le livre commençait bien puis c'est l'horreur. C'est une chronique des malheurs des femmes noires dans un quartier défavorisé. Malheurs causés principalement par leurs pères, leurs hommes, leurs fils ou les hommes du quartier. le dernier chapitre est insoutenable (viol). La quatrième de couverture de mon édition (Belfond) parlait pourtant "d'une oeuvre polyphonique, tendre et pleine d'humour". On n'a pas dû lire le même livre.
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