Mon sentiment tout personnel:
D'une lenteur à rendre l'âme.
Des descriptions d'un ennui profond.
Bien que figurant dans la catégorie roman et poésie, le style, loin du lyrisme ou du roman historique et relevant plus d'un essai historique sans toutefois l'être, m'a paru d'une lourdeur aussi dense que les 700pages de cet ouvrage, en plus de redondants.
Je n'ai pu m'attacher à aucun personnage.
Aurais-je au moins découvert à quoi ressemble la vie durant une pandémie en l'occurrence la peste si la traduction française avait été publiée avant l'ère du Covid ? Je ne le saurais jamais.
Reste un sentiment de délivrance à avoir enfin terminé cet ouvrage.
Ce fut un parcours du combattant.
Ce qui est sûr c'est que je ne m'approcherai plus jamais d'un ouvrage d'
Orhan Pamuk tout
Orhan Pamuk est-il! D'autant plus que j'ai eu également beaucoup de mal à continuer «
Neige ».
Bref. J'en sors traumatisée., en me jurant cette fois de laisser tomber un livre auquel je n'accroche pas. Ou alors c'est d'avoir été replongée dans l'ambiance du confinement et du Covid? Qui sait…?