesslinda.

Dans leur lycée, il y a plusieurs groupes et le jeune homme intègre celui des gotiques par amour pour sa belle.. qui ne le calcule pas lol Les joies de l'adolescence !

Marcus va se retrouver avec un démon intérieur, invoqué par hasard avec ses camarades gotiques.

Et c'est le début des ennuis car son démon n'est pas le plus doué. Au contraire, il est vraiment en bas de l'échelle et exauce les vœux du jeune garçon.. d'une drôle de façon.. parfois..

Cela donne des passages amusants, et dans l'ensemble j'ai bien aimé cette bande dessinée.

Toutefois, je l'ai trouvé brouillonne. Par moment, j'ai eu un peu du mal à suivre. Cela part un peu dans tous les sens.

J'ai aimé l'histoire, le fait qu'on suive un ado fou amoureux, pas super bien dans sa peau, mais qui essaye de trouver des solutions pour que Jesslinda l'aime bien. Quitte à passer à coté de certaines informations, en regardant réellement la jeune fille, par exemple.

Les adolescents mâles ne sont pas les plus perspicaces, et cela se confirme ici ;)

Avec son démon intérieur ils ont parfois de drôles d'idées, ce qui donne des passages parfois très amusants.

J'ai bien aimé les illustrations, les traits du démon et des personnages, mais aussi la colorisation.

Pas de coup de cœur mais un quatre étoiles bien mérité :)

Tilda est princesse, mais c’est aussi un héroïne masquée, elle est toujours accompagnée de la fée Patrick. C’est une série pour les petits, mouvementée, drôle, dynamique, avec un dessin brut et coloré. De retour de voyage, Tilda découvre le château de Porte Nawak totalement vide et abandonné, elle va mener son enquête et découvrir qu’il s’agit d’une attaque du royaume du crépuscule qui utilise les miroirs du château pour passer d’un monde à l’autre. Il y a beaucoup de bonne idées, les noms sont drôles, on y trouve un mix en Alice au pays des Merveilles, la Belle au bois dormant et plein d’autres références variées, cela donne un petit côté fourre-tout sympathique et rocambolesque, mais malheureusement, il y a un peu trop de bagarres, de résolutions des problèmes par les coups et les bosses, trop pour le public auquel est destinée cette bande dessinée. J’ai commencé par le tome quatre, ce n’était peut-être pas une bonne idée non plus. Bref, cette bande dessinée est vive, dynamique, sympathique mais l’intrigue utilise un peu trop de solutions violentes pour me convaincre vraiment.

Mistery, c’est un super héros, presque invincible, parfois un peu bêcheur. Le ton de la bande dessinée, mais aussi le graphisme n’est pas sans rappeler le dessin animé que j’adore : ‘Indestructible”. Humour ironique, décalé et déjanté, action, retournements de situations, personnages secondaires dans la même veine, et un bon moment de rigolade. Si vous avez aimé “Indestructible”, cette série vous plaira.

Ce second tome est aussi drôle que le premier ! Le panda répond toujours aux questions insolites et drôles,des internautes sur le monde animal. Petit plus, le panda a pris un assistant pour les scènes un peu dangereuses, Denis.

Dans ce tome, on apprend pourquoi on ne trouve des méduses dans les eaux en été, comment a évolué la baleine ou pourquoi le ver luisant luit… et des dizaines d’autres informations très intéressantes. J’ai beaucoup ri pendant la lecture, une bonne manière d’apprendre des choses sur la faune. Certaines gags sont parfois dures à saisir sans quelques références pour les plus jeunes mais c’est une BD géniale pour apprendre sur ces animaux particuliers… et parfois un peu sur l’homme.

Une fois de plus je me suis prise au jeu d’enquêter aux côtés de Sherlock Holmes et de… Mycroft Holmes puisque ce tome 6 nous donnes cette possibilité.



Moi qui d’habitude joue en premier lieu avec Watson car son personnage a droit à plus d’avantages (Holmes étant le plus intelligent, il est pénalisé) lors des enquêtes, j’ai décidé cette fois-ci de prendre Sherlock.



On quitte Londres et on voyage dans les colonies à la recherche d’indices pour trouver les coupables.



Une fois de plus, le livre est bien fait, on le tourne dans tous les sens pour quérir des indices, compter les portraits de la reine Victoria et rassembler des objets dans notre valise, objets qui pourront être montrés à nos différents suspects.



Ce que j’aime dans ces enquêtes, c’est qu’il y a peu de suspects, bien souvent 4 par enquête mais purée, c’est toujours autant la prise de tête lorsqu’il faut écrire sur sa feuille d’enquête QUI on suspecte d’être l’auteur de l’assassinat/vol…



On penserait éliminer le groom du navire, mais qui sait s’il n’a pas tué ? La voisine de cabine du défenestré ? Elle aurait pu aussi le balancer, idem pour l’autre de la cabine d’en face… Et puis, et si le mort s’était suicidé ? Ou si plusieurs s’étaient associés pour le tuer ???



Première enquête choisie par votre serviteur et déjà une grosse prise de tête, des hésitations, alors je repasse tous mes indices en revue, je fais fumer mon cerveau, je le triture et je me dis que sur ce coup-là, mes capacités de déduction n’équivalent pas celles du Maître et que c’était plus simple de comprendre la solution de "La police des fleurs, des arbres et des forêts"…



Pour les trois enquêtes, je me suis creusée les méninges, rassemblant mes indices tel un Petit Poucet, scrutant chaque image pour voir si je n’avais pas loupé un numéro (et j’en ai loupé) qui m’amènerait vers un indice important et je ne peux que vous conseiller d’être plus qu’attentif car certains sont écrits en tout petit. Sadisme !



À force de m’arracher les cheveux, j’ai tout de même trouvé les 3 bons coupables (pas toujours les bons mobiles ou modus operandi) mais j’ai risqué de finir chauve à la fin de ces 3 enquêtes, sans compter que le tome 7 est annoncé avec un Watson accusé d’un meurtre…



Mon Dieu, encore de belles heures de jeu en perspective !! Parce que oui, ce genre de livre ne se termine pas en 20 minutes, ni même en une heure. Je l’ai étalé sur 3 jours, me concentrant sur une enquête par jour. Quand je vous dis que l’on en a pour ses sous car ça dure longtemps.



Sans oublier que je peux recommencer les enquêtes de mes anciens livres quand je le souhaite et incarner un autre personnage.



Un problème à trois pipes, ces enquêtes où je suis le héros !



PS : je suppose que c’est fait exprès, mais le défenestré Balthazar Barks avait des airs de Balthazar Picsou (inventé par le dessinateur Carl Barks !!), notamment quand on voit une photo de lui jeune, tenant une pépite d’or et la soulevant vers le ciel, comme lorsque que Oncle Picsou était chercheur au Klondike.



Plus je les regarde et plus je me dis que ceci n’est pas un hasard !


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Ce sont mes enfants qui ont voulu emprunter cette B.D à la bibliothèque. Je n'étais pas vraiment emballée m'attendant à du déjà-vu et de l'humour bas de gamme. Finalement, si "Rikk et Frya" ne déborde pas d'originalité, cette B.D m'a permis de passer un bon moment.



L'histoire proposée par Ced est dynamique et vraiment amusante. Les 2 personnages principaux sont sympathiques et leur duo fonctionne bien. Le récit est enlevé et fourmille de bonnes idées. Quant au dessin, même s'il est très classique dans le registre de la B.D pour enfants, il est agréable et assez charmant.



Cette 1ère aventure des 2 petits vikings a été une bonne surprise. Je lirai la suite avec plaisir.

Voici l'histoire d'un jeune apprenti seigneur des ténèbres qui pointe au chômage, se cherche un local pour assouvir ses dessins et recrute des acolytes aussi stupides que potaches.



De planches en planches on découvre un univers drôle à souhait qui devrait séduire un très large public autant chez les jeunes que chez les adultes.


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Marcus, lycéen des plus banal, est amoureux de Jesslinda. Alors qu'une incantation ne tourne pas vraiment comme prévu, il se retrouve affublé d'un démon personnel, Clay, chargé d'exaucer tous ses vœux. Mais ce dernier n'est pas très à jour de la société moderne et les vœux de Marcus tournent rapidement à la catastrophe.

Si l'histoire se répète un peu, chaque vœu tombant un peu à côté de la plaque, suivi d'un vœu pour tout réparer, cet album se lit avec plaisir, tant l'humour, omniprésent apporte de la fraicheur au récit. Parce que si Marcus souhaite séduire Jesslinda, c'est en devenant ce qu'il suppose qu'elle attend chez un garçon. C'est un flop à chaque fois, mais les souhaits entrainent chaque fois des conséquences toutes plus drôles les unes que les autres.

Quant aux personnages, il est difficile de ne pas s'attacher à Marcus, ado assez banal qui se sent transparent et tente de survivre à ses années lycée. Clay est un acolyte source d'amusement, débonnaire et très gentil pour un démon.

La fin ouverte, laisse présager un deuxième tome plus compliqué pour Marcus, que j'ai hâte de découvrir.

Entre cette collection et moi, c’est une histoire d’amour qui dure depuis le tome 1 (chroniques des tomes 2 / 3 / 4) et depuis le départ, l’auteur, CED, n’a eu de cesse de se renouveler.



Le but du jeu est toujours le même, certes, faut trouver QUI a tué, on voyage toujours autant dans le livre, suivant les numéros, mais la teneur des enquêtes changent.



Le tome 2 possédait 4 enquêtes, dans le tome 3, on pouvait incarner Moriarty lui-même et dans le 4, la belle Irene, en sus de pouvoir enquêter dans la peau de Holmes ou de Watson.



Ici, 10 ans plus tard, une femme s’est faite poignarder dans une ruelle sordide de Whitechapel et l’ombre de Jack The Ripper semble planer une nouvelle fois. Le changement par rapport à 1888, c’est que la victime n’est pas une prostituée, mais ça, on ne le dit pas dans l’album.



Oh purée qu’est-ce que j’ai sué une fois de plus pour ne rien louper, pour enquêter de la manière la plus concentrée qui soit et au bout d’une heure, je n’avais toujours pas trouvé qui était le coupable, même si j’avais une vague idée.



Dans ce genre de bédé, on en a pour ses sous car on met du temps à arriver au bout de l’enquête, tant les indices, les suspects, les interrogatoires, les fausses pistes, sont légions.



Pour une fois, j’ai quasi réussi à trouver toutes les petits énigmes dans l’énigme et à accéder à des détails importants qui m’ont aidé à affiner ma résolution, même si je n’en étais pas sûre à 100% car CED sait brouiller les pistes et nous donner des infos qui ne serviront qu’à jeter le fog dans notre esprit, moins brillant que celui de Holmes.



Il faut en tout cas être bien attentif durant son enquête, je jamais hésiter à suivre un chiffre afin de rien rater, comme les inscriptions sur les murs.



À un moment donné, je me suis même retrouvée bloquée dans l’avancée de l’histoire parce que je n’avais pas observé avec attention une scène et de ce fait, loupé un chiffre qui m’envoyait vers deux autres suspects et me faisait gagner des points finaux.



La bonne idée était de nous fournir un plan de Whitechapel « vierge » que nous devons compléter au fur et à mesure que nous trouvions des adresses durant nos pérégrinations, ce qui laisse la possibilité de revenir sur ses pas quand on pense qu’on a loupé un détail important.



Mon seul bémol sera pour le fait que j’ai eu l’impression que Holmes et Watson étaient plus en retrait que dans les autres éditions… Qu’on les voyait moins, qu’ils intervenaient moins… Comme si j’étais seule alors que j’incarnais Watson.



L’avantage de ces enquêtes, c’est que nous pouvons les refaire à l’envi, en choisissant un autre personnage à incarner la prochaine fois et ainsi, on reprend tout à zéro (ou on a bien noté les indices dans le carnet et on a les réponses) avec un autre personnage, ajoutant de la difficulté avec Holmes ou préférant la facilité avec Watson.


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