Je ne sais par où commencer, je ne sais même pas si je dois commencer finalement. Je vais tacher de terminer cette chronique, vite.
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Ahhhh j'en ai entendu du bien, du film surtout. On m'avait vendu, sur-vendu, le côté émouvant de cette histoire. Alors je le voulais, ce sensationnel dans le kleenex. Les émotions, la goutte au nez, le mascara qui n'est plus étanche. Tout ça quoi. Et bah... je l'ai pas trouver... Et promis je le cherche encore. Au cas ou vous ne l'auriez pas compris... J'ai détesté.
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Attention je ne dénigre pas le roman, et je ne vais pas le faire. Juste entre lui et moi, la mayonnaise n'a pas pris. Au contraire, ce livre à eut le don de m'exaspérer au plus haut niveau. Sans spoil, ce roman est beaucoup trop remplis de clichés, que ça en est dérangeant pour moi, parce que ce ne sont même pas des clichés « un peu drôle ». Parce que je veux bien suivre Celie, cette jeune noire, dont la vie fut rythmée d'abus et de manque d'instructions. Mais faut pas abuser non plus.
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Nous avons la un roman sans aucune datation, rien, nada. Je ne parle même pas de l'avancement de l'histoire un peu... Un peu grotesque. Chaque événement arrive comme ça, comme un cheveux sur la soupe pour moi. Un ending digne des meilleurs films de Noël. Parce que pendant une bonne partie du roman on peu presque imaginer qu'il y a une sorte de part de vérité, de faits réels. Mais cette fin sortie de nulle part c'est la goutte de trop.
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On retiendra tout de même que l'auteur à bien sut retranscrire le manque d'instruction et la naïveté de la narratrice. Que le format épistolaire non daté c'est quand même pas trop mal pour les pauses café.
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