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Critique de Fandol


Avant de me laisser avec un suspense intenable – bien joué Hajime Komoto ! – je suis encore toutes les épreuves que doit affronter Mash Burnedead.
Pour préserver sa vie, le héros se voit confronté à toutes sortes de menaces et, bien sûr, à des adversaires de plus en plus coriaces.
Toujours dans l'arène destinée à accueillir les épreuves permettant de désigner l'élu divin, devant un public immense, voilà Mash face à Margaret Macaron. Ce n'est pas une fille comme son prénom le laisse supposer et comme son visage superbement maquillé semble le confirmer.
Comme c'est le cas depuis le début de Mashle, chaque adversaire se présentant face à Mash Burnedead est sûr et certain de la victoire. Cela donne des pages d'une grande violence, sans texte, pleines d'éclats et d'explosions toujours étonnantes. C'est là qu'Hajime Komoto se régale et exprime tous ses talents de dessinateur.
Sept bonus émaillent le récit, les neuf chapitres. Comme me l'a conseillé mon maître avisé en mangas, Albin, mon petit-fils, je dois lire ces bonus à part, dès que j'ai terminé ma lecture. C'est vrai, c'est beaucoup mieux !
Très effacés pendant ce tome 7, les amis fidèles de Mash : Dot Barrett, Lance Crown, Lemon Irvine sont mis en valeur dans ces bonus, avec Mash lui-même. Confrontés à une boule de cristal, ils tentent de lire quel sera leur avenir.
Bien sûr, pour connaître le sens de ce titre faisant allusion au tennis, avec une raquette dans les mains de Mash, il faut se précipiter pour lire ce tome 7… avant bien d'autres puisque Hajime Komoto confie n'être qu'à la moitié de l'histoire.
À suivre donc…

Lien : https://notre-jardin-des-liv..
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