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3,81

sur 1894 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Avant de vous lancer dans le voyage à travers le temps auquel vous convie H. G. Wells, mieux vaut laisser au placard tous vos repères technologiques et scientifiques et lâcher la bride à votre imagination car sinon, comment goûter pleinement cette aventure qui défie toutes les lois de la science moderne et rationnelle ?

Pour l'auteur, contemporain de Jules Verne, il semble important que le lecteur soit saisi par l'audace de sa proposition narrative qui consiste en un voyage en l'an 802 701, d'où une mise en scène de l'action à la fois simple et sensationnelle ; mais il est certain que ce qui pouvait fonctionner à merveille pour le lecteur de la toute fin du XIXème siècle fonctionne moins bien pour le lecteur du XXIème siècle.

Un savant - dont on ne saura ni le nom, ni l'âge, ni l'aspect -, moitié dandy moitié doux-dingue, aurait inventé une machine à voyager dans le Temps. Faite de cuivre, de bois, de métal, d'ivoire et de cristal, elle serait en mesure de télé-transporter son pilote dans le passé ou le futur, selon sa fantaisie. Pour preuve, le voyage initiatique que ledit savant entreprend lui-même et dont il fait le récit dans le roman : son premier voyage dans le futur est, comme on peut s'y attendre, riche en découvertes et en rencontres du... troisième type ?

Alors, notre société aura-t-elle évolué dans le bon sens ou aura-t-elle dégénéré dans ce lointain futur ? Difficile de se faire une opinion tranchée tant les choses ont changé ! Le narrateur lui-même nous invite à voir dans cette expérience paranormale un rêve ou une prophétie.

En ce qui me concerne, je ne sais pas quelles sortes de substances consommait H. G. Wells dans son fumoir, ni quels Bourbons libéraient en lui une telle imagination mais je lui reconnais le courage d'avoir sensibilisé ses contemporains à ce tout nouveau domaine littéraire qu'était alors la science-fiction. Son style n'aurait pas été aussi ampoulé - et mon intérêt pour la science aussi médiocre - que je lui aurais prêté un peu plus d'attention.


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Ce que j'ai ressenti:

Depuis un petit moment, je m'intéresse de plus en plus à la SF, car j'aime y trouver des mondes nouveaux et des réflexions pures sur le monde d'aujourd'hui.

C'est tout naturellement que j'ai voulu connaitre ce Classique dont tout le monde parle…J'ai profité donc d'une journée plage pour rentrer dans cet univers. Une seule journée était suffisante, car ce livre est finalement très court, accessible et divertissant.

Je parlerais d'abord des petits bémols que j'ai pu ressentir dans mes attentes de lectrices, bien que je déteste « critiquer », les grands Classiques. Je m'attendais à un livre plus long, plus travaillé et un peu plus vivant. C'est soi disant, une machine à explorer le temps, donc je m'attendais à voyager dans le Passé-Présent-Futur. Or, on ne visite qu'une version: le futur….De plus, c'est un récit transposé. Je pense que si c'était celui de l'Explorateur lui même, ça aurait été d'autant plus saisissant.

Pour autant, ce futur était très intéressant à découvrir. Tout d'abord, on ne voit qu'un monde lisse et apaisé, enviable et idéal. Mais ce monde se révèle aussi imparfait que le notre, finalement. On y voit un des futurs possibles, mais surtout une belle analyse du monde d'aujourd'hui.

Que faire si la cruauté était devenue une passion commune? Que faire, si dans cet intervalle, la race avait perdue son humanité, et s'était développé dans la malfaisance, la haine et une volonté farouche de puissance?

Ce qui m'a plu chez cet auteur, c'est tout de même sa vision optimiste de l'évolution humaine. Il y a un grand espoir qui se dégage de ses pages.

Et j'ai conservé, pour mon réconfort, deux étranges fleurs blanches- recroquevillées maintenant, brunies, sèches et fragiles- pour témoigner que lorsque l'intelligence et la force eurent disparu, la gratitude et une tendresse mutuelle survécurent encore dans le coeur de l'homme et de la femme.

En bref, une lecture plaisante!

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Un merveilleux livre publié en 1895 de H.G. Wells, mais dans lequel l'auteur nous présente déjà, avec son imagination fructueuse, l'esprit de l'homme du 21e s voire plus, il évoque un temps où la science inventive atteint son paroxysme, par sa capacités à savoir décrypter les lois de la matière afin de la transformer à sa guise.
Dans ce livre, à travers un explorateur du temps, le fabricant d'une machine à explorer le temps, celui-là qui ajoute le temps comme une quatrième dimension à côté des autres reconnues de l'espace, celui-là même, ayant invité ses amis à dîner pendant que, lui, il explore le temps en brisant les lois de l'espace physique avec sa nouvelle machine,. Une dois de retour, il fait un compte rendu sensationnel à ses amis d'où il venait. Il s'était retrouvé dans les années 8701 plus de cinq millénaires après notre temps, Il fait part à ses amis, un peu sceptiques, de tous les changements rencontrés sur la vie future de l'homme...
L'auteur nous démontre comment la science peut convertir les lois de la physiques, les principes de l'espace, l'irréversibilité du temps, le psychosomatique de l'homme en une matérialisation quelconque selon les intentions de l'inventeur.
Très concis, on passe un petit moment agréable avec ce court roman!
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Mais qu'allait-il faire en l'an de grâce 802.701 ??

Bon sang, il ne pouvait pas voyager moins loin ? Allez explorer le futur plus proche que celui des années 800.000 ?

Au moins, ça nous conforte qu'à cette époque là, la Terre sera toujours pourvue de l'Homme et personne ne pourra vérifier les dires de l'auteur avec la réalité car je subodore que nous n'arriverons jamais à cette année-là !

Wells, tout comme Verne, aime bien nous assommer un peu avec des trucs de scientifiques afin de donner plus de réalisme à son récit.

N'aimant pas trop ça, j'ai un survolé les premières pages où il explique les principes du voyage temporel afin d'arriver à la fin de cette conversation un peu trop scientifique pour moi.

De notre voyageur dans le temps, nous ne saurons rien, ni son nom, ni son physique, ni sa vie ou son passé.

Contrairement au film de 2002 (il me reste quelques bribes de souvenirs), il restera une sorte de narrateur inconnu pour les lecteurs, même s'il ne sera pas le narrateur principal puisque nous avons un récit dans le récit.

Ça se lit vite, une fois les considérations scientifiques passée, le reste passe tout seul et c'est avec la même curiosité que les autres personnes rassemblées que nous allons écouter le récit du voyageur du temps qui est arrivé dans un Londres bien différent que celui qu'il connaissait.

Deux sociétés distinctes vivent dans ce Monde : les Éloïs, sorte de petites créatures dont les pouvoirs de réflexion volent plus bas que le derrière d'un cochon, sorte d'être oisifs qui glandent toute la journée en bouffant des fruits et les Morlocks, terribles créatures qui vivent sous terre.

En lisant le récit, on se rend compte que l'auteur n'a fait que de mettre en scène, avec des métaphores, les inégalités sociales qui gangrénaient l'Angleterre victorienne et qui n'ont pas vraiment changé depuis, même si on a fait quelques progrès.

Avec ses petites créatures, l'auteur balance une critique acerbe de la société, comparant les Éloïs à des vaches broutant dans un pré et ne se doutant pas qu'un jour, elles finiront dans notre assiette.

L'écriture est vieillotte, normal, elle est d'époque, elle est simple, facilement compréhensible mais le roman manque de profondeur, de détails sur la société découverte. Ça manque un peu de vivacité, ce récit.

Le fait que le voyageur nous le raconte à son retour bousille aussi la narration car un récit relaté en direct lors de son voyage aurait été plus vivant. Là, c'est de la rediffusion.

Dommage que j'aie découvert ce roman si tard dans ma vie car je l'aurais plus apprécié dans ma jeunesse que dans mon âge d'adulte.

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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Et voilà... ce petit classique SF est lu !!! J'apprends de plus en plus à apprivoiser ce genre, et je me dis que d'en connaître les bases est plutôt une bonne chose. D'où mon intérêt pour ce livre que j'ai trouvé dans une brocante. Quel voyage ! Un livre qui se lit vraiment très bien, et tout seul... et ce que j'ai surtout apprécié, c'est l'écriture intelligente de Wells... il ne prends pas ses lecteurs de haut et rend très accessible des concepts qui pourraient rebuter... Je prends en exemple l'entrée en matière, lorsqu'il inclut le concept de 4e dimension... Même si j'ai trouvé le voyage un peu longuet vers la fin, j'ai quand même bien apprécie ce détour dans le temps... Un texte à lire, je pense, pour tous les amateurs et ceux qui ont envie de faire une petite plongée dans le monde de la SF.
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En résumé : J'ai passé un moment de lecture plutôt divertissant avec ce classique de la Science-Fiction, mais rien de non plus franchement marquant. Maintenant je pense que si je l'avais lu en étant plus jeune, je pense que j'aurai plus accroché tant le roman peut se révéler intéressant comme porte d'entrée du genre. On est clairement dans un récit d'aventures, qui offre de nombreux rebondissements et de nombreuses surprise, le tout porté sur un rythme soutenu qui fait qu'on se laisse un minimum porté. le format plutôt court joue aussi beaucoup dans cette impression. Concernant la machine, j'avoue je reste sur ma faim tant elle repose trop sur l'acceptation du lecteur qu'on peut construire ce genre de machine dans son garage. Maintenant, vu que la machine ne sert que de véhicule, ce défaut s'oublie vite. Concernant l'univers je l'ai trouvé intéressant et solide, cette vision du futur qui, certes, est parfois simpliste, naïve et a mal vieilli sur certains points, donne tout de même envie d'en découvrir plus. Il offre même certaines réflexions qui, c'est vrai, sont un peu binaires, mais fonctionnent tout de même. Concernant les personnages, je n'ai pas grand chose à dire tant ils sont minimalistes, mais je m'y attendais. L'intrigue est simple, mais pour autant s'avère solide, alignant les aventures pour notre héros de façon percutante. La plume de l'auteur est simple et concise, mais qui, ici, fonctionne bien. Au final La Machine à Explorer le Temps est un roman que j'ai lu facilement et rapidement et même si je ne l'ai pas trouvé marquant, il reste plutôt sympathique.


Retrouvez la chronique complète sur le blog.
Lien : http://www.blog-o-livre.com/..
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Comme vous pourrez le constater à la fin de ma critique, La Machine à explorer le temps figurait en bas de ma PAL depuis un certain temps. La faute à La Guerre des mondes, qui m'avait laissée profondément perplexe. J'avais peur, à l'instar de ce que j'avais ressenti à la lecture de cet autre classique de l'auteur, de rester indéfiniment en attente (d'actions, d'explications, d'émotions...).

Je dois dire que La Machine est beaucoup plus réussie même s'il manque aussi quelque chose à ce récit : l'écriture de Wells est très littéraire, même trop. Elle manque de naturel dans les discours et n'arrive pas à faire éprouver quelque émotion que ce soit au lecteur : pas de peur, pas de pleurs. Une simple succession de faits. C'est pour moi le plus gros défaut de cette plume pourtant reconnue.

Je trouve que la forme choisie par l'auteur n'est pas très judicieuse et manque cruellement de naturel elle aussi, ce qui n'aide pas à relever le style d'écriture. En effet, les mésaventures du Voyageur du temps nous sont racontées par ce personnage lui-même, en un long monologue qu'il adresse à ses amis. Quoi de plus emprunté ? Imaginez-vous un homme capable de raconter sa propre histoire (un voyage dans le futur) pendant un temps si long, sans s'arrêter, sans être interrompu, sans manifester la moindre émotion alors qu'il revient tout juste de son voyage ? Décidément non...

Et pourtant l'intrigue est belle, saisissante, permet de s'interroger sur l'évolution de l'espèce, sur la façon dont l'homme modifie la nature, sur les stratifications sociales. Car Wells prend évidemment pour prétexte un voyage vers le futur afin de dénoncer le fonctionnement de l'humanité en 1895.

Malgré l'écriture si factuelle, la dichotomie trop prononcée entre le bien et le mal (Eloïs gentils, beaux, végétariens versus Morlochs méchants, laids et carnivores), ce récit reste pour moi une oeuvre à lire. D'abord parce qu'elle est l'une des bases de la science-fiction, ensuite parce que le récit reste intéressant (j'ai beaucoup aimé la description du monde à sa fin).
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La machine à remonter le temps (du nom original The time machine) fut le premier roman écrit par H.G. Wells. Il est bien évident que l'on ne lit pas un roman ancien, pour le coup datant de 1895, de la même façon qu'un roman contemporain. Il faut juste se laisser guider par le flot, cette valse des mots qui stimulent l'imagination et fermer nos esprits cartésiens.
Ce très court roman nous narre donc l'aventure d'un scientifique ayant conçu une machine à voyager dans le temps. Qu'il est fou ce H.G. Wells ! Ce sont certainement exclamés nos aïeuls (ou aïeux c'est selon). Difficile de prévoir un futur, c'est pourquoi l'auteur, il est très malin, à envoyé son personnage dans un très lointain futur. On y découvre donc une terre désolé ou l'être humain à régressé. D'un côté, le peuple du jour et de l'autre ceux de l'obscurité (a-t-il inspiré le film The descent?).
Le point noir de ce livre est sa narration. Je m'attendais à un récit d'aventure. Il n'en n'est rien. Ce n'est ni plus ni moins qu'un témoignage du voyageur (explorateur). le récit se fait donc à la première personne (ggrrrr!). le rythme est plutôt lent, mais l'immersion est là, surtout cette fin plutôt savoureuse. Difficile de comprendre sa vision de l'humanité de nos jour alors qu'à son époque, le monde était en pleine évolution.
Toutefois, ce livre a certainement fait rêver un bon nombre de personne (d'enfant?). Depuis plus d'un siècle, nous avons eu la chance d'avoir de très bons écrivains qui nous ont apporté du rêve. de nos jour, les récits de H.G. Wells ne nous font plus fantasmer. Et pourtant... il restera culte.
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La science-fiction et moi c'est tout nouveau... On s'apprivoise, je lui laisse une chance de me séduire. Soudainement je passe à la vitesse supérieure en m'attaquant à un monument cultissime et grand classique dans le genre récits de voyage dans le temps.
Je m'étais fait une idée d'une oeuvre beaucoup plus complexe et inaccessible et j'ai été surprise par la simplicité de l'écriture et de la narration. le voyage est raconté d'une traite lors d'un dîner, sans fioritures, sans trop de détails dans un style impersonnel et sans profondeur. Il y a les idées de base comme l'utopie et les contre-vérités, la théorie de l'évolutionnisme et l'anachronisme.

H. G Wells imagine une nouvelle humanité qui aurait trouvé un parfait équilibre entre les êtres, ayant réussi à exterminer les maladies et conquérir parfaitement la nature. Cette société serait ainsi libérée des difficultés quotidiennes pour vivre une vie agréable et raffinée.

J'ai aimé la vision sinistre du futur et les remarques acides sur le monde que nous sommes en train de laisser aux générations futures, tout cela est empreint d'une grande modernité.

Si je n'avais que deux mots pour l'exprimer ce seraient sans doute : Fucking inventif!


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Avouons-le, j'ai été assez désarçonnée par ce court roman. Pourtant j'ai lu assez de Jules Verne pour savoir qu'on ne peut pas s'attendre à lire un récit fantastique/d'aventures du 19ième comme on lirait un ouvrage contemporain. La Machine à explorer le temps est donc à replacer dans son contexte : que ce soit dans les domaines scientifique, littéraire ou sociale. Lu dans le cadre du Challenge « Histoires de temps », je pense que l'intérêt du récit quant à notre thématique réside dans le fait qu'il a fondé une partie de la science-fiction moderne.

Roman d'anticipation avant tout, le voyage dans le temps dans l'oeuvre est finalement assez anecdotique. Il sert de prétexte à la satire social. Car comment ne pas reconnaître la critique que Wells fait de son temps où Londres, capitale industrielle, voit sa population se scinder en deux : d'un côté les nantis, de l'autre la classes ouvrière. Premier ouvrage de Wells, La Machine à explorer le temps exprime un socialisme un peu benêt mais attendrissant. le lointain futur qu'il nous décrit est la dégénérescence ultime du système que l'auteur critique. Les Eloïs, descendants des nantis, sont un peuple à la mollesse extrême. Ils semblent incapables d'autre chose que d'exister. Sous terre, les Morlocks, à force d'être exploités à outrance, sont devenus des animaux qui se nourrissent des Eloïs. Bref, Wells nous montre la décadence de la civilisation -comme le confirme la présence de constructions en ruines-. Afin de mener à bien cette dénonciation, l'écrivain utilise beaucoup les théories de Darwin.

Sans cette indignation manifeste de l'auteur, le roman perdrait -je pense- tout intérêt. La romance entre le héros et Weena est certes sympathique mais elle n'a pas provoqué beaucoup d'émotion en moi. Il faut dire aussi que la construction narrative du récit est loin d'être un procédé que j'affectionne. Presque tout le roman n'est qu'un monologue de l'explorateur. Celui qui rapporte ce dernier, le véritable narrateur, est un ami du voyageur. Structure narrative bien menée mais qui enlève quand même, je trouve, de la spontanéité au récit. Les longues descriptions m'ont aussi parfois plongée dans une torpeur indéniable.

Oeuvre fondatrice d'une partie entière de la littérature de science-fiction moderne, La Machine à explorer le temps reste une très belle démonstration de dénonciation sociale. On sent toute l'indignation de Wells confronté aux injustices sociales de son époque. le voyage dans le temps n'est qu'un prétexte même si l'idée de départ est passionnante. L'intrigue est très simple et, logique, on n'est pas confronté aux problématiques temporelles qui sont aujourd'hui le noyau de la plupart des oeuvres qui abordent le voyage dans le temps. Reste un récit agréable mais, franchement, que je ne relirai pas. le passage qui m'aura finalement le plus touché est celui où le Voyageur, en voulant rejoindre son époque, fait un autre bond dans le futur et nous raconte un monde sans vie humaine.
Lien : http://altervorace.canalblog..
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