AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations sur Anita Blake, tome 9 : Papillon d'Obsidienne (16)

La dernière chose que je sortis du sac fut Sigmund, mon pingouin en peluche - et le compagnon de toutes mes nuits depuis six mois. Il ne ronfle pas, ne monopolise pas les couvertures et me laisse lui faire autant de câlins que je veux sans jamais protester. C'est plus qu'on ne peut en dire de beaucoup d'hommes.
Commenter  J’apprécie          50
Anita à propos d'Edward.

Si les yeux sont la fenêtre de l’âme, Edward est salement dans la merde parce que les siens donnent sur une maison vide
Commenter  J’apprécie          00
Quand on pense musique rituelle, on pense tambours -un rythme qui nous rappelle les battements de notre cœur, le flux et le reflux de notre sang. Mais tous les rituels ne sont pas conçu pour nous mettre au diapason de notre corps. Parfois, ils se contente d'invoquer une divinité-comme le cri d'un enfant délaissé qui réclame l'attention de son père ou de sa mère. " Hè, Dieu, regarde moi ! Aime moi !"Malheureusement, tous les parents n'apprécient pas d'être interpellés de la sorte.
Commenter  J’apprécie          10
Des chaussures de randonnée ? Edward ? Je l'avais toujours pris pour un rat des villes. Pourtant, il semblait très à l'aise dans son attirail de bouseux. Sans ses yeux, je ne l'aurais peut-être pas reconnu. Même s'il était déguisé en Prince charmant sur un char de parade Disney, ses yeux auraient incité les petits enfants à s'enfuir en hurlant.
Commenter  J’apprécie          10
Pourquoi ne pas plaquer Jean-Claude et Richard pour sortir avec des humains ? Parce que j'étais déjà amoureuse de deux hommes, et que je trouvais ça suffisant.
Je ne pouvais cependant pas nier que la situation m'usait peu à peu. Jean-Claude se servait de moi pour consolider son pouvoir. Et Richard et lui se pelotonnaient autour de mon humanité comme si c'était la dernière flamme subsistant dans un monde de glace et de ténèbres. Richard, en particulier, s'accrochait à moi parce que avoir une petite amie humaine semblait l'ancrer dans la normalité.
Le problème, c'est que ma soi-disant humanité laissait de plus en plus à désirer. Richard avait été humain jusqu'à ce qu'il devienne un loup-garou. Jean-Claude avait été humain jusqu’à ce qu'il devienne un vampire. Moi... J’avais vu ma première âme à l'âge de dix ans. J'avais accidentellement relevé mon premier mort à l'âge de treize ans. De nous trois, j'étais la seule qui n'ait jamais réellement été humaine.
Commenter  J’apprécie          10
Pour résumer, Edward est un sociopathe, ou il y ressemble tellement que je n'arrive pas à faire la différence. Je suis sans doute l'une des rares personnes au monde qu'il considère comme une amie, et ça ne m'empêche pas de me méfier de lui. Il me fait penser à un léopard apprivoisé, le genre d'animal qui peut dormir au pied de votre lit et vous laisser lui gratter la tête, mais qui reste susceptible de se tourner contre vous et de vous tailler en pièces sans avertissement préalable.
Commenter  J’apprécie          10
Il m'est déjà arrivé de dire à des gens que je les pourchasserai jusqu'en enfer pour me venger, mais je ne le pensai pas vraiment. Itzpapalotl, elle, en était bien capable.
Commenter  J’apprécie          10
Olfa tourna la tête vers nous Il arborait une expression meurtrière, effrayante, comme s'il avait laissé tomber son masque civilisé pour révéler son vrai visage : c'était celui d'un monstre délibérément conçu pour affoler les gens, un monstre dont nulle folie ne teintait la brutalité primitive - en résumé, un monstre que les innocents pouvaient comprendre sans trop se casser la tête.
Commenter  J’apprécie          10
Je connais plusieurs personnes à qui je confierais ma vie, mais aucune autre à qui je confierais ma mort. Par amour - ou pour quelque chose qui y ressemble -, Jean-Claude et Richard tenteraient de me maintenir en vie coûte que coûte. Ma famille et mes autres amis en feraient autant. Mais si je veux la mort, Edward me la donnera. Parce que nous comprenons tous les deux que ce n'est pas mourir qui nous effraie. C'est vivre.
Commenter  J’apprécie          10
-Tu as dit que c'était un ami très proche, hein? Ton amant? me lança la femme.
Si, elle n'avait pas braqué un fusil à pompe sur moi, je l'aurais envoyée se faire foutre.
-Oui répondis-je en me fiant au conseil de Ramirez et en espérant qu'il savait de quoi il parlait.
-Prouve-le.
Je haussai les sourcils.
-Excusez-moi?
-Il est circoncis?
J'hésitai une seconde. Je ne pus m'en empêcher : la question m'avait prise au dépourvu.
-Oui.
Commenter  J’apprécie          00






    Lecteurs (1088) Voir plus



    Quiz Voir plus

    Connaissez-vous bien Anita Blake ???

    Quel est le nom de famille d'Anita

    Black
    Smith
    Blake
    Summers

    20 questions
    91 lecteurs ont répondu
    Thème : Laurell K. HamiltonCréer un quiz sur ce livre

    {* *}