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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
"Le concours d'admission des écoles d'art nous plonge dans la solitude... on est acculé par le temps... et on ne sait même pas si on fait bien."

C'est fait, Yatora vient de passer la première épreuve. Durant tout son travail, nous ne pouvions faire abstraction de son envie de bien faire et de son stress de ne pas être au niveau. On a encore l'impression qu'il ne se sent pas légitime de pouvoir exprimer librement qui il est.

En plus de cette avancée vers son entrée dans une école d'art, on retrouve le Yatora du tome 1: celui qui s'amusait en dessinant. Il s'ouvre un peu plus aux autres. Il essaie d'être lui même à travers son art et non celui que la société a façonné.

Félicitation à Yuko Yamasaki pour la toile finale du tome. Elle est le miroir de toutes les réflexions de Yatora.

Plus qu'à lire le tome 5 pour découvrir la suite des épreuves d'admissions et ses résultats, qui, je pense, vont nous révéler quelques surprises.
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En vrai, j'étais aussi stressée que Yaguchi ! C'est la dernière ligne droite pour lui et il sait, nous savons, qu'il est loin du niveau de ses camarades. Pourtant Yaguchi loin de se laisser démoraliser va tout donner. Qu'est-ce que j'aime ce personnage. Il est presque trop parfait à mes yeux.

Les points forts de ce tome sont indéniablement les points de vue extérieurs à Yatora Yaguchi, je pense à ceux de sa prof, Mme Ooba qui nous apporte un regard nouveau sur le travail de notre héros. On découvre ici aussi un autre personnage, l'un des camarades étranges de Yaguchi, Haruka Hashida. Et puis bien sûr, il y a toutes ses réflexions passionnantes sur l'art et la manière de l'appréhender.

Blue Period est vraiment un manga que je prends plaisir à lire et qui me fait m'interroger également sur la perception que nous avons du domaine artistique. Je trouve que tout y est très bien dépeint. Et chaque personnage à sa propre vision du sujet.

Donc, dans cette suite, Yagushi va enfin se retrouver confronté à lui-même et surtout au premier thème imposé lors du concours d'entrée à Geidai. Là encore, c'est un moment fort et passionnant à suivre. J'aime la manière dont notre héros affronte ce moment. Avec plaisir, parce que l'art avant tout, c'est s'amuser et avoir une vision du monde et de ce qui nous entoure qui peut accrocher l'intérêt des autres. Enfin bref. À mon sens, ce tome est encore une réussite tant sur le plan de l'intrigue que du graphisme que j'aime vraiment beaucoup. N'en déplaise à ceux que le style de Tsubasa Yamaguchi rebute. Perso, j'adore. Voilà, c'est dit.

Dans l'ensemble, je ne suis pas déçue, bien au contraire. Je ne cesse de le dire, mais je vous recommande chaudement ce titre !
Lien : https://songedunenuitdete.co..
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Ce manga est, je crois, une de mes meilleures découvertes de ces derniers temps. Clairement je ne pensais pas que j'aurais autant apprécié cette histoire qui parle d'art et pourtant. Ce n'est pas un thème que je maitrise ni qui me passionne. Et pourtant ce manga est incroyable et j'aime en apprendre plus sur les différentes techniques pour dessiner etc. Je dirais même que c'est ce côté pédagogie qui me plaît dans ce manga. Quand on est complètement novice dans ce milieu, découvrir les différentes techniques etc, c'est vraiment hyper intéressant je trouve! Et c'est une des choses que je préfère dans ce manga.

Dans ce quatrième tome, on retrouve Yaguchi à un mois de l'examen d'admission de Geidei! Mme Ooba, la professeur d'art pointe toutes les faiblesse de Yaguchi. Un vrai coup dur pour lui qui se donne corps et âme dans sa préparation. Elle a fait ça pour qu'il puisse justement s'améliorer avant l'examen. Mais le problème c'est que Yaguchi perd totalement pied. A quelques semaines d'avoir sa première épreuve il est complètement submergé par la panique et son corps lui fait ressentir. Mais pas questions pour lui de renoncer !

Yaguchi est vraiment un personnage que je trouve inspirant. Il s'est lancé dans un vrai challenge. Lui qui est totalement inconnu à ce milieu finit par travailler pour réussir le concours de la plus prestigieuse école d'art. Il est vraiment ambitieux et ne lâche rien. Même quand mentalement et physiquement ça ne va pas trop, il ne lâche rien du tout et se donne vraiment les moyens de réussir ses objectifs coûte que coûte! Et pour ça je le trouve tellement inspirant. Malgré la panique qui l'envahit il réussit à finir sa première épreuve alors qu'elle était très mal parti au début. J'espère tellement qu'il va réussir ce qu'il entreprend.

Ce quatrième tome est marqué par la tension, l'angoisse à l'arrivée de la première épreuve. Et on ressent tout le stress que les élèves ressentent. Et plus particulièrement Yaguchi. Ce que j'aime le plus dans ce manga c'est le fait que les émotions sont si bien retranscrites que nous lecteurs nous les ressentons. L'angoisse de la première épreuve est si présent que j'avais presque l'impression que c'était moi qui allait la passer. En tout cas j'ai hâte de découvrir la suite de ce manga et voir quelles épreuves attendent Yaguchi!
Lien : https://enairolf.home.blog/2..
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Comme le troisième tome de Blue Period m'avait moins plu que les deux premiers, je n'étais pas très motivée pour lire celui-ci.
Les cours de prépa se poursuivent et le premier examen pour entrer à Geidai approche à grands pas. Yatora continue à bosser un max et à travailler sa technique, mais ça a ses limites. Il doit modifier sa façon d'interpréter l'adaptabilité : il ne doit pas créer en fonction de ce qu'attend ses profs ou son examinateur, il doit se lâcher et s'amuser en dessinant, comme à ses débuts. Sauf que la pression et l'entraînement sont tels que notre héros a bien du mal à se détendre.
Puis vient le jour de la première épreuve. Par contre, il faudra lire le prochain pour savoir qui l'a réussi.

Ce quatrième tome est moins technique que les précédents, mais touche davantage à l'humain et j'ai adoré ça. Ça a rendu le récit bien plus intéressant.
Ainsi, on découvre la face cachée de Maki Kuwana et les relations conflictuelles qu'elle entretient avec sa soeur. Quant à Yatora, il doit retrouver son âme du début pour avancer et s'améliorer. Dans la même vague, on découvre les projets de Koi.
L'accent est mis sur certains personnages secondaires. Jusqu'à présent, je les trouvais assez vides, mais ce quatrième tome me les a fait voir différemment et les a rendu attachants.

Les dessins sont toujours aussi sympathiques. On a un peu moins de peintures d'élèves de Geidai, mais il y a une oeuvre marquante : celle que rend Yatora pour la première épreuve. Je m'y suis attardée, mais je ne sais pas trop quoi en penser : elle est impressionnante, mais je ne sais pas quoi en penser, impossible de me faire un avis dessus.
J'ai adoré ce quatrième tome et j'ai hâte de lire le suivant qui est dans ma PàL.
Lien : https://psylook.kimengumi.fr..
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Nous y voilà. C'est au quatrième tome que je note enfin cinq étoiles cette série.
Le concours approche et la pression s'en fait ressentir (même pour moi !). C'est dans ce tome que nous réalisons à quel point pouvoir étudier l'art est vraiment difficile. Non pas dans sa pratique, mais dans sa manière d'intégrer une école qui nous poussera vers ce que nous désirons. Il est dit, tout au long de ce tome et d'autres, que beaucoup de jeunes recommencent encore et encore le passage du concours chaque année ! Un peu flippant et peu rassurant, non ?
Sans trop en dire, dans ce tome, nous rencontrons la dualité (parfois avec des membres de notre propre famille), le doute, l'appréhension et la pression. Yatora et ses camarades vont enfin passer la première étape qui les mènera à Geidai, mais un incident va se produire. Malchance ou chance ? Vous le découvrirez lors de votre lecture. Pour ma part, ce passage m'a grandement fait sourire, car je suis intimement convaincu que les choses s'offrent à nous lorsque nous sommes sur le bon chemin. Notre devoir est de percevoir ces atouts et d'en faire quelque chose de bien.
Mais ce n'est pas parce que la première étape est terminée que l'on doit se reposer ! Au contraire, les élèves vont continuer à peindre et à s'entraîner pour la deuxième étape. Enfin… ça, c'est seulement s'ils sont retenus !
Les résultats arrivant dans trois jours, la tension est palpable dans la catégorie peinture à l'huile. Pour ce qui est de Ryûji et la peinture japonaise après que nous ayons compris qu'il ne souhaite peut-être pas prendre cette voie ? de l'art ou de l'abandon ? Comment interpréter l'oeuvre du jeune homme lors du concours ?
Un tome rempli d'émotions et d'astuce tournant autour du sujet de l'art. Si jusqu'ici nous étions dans un moment de détente lors de la lecture de cette série, nous nous retrouvons à présent pleins d'adrénaline ! Peut-être qu'aller faire un petit tour avec Madame Ooba nous fera du bien, à nous aussi…
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Ce tome 4 nous rapproche plus que jamais de l'examen d'entrée de Geidai. Yatora doit faire face à ses défauts et ses faiblesses tout en tenant le coup jusqu'au grand jour.

Toujours à la prépa, Yatora s'implique encore plus dans son travail pour le concours. de nouveau, on retrouve cette ambiance prépa angoissante et épuisante. Mais cette fois-ci, on est plus centré sur le concours en lui même et ses épreuves.

On voit Yatora fondre en larme, douter plus que jamais de ses capacités, subir un stress énorme (au point que ça en affecte sa santé). le concours représente un énorme calvaire. On se demande même s'il ne va pas tout lâcher. On a presque peur pour lui, on s'inquiète et on ressent son angoisse.
Évidemment, Yatora est bien entouré et il réussit toujours à surmonter ses difficultés.

Du côté des personnages secondaires, on se concentre plus sur Kuwana et sa famille. On comprend son ressenti vis-à-vis de sa soeur et son sentiment d'infériorité. Elle se place elle-même des limites qui l'empêchent de progresser parce qu'elle pense qu'elle ne pourra jamais faire mieux.

Ce quatrième tome évoque plus que les autres le stress d'un concours à travers la première épreuve et les temps d'attente interminables entre les résultats. On voit les difficultés, les doutes. Les personnages sont rongés par la terreur, mais aucun ne l'avoue. La motivation va et vient, elle semble partir loin des fois, et la difficulté est là : la rattraper et tenir le coup.

Et plus que jamais on veut savoir si Yatora a réussi ou non sa première épreuve.
Et pour ça, il faut lire le tome 5.
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