Deux parties dans ces lieux de mémoire. La première, plus importante, relate l' enfance de l' auteur, jeune garçon, en vacances dans le Sud Finistère. La seconde égrène des souvenirs de l' écrivain, réfugié bébé, avec sa famille, dans la vallée de la Vésubie.
Le style, comme très souvent, chez
J.M.G. le Clézio, est soigné, l' écriture sobre et rigoureuse.
Au fil des pages, se dessine le regret des paysages disparus, la nostalgie des métiers d' antan. le romancier sait, cependant, se montrer réaliste face à l'évolution de la société.
Ces images des étés finistériens, écrites par un amoureux de la Bretagne, sont très agréables à lire.
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