Did I mention I love you ?, tome 1

Eden passe ses vacances d'été chez son père à Los Angeles. Elle fait un tas de nouvelles rencontres mais surtout, elle se découvre des demi-frères dont Tyler.

Qu'est-ce qui m'a pris de lire ce livre ? Je voulais en fait comprendre ce qui fait le succès de cette « série phénomène » qui compte « 4 millions de hits sur Wattpad », le site de référence où des personnes comme vous et moi postent leurs propres écrits, leurs propres histoires ainsi que les fameuses fan-fictions qui permettent à n'importe qui de faire n'importe quoi des personnages de leurs romans préférés. Quatre millions de lectures sur le site pour Did I mention I love you (ou DIMILY, ça va plus vite) ! Mais une lecture sur le site, c'est comme un ticket de cinéma : même si le film est mauvais, vous avez contribué à son succès en achetant une place. J'ai lu DIMILY comme j'ai essayé de lire 50 nuances de Grey : comprendre pourquoi ça marche tant, pourquoi on en parle partout et pourquoi c'est trop cool. Mais dès les premières pages, je n'ai pas pu porter l'héroïne dans mon coeur. Eden est une ado clichée de 16 ans qui passe huit semaines chez son père et c'est trop nul. Ils font même une petite fête de quartier pour l'accueillir et c'est trop nul. On y mange un barbecue et c'est trop nul et on y écoute de la musique trop nulle. En plus, elle ne connaît personne alors c'est trop nul. Superficielle, Eden se soucie de ses poils de jambes, de son bronzage, de son jogging le matin, des calories des aliments du fast-food, de ses cheveux et de son maquillage. Cette même Eden ose dire des filles de son âge qui l'entourent qu'elles sont complètement stéréotypées ; c'est l'hôpital qui se fout de la charité. Passée son installation dans une chambre où, oh mon dieu il fait trop chaud parce que son père n'a pas pensé à allumer la climatisation, elle se lie rapidement d'une pseudo-amitié, parce qu'elle n'en a pas tellement le choix, avec Rach, Tiff et d'autres filles et garçons de Los Angeles branchés aux noms super trop classes et aux diminutifs ridicules. C'est l'été, il fait chaud sous le soleil de la Californie (mais l'une de ses copines trouve quand même le moyen d'attraper la grippe, ce qui m'a fait mourir de rire) ; soirées, beuveries et ragots s'enchaînent et se ressemblent, les parents de toute cette joyeuse bande n'ayant ridiculement aucune autorité du tout sur chacun d'eux. Seule « ombre » au tableau : le père d'Eden s'est trouvé une nouvelle femme et la jeune fille se découvrent alors deux jeunes demi-frères qui sont rapidement portés disparus dans l'histoire après quelques pages seulement mais aussi, et surtout, un demi-frère bad boy du nom de Tyler qui, au tout début du roman, fait une entrée fracassante censée le rendre complètement… complètement quoi ? Je n'ai pas bien saisi l'effet qu'a voulu donner l'auteur lorsque Tyler arrive en trombe dans sa voiture trop belle hors de prix alors que les invités mangent un barbecue qui leur vaut alors d'être méchamment critiqués par un Tyler rebelle qui a l'air tout aussi végétarien que je suis catholique pratiquante. Rapidement, Tyler montrera des signes de bipolarité sans doute car entre ses accès de colère bien too much pour être crédibles (une vraie soupe-au-lait, ce gars) et ses tentatives d'approche calmes et tout à fait normales avec Eden, on a du mal à saisir autre chose que le côté brouillon d'un personnage qui se voulait être complètement craquant pour les lectrices. Derrière ses allures de beau gosse coqueluche de L.A. à la mauvaise réputation de toxico se cache un personnage complètement neuneu qui a tout de la coquille vide d'un escargot. L'auteur ne maîtrise véritablement pas son personnage sans aucun doute bien plus dense dans sa tête mais qui perd toute substance sur le papier. Voici pour un premier constat dressé après avoir lu un bon tiers du roman qui se terminera sans aucun doute de la façon qu'on imagine déjà.

Je crois que je suis trop vieille pour ce genre de lectures. Mais j'ai tout de même continué ma lecture car je n'apprécie pas ne pas aller au bout d'un livre entamé. Mes échecs de lecture se comptent sur les doigts d'une main et DIMILY n'en fait pas partie, à mon grand étonnement. Contrairement à La malédiction Grimm que, pleine d'espoir, je mettais en sursis à chaque nouveau chapitre, DIMILY, dans mon coeur de lectrice, était déjà rapidement condamné à finir dans le coin des lectures fadasses au succès commercial douteux et infondé qui ne laisseront qu'un mauvais souvenir. Comme on me l'a souligné, il fallait s'en tenir à la couverture : une fille, un garçon, beaux, dignes des jeunes qui sortent des séries télé pour ado, et des paysages, Los Angeles, avec ce qu'ils représentent, la joie de vivre, la superficialité et la naïveté du rêve américain. Mais j'ai tenu à laisser une chance à DIMILY quand même. Sur la quatrième de couverture, l'éditeur nous parle d'un coup de foudre entre Eden et son demi-frère, un coup de foudre visiblement interdit aux yeux de la jeune fille qui ne sait pas contrôler la moindre de ses pulsions. Toute la surprise du roman réside dans cette relation dite incestueuse bien que les personnages n'aient aucun lien de sang. La surprise, selon moi, réside plutôt dans le fait que Eden et Tyler se roulent un patin sans prévenir, qu'on ne croit pas une seconde aux sentiments véritables qui essaient de se dessiner dans les pages, qu'ils s'entendent comme chien et chat, que leur idylle ne prend pas et que ce sont surtout des hormones en ébullition qui les travaillent. Bref, on n'accroche pas et on ne croit pas plus au coup de théâtre qui vient secouer la petite culotte de l'héroïne et des lectrices sans doute et sur lequel l'auteur mise tout. DIMILY, c'est finalement, jusqu'à la dernière page, un catalogue de clichés qui ne voient pas plus loin que le bout de leur nez et qui reste destiné aux très très jeunes adolescentes amatrices de la culture américaine superficielle comme les médias et les oeuvres à succès veulent bien nous la montrer.

J'accorde ★ ☆ ☆ ☆ ☆ à Did I mention I love you. Si je pouvais lui décerner la moitié d'une étoile, je le ferais. DIMILY est un vulgaire condensé de clichés américains qui s'enchaînent à une vitesse folle au point de nous en dégoûter. DIMILY ne contient aucune originalité et la trame ainsi que les personnages s'enlisent dans des stéréotypes fatigants innombrables. Bien après avoir entamé ma lecture, j'ai découvert que l'auteur a dix-neuf ans. Peut être la piètre qualité de son roman est alors dû à son jeune âge puisqu'elle a écrit sa trilogie bien plus tôt. DIMILY reflète alors sa jeunesse et sa naïveté ou sa culture appauvrie et bercée par des Gossip Girl et autres Frères Scott.
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Je n'ai pas du tout aimé ce livre et je vais tenter d'expliquer pourquoi. Premièrement, j'ai dû m'arrêter à la page 150 parce que chaque ligne me faisait rouler des yeux, chaque paroles, chaque détails me faisait souffler bruyamment. En bref, j'étais vraiment soûlée. le personnage principale est une contradiction sur patte : à la première page, elle rêve du soleil, des sorties, des fêtes, et une dizaine de paragraphes plus tard, elle déteste les filles "clichés", les critique même. de plus, pourquoi aller passer les vacances chez son père si c'est pour le regretter au moment venu? Bref, sans queue ni tête.
Pour le personnage de Tyler (il doit s'appeler comme ça, j'en ai carrément oublié son nom!), sa première apparition m'a fait explosé de rire. Pas dans le sens où c'était marrant, non, dans le sens où je n'arrivais pas à croire que l'auteur avait fait ça. Désolée si j'ai l'air énervée, j'essaye juste d'exprimer tant bien que mal les raisons pour lesquelles ce livre m'a insupportée! Après la contradiction sur patte, voici le cliché ambulant, Tyler regroupe toutes les caractéristiques du "bad boy" que l'on retrouve sur toutes les histoires wattpad: il se tape une blonde provocante, il fume de la drogue, il est narcissique et attention, ils froncent tout le temps les sourcils et a toujours l'air de sortir de prison (et en plus il a une voiture qui fait du bruit et qu'il gare n'importe où et n'importe comment pour montrer qu'il déteste le monde) Mais à côté de ça, il supplie sa demi-soeur de ne pas répéter ses conneries à sa mère. Bon, euh... pourquoi pas écoute.
Et puis leur relation, encore une fois je n'ai pas lu en entier mais une amie m'a racontée la fin et ça confirme mes craintes : c'est très prévisible.
Bon, je pense m'arrêter ici. J'étais très déçue par cette semi-lecture car beaucoup de critiques vantaient ce livre. J'ai plus l'impression qu'il s'agit d'une fiction wattpad sans réelle profondeur que d'un roman à part entière.

"Tu vas voir, c'est une romance qui change". Non.
Je me suis sentie mal à l'aise et exaspérée pendant toute ma lecture. J'ai tellement levé les yeux au ciel que j'ai du perdre 2pts à chaque oeil. J'veux pas de lecture douloureuse comme ça, c'est pas ce que je recherche.

Bon déjà, ce n'est pas mon style. Vraiment pas. Si c'est le vôtre, tant mieux pour vous.
Je vais essayer au maximum de n'être dénigrante envers personne. Maintenant, je ne pense pas que ce soit le style de critique que les aficionados de Dimily sont susceptibles d'apprécier .... Et je vais spoiler aussi.

J'ai rarement lu un livre aussi mauvais. Il n'y a rien, absolument rien à sauver. Les personnages sont creux, je suis sûre que tu tapes dessus ça résonne pendant vingt minutes sans discontinu. Soit-disant Eden parle parfaitement Français et elle ne comprend pas que "guerrero" ça veut dire guerrier ?! Clairement, elle a séché les cours cette jeune fille.
L'histoire est inintéressante et clichée au possible. Tu devines toutes les grandes révélations à l'avance tellement elles sont vues et revues (la fille qui a des troubles alimentaires, le père du garçon qui était violent ... Je suis d'ailleurs presque étonnée que le Tyler soit pas un vampire. Au point où on en est.
Ensuite on voit que l'auteure n'est clairement pas psychologue : les passages où Eden parle de ses "troubles alimentaires", mon Dieu que c'était mal écrit. Tyler qui passe d'un extrême à l'autre car il est trop dark et torturé tu comprends.
Le vocabulaire, purée, le vocabulaire. J'ai appris que l'autrice vient de Wattpad, tu déconnes à quel point ça se voit. c'est clairement le type de chronique cheloue qu'on retrouve partout sur la plateforme. Et encore, j'en ai déjà lue des meilleures.
Mais le pire, c'est la fin ! Purée de mercredi, la fin ! Cette autrice de merde à skipper ce qui aurait pu être la meilleure partie de cette bouse. Les deux imbéciles qui passe tout une année forcés à se côtoyer, à aller au même lycée alors qu'ils sont amoureux l'un de l'autre tout en sachant qu'ils ne peuvent pas être ensemble (d'ailleurs en a pas parlé, mais leur "amour" n'est ni compliqué, ni damné, ni impossible, c'est juste un couple de chieurs qui se créent des problèmes). Ca c'était intéressant ! Ca c'était bien ! Bon, si ça avait été bien écrit évidemment ...
Bref, après ce super discours salé et cathartique, vous comprendrez aisément que je ne lirai pas les suites.

Je n'ai jamais rien de pareil. Jamais. le Young Adult est véritablement un mauvais genre mais ce livre réussit à le rendre ignoble. Je n'aime ni le thème, ni les personnages ni leurs interactions. L'inceste est un thème à aborder avec prudence et circonspection.
Je rappelle que Cassandra Clare, qui a brièvement flirté avec ce thème, s'est fait incendier par booktube alors qu'elle avait traité ce sujet également sous l'angle léger du coup de foudre jeunesse.
Tandis que Clare réussit à s'en sortir et à faire oublier cette polémique en poursuivant agréablement son histoire, l'auteur de ce livre s'enfonce. Tous les mauvais clichés y passent. Mais où est passée la romance, la séduction ? On n'est certainement pas dans Les Oiseaux Se Cachent Pour Mourir (de Colleen McCullough) ou Rebecca (de Daphné du Maurier) qui réussissent à introduire des histoires d'amour contrariées et complexes et réalistes. Rassurez-vous chers parents, les adolescents d'aujourd'hui ne sont pas comme ça.
Si vous aimez le vulgaire chic, passez du côté de Vampire Diaries L.J. Smith ou de la La Communauté du Sud de Charlaine Harris. N'usez pas vos yeux sur ce torchon.
Une demi-étoile parce que je suis magnanime, et parce que l'auteur a du culot à revendre si elle est parvenue à publier 4 livres d'une histoire pareille.

Personnellement, j'ai trouvé ce roman rempli de clichés et un peu trop orienté midinette. DIMILY surfe sur la vague des amours taboues, avec l'interdit, le frisson de l'amour caché, secret. Est-ce moi qui suis insensible à ce fantasme adolescent ? Je ne sais pas. Mais j'ai l'impression de me retrouver face à deux ados pleins d'hormones qui cachent leurs bêtises à leurs parents, sans y trouver un réel intérêt...

(critique complète sur mon blog)

Lien : https://dansmabib.wordpress...

Je tiens à souligner que ce que je vais écrire tient de MON point de vue et que c'est tout à faire normal de ne pas aimer les mêmes choses et de ne pas apprécier tous et toutes les mêmes lectures.

J'ai beaucoup entendue parler de ce livre, beaucoup de mes amies me l'ont conseiller alors je l'ai acheté. Je voulais connaître ce phénomène dont tout le monde parlait sur toute les plateformes.
Une romance entre demi-frère demi-soeur, pourquoi pas ? D'où vient ma note 1 étoile ? L'éloge de ce livre est selon moi non mérité.

Tout simplement je n'ai pas accroché, j'ai trouvé le personnage d'Eden vraiment très « gnangnan » et très cliché, je trouve son personnage très superficiel.
Au début du livre elle aime le soleil, les fêtes, la ville et des vingtaines de pages plus tard elle exprime son avis comme quoi elle n'aime pas les filles « clichés » et elles les critiquent alors qu'elle même en est un. Ni queue ni tête.

Concernant Tyler, le bad boy dont tout le monde parlait, je n'ai pas non plus aimé son personnage qui d'après moi était complètement cliché et foiré. Tout au long du livre je l'ai trouvé bipolaire et ses accès de colères n'avaient aucun sens et groupe d'amis bad boy était complètement sans intérêt. Typique du fumeur de drogue qui se tape toutes les nanas, c'était insupportable.

La vitesse du déroulement de l'histoire était flagrante et n'avait ni queue ni tête et j'ai réellement trouvé leur idylle banale, ridicule et cliché encore une fois je pense sincèrement que ce livre était en réalité pas adapté à mon âge mais à une tranche d'âge plus jeune.

Je pense que si l'auteure aurait été plus profonde avec ses personnages et plus originale, ça aurait pu le faire. Cependant l'auteure a écrit ce livre a à peine 18 ans et pour ça, bravo tout de même

Ce livre m'a vraiment dégoûté du début à la fin; je crois que les histoires d'incestes ne sont tout simplement pas pour moi. Ils n'ont pas de lien de parenté mais tout de même, je trouve ça tout simplement dégoûtant.
je ne lirais évidement pas la suite et je ne le recommande à personne même si je ne juge aucunement les gens appréciant ces histoires d'amour.

Emprunté à mon ado de fille.
Si on fait abstraction de l'histoire cousue de fils blancs (il faudra qu'on m'explique en quoi c'est tellement choquant de sortir avec le fils de la nouvelle femme de son père avec qui on a absolument aucun lien de sang, avec qui on ne vit pas à l'année et qu'on connaît depuis quelques semaines ?!?), des clichés et du manque d'originalité...c'est pas mal écrit. Pas un chef d'oeuvre mais le page turner fonctionne.

J ai n ai pas bien aimé ma lecture parce que le fil conducteur n'est pas vraiment innovant mais il est bien traité. le fait qu une adolescente tombe amoureuse de son beau frère commence a devenir assez commun mais on reconnait bien dans l écriture la plume de l auteur. le point négatif est la façon de décrire les jeunes : ils boivent, fument, se droguent .Dans ce livre ils sont tous rangés dans cette catégorie ce qui m a fortement déplu.