je donne tout simplement les raisons de mon abandon de lecture,
Il s'agit d'un roman dystopique qui nous projette en 2028 et je n'aime pas.
De plus les quelques dizaines de pages que j'ai lues ne m'ont pas transportée, je n'y ai pas trouvé d'intérêt.
Mauvaise pioche.
Il faut dire que la couverture est jolie et la quatrième attirante.
Je me garde bien de donner une note car cette mini chronique n'est que mon avis et surtout se rapporte à un sujet que je n'aime pas. C'est juste mon explication à cet arrêt de lecture.
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Ma petite chronique:
Valentin est un facteur malheureux. Sa petite amie l'a quitté pour son meilleur ami, et pire encore, son métier qui le passionne se perd au profit de drones qui ne tarderont pas à le remplacer.
Pierre est un vieux monsieur veuf, qui ne sort presque plus. Sa vie se résume à attendre patiemment chaque mardi la seule visite de Valentin qui lui livre une intrigante lettre parfumée avec un baiser de rouge à lèvres.
Une belle histoire d'amitié se tisse entre le vieil homme et le dernier facteur.
Au décès de Pierre, son ami mettra tout en oeuvre pour retrouver la mystérieuse expéditrice pour lui apprendre la nouvelle en douceur.
D'une écriture fluide et agréable, l'auteure nous livrera une histoire riche en tendresse et humanité, le constat que le facteur est un personnage important dans la vie des gens.
Une fin de roman complètement inattendue et surprenante.
Je tenais à remercier Virginie Paquier qui m'a confié la première lecture de son roman et j'espère que mes petites annotations auront pu lui être bénéfiques, car c'est avec fierté et passion que j'ai pris cette tâche très à coeur.
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Premier roman de cette auteure pour moi. L'histoire se déroule en 2028, et raconte les aventures du dernier facteur, Valentin. Celui-ci n'a pas une vie trépidante puisque son emploi consiste à porter une lettre une fois par semaine à son dernier client Pierre. Et c'est sur ces lettres qu'est construite toute l'histoire. Une adresse, une trace de lèvres au rouge à lèvre et une effluve de parfum. A la mort de Pierre, Valentin va partir à la recherche de l'expéditrice. Une histoire un peu trop simple et pour moi trop longue, car je me suis ennuyée sur les trois quart du livre. La fin est donc sans surprise et il ne va pas me rester en mémoire longtemps.
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Tout d'abord, un énorme merci à cette auteur qui m'a fait confiance en m'offrant son livre.
Un très bon roman. Une idée de départ très originale qui m'à fait réfléchir sur l'importance de certaines choses au quotidien.
Le personnage de Valentin est touchant et fort attachant, c'est lui qui va rendre cette histoire si passionnante, mais il ne faut pas oublier que si elle existe, c'est aussi grâce à tous ces autres personnages.
je resumerai ce roman en un mot "Humanité" ! Cela nous rappelle que pour vraiment exister, être heureux, il n'y a rien de mieux qu'un bon rapport avec les aures.
En conclusion, je dirai que ce livre est comme la bible en allégé car le plus important, ce n'est pas soi mais rendre la vie des autres le mieux possible.
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Ce doit être ça qu'on appelle un "feel-good" !
Un univers de bisounours, un personnage un brin simplet, des sentiments ruisselants de guimauve... le récit semble s'adresser à un lectorat enfantin, le soir avant de s'endormir, afin qu'il fasse de beaux rêves !
J'en ai fait une lecture au second degré, qui m'a transporté dans un univers serein, où le héros finit par devenir attachant, plein de bons sentiments qui font du bien... en me laissant bercer par la guimauve, je me suis (presque) endormi !
Ce doit être ça, un "feel-good"...
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Chaque année, La Poste supprimait plusieurs centaines d’affectations dans plusieurs régions, puisqu’il n’y avait plus grand-chose à transporter. Et récemment, l’avènement des drones était venu porter le coup fatal, ces machines prenant en charge les rares lettres et tous les colis transportables par ce biais. Les paquets plus lourds étaient transportés sur des systèmes roulant, voire sous-marins. Plus de colis, plus de lettres ou presque, la troupe s’était réduite comme peau de chagrin, jusqu’à disparaître complètement de la plupart des régions. Et au fil du temps, les facteurs disparaissant un par un, par le hasard des suppressions de postes, il ne restait plus que … Valentin.
Mission accomplie dans les règles de l’Art. Car pour Valentin, c’était un art de livrer le courrier ; il fallait respecter l’objet écrit, préparé par une personne qui comptait sur lui pour le transmettre en bon état. C’étaient parfois des lettres anodines, mais parfois aussi des missives très travaillées, ou qui pouvaient contenir des messages très importants pour les personnes concernées ; une naissance, un mariage, un décès aussi, ou une rupture, une lettre d’amour…
Il détendit les muscles de ses bras et essaya de penser à quelque chose d’agréable, comme le massage que lui faisait la coiffeuse avant de lui couper les cheveux, une fois par mois. Cette coiffeuse était aussi bavarde et fatigante qu’elle était douée pour les massages, et il aimait beaucoup les sensations que ses doigts experts provoquaient sur son crâne, comme des petites décharges qui partaient dans tous les sens et lui faisaient des frissons partout.