Histoires analogues est un livre de trippeux. Les anecdotes racontées par l’auteur prennent racine dans une plume vive, de véritables images d’écrivain et juste ce qu’il faut d’autodérision.
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Qu'on se le dise une fois pour toutes : le tapage des mains, c'est une mort annoncée. C'est la pire idée qui - comble d'ironie- insuffle une dose abusive d'enthousiasme aux pires rythmiciens de l'assemblée. Réservons donc le geste pour applaudir le moment venu. Chantons, dansons, participons comme bon nous semble, mais laissons nos mains tenir notre verre et caresser l'être aimé, de temps à autre. Laissons la musique aux musiciens et offrons par le fait même un peu de répit à ce pauvre batteur qui doit tenir la barre en dépit de tapeurs aussi synchro qu'un essuie-glace d'autobus. p. 61
La Compagnie Créole venait me fucker l’algorithme à jamais. p.134