- Tu me googles là ?
- Je veux juste être sûre que t'es ni un serial killer ni un Podcaster.
Ma sœur dit que lorsqu'on a un bébé, on n'est plus capable de se soucier du reste.
Moi je me soucie d'avoir des glaçons bien sphériques.
Will McPhail nous entraîne dans un univers graphique en apparence simpliste, aux détails pleins d’humour. C’est l’histoire de la découverte des rapports humains par un trentenaire, des vrais rapports humains, ceux qui ouvrent l’âme et bouleversent, bouleversements magnifiquement retranscrits par des planches colorées abstraites, qui détonnent avec le reste de l’œuvre. Les dessins, l’histoire, les dialogues…l’émotion m’a embarquée d’un coup, sans prévenir, au détour d’une page et d’une blague. Je ne suis pas sûre d’avoir saisi toutes les métaphores, mais c’est peut-être ça, aussi, le charme de ce roman graphique, d’en laisser toujours plus à l’interprétation et à la découverte, en permettant aux relectures d’être aussi belle que la découverte. J’ai hâte d’y revenir, d’ici quelques années.
Il me faut un bar tragique, un décor déprimant. Un véritable trou noir émotionnel. Il me faut... Nom de Dieu, c'est de l'Helvetica ?
ILS ONT RAISON.
PARFOIS, JÉCOUTE JONI MITCHELL APRÈS M'ÊTRE BRANLÉ.
ET J'AI AUSSI UN DÉGÂT DES EAUX.
MAIS UN PROBLÈME Å LA FOIS.
ET PUIS MES CHEVEUX SAVAMMENT DÉCOIFFÉS SEMBLENT CRIER . CE MEC BAISE !!!