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Critique de Jmolo
Et même si on sait tout, ou presque, sur Marilyn, et même si l'on n'apprend rien de plus sur "la Monroe", il m'a été très agréable de découvrir Mrs Miller à travers les yeux de Pauline, sa femme de chambre de la suite 614 de l'hôtel Mapes à Reno au Nevada, pendant les trois mois de tournage de son dernier film "Les désaxés".
Flirtant entre réalité et imaginaire, les mots que met Tatiana de Rosnay sur la complicité entre les deux protagonistes, toutes deux en grande souffrance, sont originaux et émouvants.
Que le récit de "Poussière blonde" ne se contente-t-il pas de nous narrer ce scénario ! Car tout ce qui est brodé autour est d'un ennui incommensurable :
L'histoire des mustangs est digne de l'émission enfantine "Cinquante millions d'amis".
La romance de Pauline et son mentor est empruntée à celle de Judith Godrèche et son sulfureux metteur en scène.
Le personnage de Marcelle, la mère de Pauline, ressemble à une Suellen de la série "Dallas".
Alors, bien sûr, la passion de Pauline pour les mustangs est raccord avec la dernière scène du film, très joliment racontée, comme la destruction (réelle) de l'hôtel Mapes, véritable décor de ce scénario qui pourrait faire un excellent énième film sur Marilyn, mais le film pourrait s'arrêter là.
Malheureusement le livre s'embourbe alors dans une guimauve digne d'un mauvais feelgood à parcourir en diagonale !
En résumé : Mrs Miller... et rien d'autre !
Flirtant entre réalité et imaginaire, les mots que met Tatiana de Rosnay sur la complicité entre les deux protagonistes, toutes deux en grande souffrance, sont originaux et émouvants.
Que le récit de "Poussière blonde" ne se contente-t-il pas de nous narrer ce scénario ! Car tout ce qui est brodé autour est d'un ennui incommensurable :
L'histoire des mustangs est digne de l'émission enfantine "Cinquante millions d'amis".
La romance de Pauline et son mentor est empruntée à celle de Judith Godrèche et son sulfureux metteur en scène.
Le personnage de Marcelle, la mère de Pauline, ressemble à une Suellen de la série "Dallas".
Alors, bien sûr, la passion de Pauline pour les mustangs est raccord avec la dernière scène du film, très joliment racontée, comme la destruction (réelle) de l'hôtel Mapes, véritable décor de ce scénario qui pourrait faire un excellent énième film sur Marilyn, mais le film pourrait s'arrêter là.
Malheureusement le livre s'embourbe alors dans une guimauve digne d'un mauvais feelgood à parcourir en diagonale !
En résumé : Mrs Miller... et rien d'autre !
