Le thème, la guerre d'Algérie, et les problèmes de résilience non accomplie, comme le dirait le bon Dr Ruffo, sont intéressants.
L'histoire en elle-même se dévoile de manière erratique. L'auteur cultive le "teasing"... Comme un homme de marketing et pas le meilleur d'après moi.
"Der Ton macht die Musik" disent les allemands. Et pour moi le ton est subjectivement insupportable. Les trouvailles stylistiques, manque de ponctuation, phrases hâchées loin de rendre une atmosphère, m'ont désorienté voire énervé. Mauvigné est pour moi l'archétype de l'auteur pour parisianiste breveté...
Vu les critiques dytirambiques de personnes dont j'estime le jugement plus sûr que le mien, je me suis longtemps retenu de livrer ma pensée...
mais j'ai pensé au bon Dr Ruffo...
La résilience commence, mon neurone se reconstruit letement.
Commenter  J’apprécie         130
La voix narrative du début du roman en rapportant des événements d'une manière distanciée et faussement neutre m'a paru décourageante et affectée - puis c'est l'enchaînement de confrontations sombres et pénibles entre personnes étranges les unes aux autres sinon étrangères malgré leurs liens familiaux qui a accru mon désintérêt. Finalement, j'ai fini par tourner les pages sans plus m'attacher à la lecture, avant que, selon d'autres critiques, démarrent les péripéties qui donnent au roman son relief.
Commenter  J’apprécie         50
C'est très bien écrit, mais ce n'est pas mon style : ça ne m'a pas suffisamment embarquée pour que je le continue.
Commenter  J’apprécie         10