J'ai abandonné ce livre à la 150ieme page car je n'ai pas aimé ni l'histoire ni le style d'écriture. Je suis pourtant une fervente adepte des livres d'
Henri Loevenbruck que j'ai tous lus et appréciés voire adorés. Mais là, non.
Le langage parlé avec des mots et des phrases souvent redondantes
Les personnages misogynes
La violence a tous les étages autant physique que mentale
La misère sociale et la misogynie de « la bande de potes » élevée au rang de poésie et de beauté nostalgique
Le milieu motards/motos auquel je suis hermétiques et allergiques à force de harcèlement de rues et d'agression auditives dans la vraie vie au nom « de la beauté de la moto »
Tout m'a semblé caricatural dans les personnages et les relations qui y sont décrites avec un sentiment de « récit autobiographiques ».
Je pense qu'en 2021, on a pas besoin de continuer à véhiculer les modes de pensées de jadis, surtout pas d'en faire un récit poétique en faisant passer la violence pour un truc nostalgique.