Un monde à portée de main

Je ne rentre pas dans l'histoire. Je me perds, je m'évade mais pas dans l'histoire, ailleurs... J'ai presque l'impression d'entendre le monologue d'une personne qui s'écoute parler... mais que je n'écoute pas !
Je peux comprendre que certains lecteurs soient happés par l'écriture de Maylis de Kerangal, mais ce n'est pas mon cas avec ce roman.
Je ne le finirai pas... J'abandonne vers la page 60.

comme Archie je n'ai pu entrer dans l'histoire.
le style ne me convient pas du tout non plus

Déception ... et de livre en livre cette écrivaine me perd ..
Dommage, j'y cours avec gourmandise et puis non, ça ne fonctionne pas avec moi....trop épuisant par sa volonté d'exhaustivité, des phrases où il n'y a pas de chair, je reste en dehors...mes pensées s'évadent ...il est temps de renoncer

Décidément, je n'accroche pas du tout au style de Maylis de Kerangal, excepté Réparer les vivants qui fut un coup de coeur pour moi. J'ai l'impression d'étouffer quand je lis un de ses livres car cela manque d'espace et de dialogues. En même temps je lui reconnais une richesse de mots. Je suis impressionnée par son travail en amont consistant à découvrir et à posséder son sujet en profondeur afin de le restituer de manière aussi juste que possible à ses lectrices et ses lecteurs. Cela ne me touche pas. Pire cela m'ennuie, mon esprit s'évade. J'ai tenu jusqu'à la page 60. Heureusement il m'a été prêté par une amie.

Trois jeunes gens se rencontrent lors de leurs études dans une école d'art bruxelloise. Nous suivons alors leur évolution à l'école et dans leur vie professionnelle et familiale, plus particulièrement la vie de Paula.
Ce sont des interrogations sur l'art, la représentation du réel, le milieu des peintres...Bon je n'ai pas du tout accroché. Peut-être qu'une connaissance plus approfondie de ce milieu m'aurait permis de mieux apprécier ce roman.

Je n'ai pas tres bien compris le ressort de ce roman. Je l'ai trouvé plutôt énervant dans son envie de contourner l'histoire et les personnages principaux. D'ouvrir des dizaines de portes dans l'histoire et de s'obstiner à explorer ce qu'il y'avait derrière chaque porte, sauf bien sûr les personnages principaux Jonas Kate et meme Paula. On referme le livre avec l'impression d'avoir passé beaucoup de temps avec des gens qu'on ne connaîtra jamais
Je suis déçue et énervée suite à cette lecture

Paula s'imagine que, pense que, se dit que... mais concrètement Paula ne vit pas d'événement trépidant. Les descriptions parfaites des lieux traversés et de leur Histoire sont donc dans une approche documentaire (et donc bien documentés par mme de Kerangal), et a aucun moment on croit qu'ils sortent de l'imagination du personnage principal, qui au départ choisit sa formation de peintre par hasard/dépit. Lecture traversée de manière superficielle, à l'instar des émotions de Paula.