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Les Reines maudites tome 1 sur 3

Barbara Versini (Traducteur)
EAN : 9782381224701
896 pages
Hauteville (14/06/2023)
4.36/5   55 notes
Résumé :
Dieu avait enfin exaucé ses prières. Ce magnifique jeune homme voulait faire d'elle son épouse et la mère de ses héritiers. Ceux qui l'avaient méprisée, humiliée, devraient désormais s'incliner devant elle. Elle essaya de ne pas se réjouir à cette idée, mais elle n'était pas une sainte. Ses années de misère étaient définitivement révolues, elle serait bientôt la femme du roi le plus riche qui ait jamais régné en Angleterre.
Catherine d'Aragon n'a que seize an... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (15) Voir plus Ajouter une critique
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Mea culpa, mea maxima culpa.

Je n'aurais pas, mais alors vraiment pas dû lire ce roman peu de temps après l'excellente Trilogie Cromwell d'Hilary Mantel. Car à côté du chef-d'oeuvre de Mantel, ce roman d'Alison Weir m'a paru bien mièvre et ennuyeux.

Le premier quart du roman semble n'être consacré qu'à deux choses : l'attente, par Catherine, de ses fiançailles avec Henri et ses pleurnicheries sans fin. du coup, sur un roman aussi long, ça fait beaucoup de pages où Catherine se jette sur son lit pour « tremper son oreiller de larmes ». C'est marrant (enfin, en réalité, ça ne l'est pas tant que ça) mais je voyais la fille des intransigeants Rois catholiques comme quelqu'un de plus pugnace et résilient, d'autant plus lorsque l'on connaît le destin de son mariage avec Henri VIII et la ténacité dont Catherine a fait preuve pour tenter de conserver sa place de souveraine.

Ensuite, une fois le mariage conclu, on part dans la romance sirupeuse à souhait pour quelques centaines de pages (et je n'aime pas les romances. J'ai commencé le premier tome des Bridgerton trois fois sans aller plus loin que la page 20 dans les trois cas). Parce que, bien sûr, comme tout le monde le sait, Henri VIII était un mari si charmant… Je veux bien admettre que le souverain avait des qualités, notamment le don de savoir bien s'entourer d'hommes d'exception qui dirigeaient le royaume à sa place, jusqu'au moment où ils devenaient aussi encombrants que les épouses du monarque… et finissaient comme elles. Mais Weir force le trait en dépeignant Henri comme l'homme idéal que toute femme souhaiterait épouser. Notre vision a posteriori par rapport à celle de Catherine et des femmes de l'époque biaise sans doute notre jugement, bien entendu. Mais même sans cela, pourquoi vanter sans cesse les qualités d'Henri dans une série de romans consacrée aux femmes qu'il a fait périr soit La rigueur historique oblige-t-elle à se montrer honnête jusque dans une fiction historique ? Ne peut-on pas prendre quelques licences avec un monarque dont on sait qu'il fut un abominable prédateur quand on écrit une fiction et pas un ouvrage de référence sur le règne d'Henri VIII Tudor ? Quand on lit une fiction sur Catherine d'Aragon et son destin tragique, on ne s'attend pas vraiment à lire un panégyrique d'Henri VIII et c'est un peu l'impression que j'ai eue durant les trois quarts du roman.

Ces considérations philosophiques mises à part, je me suis beaucoup ennuyée en lisant ce roman dont j'attendais peut-être trop. Je ne suis pas parvenue à m'attacher au personnage de Catherine, que j'avais pourtant hâte de découvrir en tant qu'héroïne de sa propre histoire, car elle reste une épouvantable pleurnicheuse tout au long du récit. Par curiosité et juste pour pouvoir râler un peu plus sur cette lecture, j'ai compté le nombre de fois où les termes « sanglots » (ou « sangloter » et ses variations conjuguées), « larmes », « pleurs » (ou « pleurer » et ses variations conjuguées également). Résultats respectifs : 51 « sanglots » et variations, 81 « larmes » et 101 « pleurs » et variations. Et même quand Catherine passe son temps à pleurnicher, le côté hyper romantique continue avec des passages tels que celui-ci : « Elle sentit des larmes couler sur ses joues. Henri la dévisagea avec un regard chagriné et elle crut qu'il allait la prendre dans se bras, mais il la lâcha et s'écarta d'elle. Elle demeura agenouillée un instant, incapable de bouger, puis, comprenant qu'elle ne parviendrait pas à l'émouvoir, elle trouva la force de se relever et retourna s'asseoir, résignée. » Et voilà Catherine qui, en plus de pleurer, se lance dans le chantage affectif...

Je sors donc déçue de ce roman consacrée à la première épouse Tudor. Elle aurait pu être une vraie héroïne d'un roman lui étant consacré, elle que l'histoire oublie souvent au profit d'Anne Boleyn, probablement plus charismatique, mais ce n'est pas le cas. Et la note finale de l'auteure, dans laquelle elle explique que nos points de vue féministes modernes ne peuvent s'appliquer à quelqu'un comme Catherine n'y change rien. Nous savons tous qu'à l'époque des Tudors, les femmes n'avaient pas d'autre choix que de se soumettre à leurs époux, qu'elles soient reines, tenancières d'auberges ou bergères. le sort des reines était même peut-être pire, car à une époque où les femmes n'avaient aucun droit de succession au trône, les femmes des rois n'étaient que des utérus sur pied, chargées de mettre au monde un maximum de mâles avant de se retirer dans leurs appartements, au milieu de leurs dames d'honneur, une fois leur tâche accomplie. Triste vie que celle d'une femme épousée simplement pour sa fertilité supposée.

Ce n'est donc pas, la façon dont elle s'est accrochée à son titre de reine ou sa fidélité à la foi catholique qui me gênent chez cette version romancée de cette reine venue d'Espagne, c'est ce côté femme fragile et « nunuche » que l'on retrouve tout au long du roman. Par comparaison, Marie (la fille d'Henri et de Catherine, qui deviendra Marie Ie Tudor, Bloody Mary) paraît bien plus courageuse : plus jeune que sa mère et en contact fréquent avec son père et sa belle-mère (Anne Boleyn, qui la détestait), Marie était bien plus exposée aux accès d'humeur et aux revanches mesquines de son père, et à la jalousie d'Anne Boleyn. Pourtant, cette très jeune femme n'hésitait pas à camper sur ses positions et à s'opposer frontalement à son père en ce qui concernait l'Acte de Suprématie, proclamant Henri chef de l'Eglise d'Angleterre, et le Premier Acte de Succession, faisant d'Elisabeth la seule héritière légitime d'Henri et déclarant Marie illégitime. Alison Weir me semble traiter bien plus justement la mère que la fille, vantant plusieurs fois ses vertus et son courage face à l'adversité, l'injustice et la terreur que les menaces de son père provoquaient chez elle.

Seuls quelques éléments sont parvenus à m'intéresser. Ce fut le cas de la correspondance entre Catherine et l'ambassadeur Chapuys, que j'ai aimé retrouver après la lecture des romans d'Hilary Mantel. Les personnages secondaires sont relativement bien « croqués », ce qui rachète un peu le fait que les souverains eux-mêmes ne le soient pas.

Espérons que le second tome, consacré à Anne Boleyn, soit plus intéressant.
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J'ai lu La princesse d'Aragon de Philippa Gregory en 2023 et le tome 2 de la série Les reines maudites d'Alison Weir consacré à Anne Boleyn en janvier de cette année. le tome 1 consacré à Catherine d'Aragon étant disponible à la bibliothèque, j'ai décidé de voir si une autre romancière anglaise pouvait avoir un point de vue plus favorable sur la première épouse d'Henri VIII d'Angleterre.

Philippa Gregory avait écrit La Princesse d'Aragon après le succès de son livre consacré aux soeurs Boleyn. Elle donnait beaucoup d'importance à sa jeunesse andalouse et son premier mariage avec Arthur, frère ainé du futur Henri VIII alors âgé de 15 ans. Elle y décrivait les jeunes époux ayant consommé le mariage, alors que ce point n'est nullement attesté. Alison Weir, dans la postface, dit que "les historiens ont la quasi-certitude que le mariage de Catherine avec le prince Arthur n'a jamais été consommé et qu'Arthur est mort de la tuberculose." Alors qu'un mariage princier à l'époque était déclaré "consommé" dès que les deux époux avaient été mis au lit en présence de de nombreux témoins. C'est sur la virginité de Catherine que repose toutes la controverse qui devait aboutir à l'annulation du mariage proclamée par Henri VIII vingt ans après et la naissance de nombreux enfants, dont une seule - Mary - avait survécu.

Si Alison Weir prétend faire le portrait d'une "femme indomptable, courageuse et fidèle à ses principes", elle la montre bien plus souvent en larmes et follement amoureuse de son second mari, jusqu'à sa mort. Sous sa plume, Catherine d'Aragon n'est qu'une idiote sentimentale, aveuglée par la "beauté" d'Henri VIII. Elle semble persuadée qu'il est faible et manipulé par ses conseillers et Anne Boleyn.

Exemples :
p. 471 "Henri était un bel homme, athlétique et puissant. de surcroît, il était le roi. Tout cela le rendait irrésistible. Beaucoup de femmes auraient été prêtes à se donner à lui sans hésitation."
p. 546 "Elle contempla avec émotion ce bel homme de trente-six ans, dans la force de l'âge. Il était son mari - quoi que l'on pût en dire. A présent qu'elle craignait de le perdre, elle le trouvait plus séduisant que jamais. Il lui appartenait et elle ne laisserait aucun mortel les séparer. Elle s'en fit la promesse à l'instant."
p. 715 "Il avait eu récemment quarante ans, l'âge de la maturité pour un homme, ce qui rendait encore plus cruelle pour lui l'absence d'un héritier mâle et ne l'incitait pas au pardon. Mais elle ne parvenait pas à cesser de l'aimer. C'était encore un très bel homme, impressionnant et majestueux. Chaque fois qu'elle le regardait, alors même qu'il lui reprochait son obstination avec une expression dure et accusatrice, elle était frappée par sa beauté et regrettait le temps de leur intimité."
p. 763 "Catherine ne dormait toujours pas, car elle songeait à Henri. Au fond, ce n'était pas un mauvais homme. Tout cela, c'était la faute de cette Anne Boleyn, qui faisait de lui un être méchant et pervers."










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J'appréhendais un peu la lecture de ce roman après la déception d'il y a quelques mois avec Aliénor, reine captive mais j'ai vraiment adoré ce Catherine d'Aragon, qui a été pour moi un vrai page turner malgré ses quasi 900 pages. Et sur un sujet similaire, je l'ai trouvé bien meilleur que La Princesse d'Aragon de Philippa Gregory, car beaucoup plus fidèle historiquement (Alison Weir l'indique d'ailleurs dans la postface, avec au passage une petite pique déguisée envers Philippa Gregory !)

C'est vraiment passionnant et fascinant de faire la connaissance de Catherine d'Aragon et de suivre son évolution au fil des ans, de la jeune fille timide qui doit apprendre une nouvelle langue et une nouvelle culture à la reine adorée du peuple anglais qui souffre en silence du rejet du roi et de la haine de sa remplaçante, malgré toutes les épreuves difficiles auxquelles elle doit faire face. On ressent vraiment beaucoup d'admiration et de compassion pour cette femme que la vie a durement éprouvée (le récit de la perte de quasi tous ses enfants à leur naissance ou dans les jours qui suivent brise le coeur, sans compter les moments où on lui arrache progressivement ses proches et sa liberté, torture psychologique destinée à la faire accepter le divorce avec Henry VIII) mais qui n'éprouve aucune rancoeur ou haine envers ses ennemis et qui restera toute sa vie fidèle à ses principes et à sa religion. C'est vraiment digne de respect une telle attitude et on ressort de cette lecture avec un regard totalement neuf envers cette femme trop souvent résumée à l'épouse négligée car devenue trop vieille pour donner au roi le fils qu'il espérait tant.

J'ai beau connaître quasi par coeur les évènements racontés dans Catherine d'Aragon (grâce aux nombreux romans historiques et essais lus sur cette période, mais aussi les innombrables visionnages de la série The Tudors ^^), j'ai vraiment été captivée par cette histoire, par l'envie de savoir ce qu'il allait arriver dans les pages suivantes au point que j'ai eu du mal à interrompre ma lecture une fois plongée dans ce roman. Toute la partie entre la mort du prince Arthur et le mariage de Catherine avec Henry VIII est toutefois un peu longuette (c'est une période où notre pauvre héroïne est déjà quasiment cloîtrée dans un palais, sans contact avec l'extérieur et dans une position difficile) mais cela ne m'a pas gêné outre mesure.

D'autre part, comme dans tout roman historique (et plus particulièrement un roman historique qui se déroule à l'époque des Tudors, une de mes périodes préférées de l'Histoire), la reconstitution de la cour anglaise de cette époque, la description des décors des différents châteaux où se déroule l'intrigue et des costumes des différents personnages est vraiment soignée. On prend plaisir à (re)découvrir certains moments de l'histoire des Tudors, à faire la connaissance de personnages centraux (et qui, pour certains, réapparaîtront dans les tomes suivants) mais aussi à suivre toutes ces intrigues de cour, ces alliances et ces trahisons, ces rumeurs qui se révèlent parfois vraies et souvent dévastatrices pour les principaux concernés.

Bref, si vous avez envie d'en savoir plus sur Catherine d'Aragon et Henry VIII, je vous recommande vivement ce passionnant roman d'Alison Weir !
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Alison Weir, dont j'avais beaucoup aimé le roman « Lady Elizabeth », s'est lancée dans un projet d'envergure avec une saga dont chaque tome met en scène une des épouses du roi Henry VIII.
Comme chaque tome est écrit du point de vue de la reine à l'honneur dans celui-ci, on se doute que certains personnages absolument antipathiques dans le tome 1 seront sans doute attachant dans le tome 2 et inversement.
Et j'ai hâte de voir comment l'auteur a réussi ce tour de force.
Par exemple, au vu de la « grande affaire » du roi, Catherine d'Aragon a une piètre opinion d'Anne Boleyn et c'est le moins qu'on puisse dire !
J'ai donc hâte de voir comment nous apparaîtra la jeune femme dans son propre tome.
J'ai aimé le courage et la détermination de Catherine malgré les épreuves.
En revanche j'ai eu du mal avec sa manière de pousser sa fille à la rébellion, préférant la voir être exécutée (et vu la folie meurtrière du roi, le risque était réel) que céder aux exigences de son père.
On assiste au délabrement des relations entre Henry et Catherine, mais aussi, à mon sens, de la santé mentale du roi.
Au fil des années, Henry supporte de moins en moins la frustration avec des réactions de plus en plus violentes.
Malgré ses 893 pages, divisées en trois parties (arrivée en Angleterre, premier mariage et veuvage dans la première partie, mariage avec Henry dans la partie 2 et enfin la dégradation des relations dans la partie 3), je ne me suis pas ennuyée une seconde et j'ai hâte de découvrir le prochain tome.
Avec Philippa Gregory, Alison Weir est un de mes auteurs d'historique favoris, ses romans étant toujours très documentés et sa plume tellement agréable et addictive.
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Catherine n'a que 16 ans lorsqu'elle quitte son Espagne natale pour rejoindre le jeune prince Arthur qu'elle ne connait pas mais avec lequel elle doit se marier. Leurs parents ont tout prévu : ils seront roi et reine d'Angleterre. Un couple puissant donc, mais à peine mariée son époux décède des suites d'une santé fragile et Catherine se retrouve démunie, sa destinée ayant totalement volé en éclat. Si elle veut retrouver sa place sur le trône et la garder un peu plus longtemps cette fois elle doit se battre malgré les complots et trahisons multiples de personnes en qui elle pensait pouvoir avoir confiance ! Ce courage est récompensé le jour où elle épouse Henri VIII, le frère d'Arthur, pour lequel elle éprouve tout de suite des sentiments. Mais les années passent et l'amour des débuts s'en va, laissant la place à des tensions mettant en péril leur couple. Catherine qui ne peut offrir à son époux ce qu'il attend d'elle doit à nouveau lutter pour conserver sa place et sauver ce qui peut encore l'être de son union 😢



Si vous avez lu mes chroniques du mois précédent vous vous souvenez peut-être que j'avais lu de la même maison d'édition la biographie sur les trois femmes à l'origine des Tudors. Je savais donc comment était née la dynastie et ce roman m'a permis de découvrir comment elle a officiellement démarré avec son premier souverain Henri VIII. Un roi sulfureux comme je vous le disais et qui paraît antipathique dans ce roman au vu de tout ce qu'il fait subir à Catherine au fil des années, comme si elle était responsable. Je ne rentre pas dans les détails même si c'est assez évident de deviner ce qu'il attend d'elle (on parle de faire perdurer une dynastie donc ???), mais je sais que c'était une autre époque et que ce qui me choque aujourd'hui était monnaie courante en ces temps-là. Catherine m'a épatée dans son parcours de vie sur plus de 900 pages qu'on ne voit pas passer. Je ne sais pas comment elle a fait pour surmonter autant de drames, d'épreuves et d'humiliations mais sa force, son courage et sa résilience sont admirables. L'autrice s'est vraiment beaucoup documentée et nous plonge totalement dans cette époque terriblement dure et sanglante, au point qu'on a l'impression d'être sur place avec les personnages ! Et en parlant de personnage j'ai hâte de découvrir l'histoire d'Anne Boleyn, la seconde épouse, dans le second tome qui sort en septembre. Elle est odieuse dans ce premier tome mais j'aimerais tout de même avoir l'histoire de son point de vue à elle.



A noter qu'il y a quelques petites longueurs (notamment en début de roman) car certaines scènes se répètent, mais je ne peux rien vous dire dessus. Je vous rassure juste sur le fait que ça se lit quand même à merveille et qu'une fois ces scènes passées il est impossible de lâcher le roman !
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Citations et extraits (1) Ajouter une citation
Regarder partir un être cher, c'est prolonger en vain la tristesse de la séparation.
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