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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Ce roman est un véritable coup de coeur pour moi. J'ai adoré ces cinq soeurs qui vivent dans cette maison au bord de la mer. Dès les premières pages, j'ai été emportée par la plume vivante, émouvante et drôle de l'auteur. Ce qui m'a frappée c'est que j'ai connu dans ma jeunesse une famille identique à celle des Verdelaine, ils étaient 7 et s'étaient retrouvés orphelins à la suite de deux tragédies. Les deux aînés étaient majeurs ce qui avait évité à la famille d'être séparée. Et je me souviens de leur pavillon et de leurs difficultés mais aussi de leurs joies. Certes ils n'ont pas vécu les mêmes aventures rocambolesques de la famille Verdelaine mais certains personnages et notamment Charlie m'ont fait penser à la soeur de Nelly (si elle se reconnaît je la salue au passage).

Le roman est découpé en quatre parties et se déroule sur une année ; on suit les vies d'Enid la plus petite puis par ordre de naissance chronologique celles d'Hortense, de Bettina et de Geneviève. On les voit toutes affronter des difficultés, rater des amours (Pauvre Bettina), se découvrir des passions, rencontrer de nouveaux amis ou tenter de fuir leur tante Lucrèce… J'ai tout aimé dans ce roman y compris les apparitions fantômes des parents, surgissant à tout moment pour discuter avec chacune de leurs filles au moment où elles ont le plus besoin de conseils. C'est un très beau roman jeunesse qui devrait être lu par tout le monde. Il vous réconcilie avec la vie.

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Cinq soeurs unies, vivant ensemble après la mort de leurs parents : Charlie l'aînée, 23 ans, qui porte la maisonnée à bout de bras, Geneviève, 15 ans, pragmatique, Bettina, 13 ans, l'Ado avec un grand A, Hortense, 12 ans, amoureuse des livres, et Enid, 9 ans, fantasque et rêveuse.
Cinq soeurs, toutes différentes
Les quatre tomes des aventures des soeurs Verdelaine sont réunis dans cette jolie intégrale, au rythme des saisons, au rythme de leur vie à la Vil'Hervé.

La vie de cinq nanas à des âges différents, avec leurs incertitudes, leurs préoccupations et aspirations. Des rencontres, des amours,des rêves,de l'émotion aussi.

Malika Ferdjoukh a une plume vive et légère. C'est drôle, c'est réaliste, surtout fantaisiste et poétique. On s'attache avec plaisir à ces soeurs et à leur monde. J'ai passé un très joli moment de lecture.
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En premier lieu (et comme souvent), j'ai flashé sur la couverture de ce livre. Les couleurs, la symétrie, la maison ancienne…Ensuite c'est le titre qui m'a parlé : Quatre soeurs. Une histoire de famille, spécialement de soeurs, ça m'intéresse. M'entendant moi-même très bien avec mes frères et soeurs, je trouvais cela amusant de mettre en scène la vie, le quotidien de ces cinq soeurs (oui, en réalité elles sont bien cinq et non pas quatre).

Ce roman est découpé en quatre parties, une pour chacune des plus jeunes soeurs : Enid, Hortense, Bettina et Geneviève. La plus âgée, Charlie, s'occupe de tout dans la maison, veille sur les autres, elle n'a donc pas de partie à elle, même si elle reste un personnage capital dans le livre. le fait de voir l'évolution de ces jeunes filles sans leurs parents, décédés dans un accident de voiture depuis peu, du point de vue de quatre soeurs différentes est très intéressant. En effet, on aborde les choses d'une autre façon à chaque fois, en fonction de l'âge et du caractère de chacune des soeurs Verdelaine. le livre commence avec la plus jeune, Enid, 9 ans, pour qui on s'attache très rapidement. J'ai aimé suivre ses aventures de petite fille qui deviennent de vraies expédition et ses discussions avec le Gnome de la Chasse d'Eau. S'ensuivent ensuite toutes sortes d'histoires d'amour, d'amitié, mais aussi des galères, des chagrins, de la poisse, des visites, des incertitudes et beaucoup d'humour.

L'auteur fait preuve d'originalité dans son écriture qui rend la vie des soeurs Verdelaine très réaliste, comme si elles habitaient tout près, dans leur maison de la Vill'Hervé, au bord de la falaise. Les jeux de mots, les expressions enfantines donnent une certaine légèreté, une insouciance au roman qui part pourtant d'une situation tragique : la mort des parents.

J'ai beaucoup ri, je me suis retrouvée un peu dans chacune des soeurs Verdelaine, j'ai aimé les suivre dans leur chemin, les voir grandir et changer. On est complètement intégré dans l'univers des soeurs, on connait leurs habitudes, leurs « codes » (‘Branle baaaaaaaas' lorsque la Tante Lucrèce, leur tutrice légale, débarque) on assiste à leurs engueulades, on compatit pendant les pannes de chaudière…bref, on embarque dans leur monde et il y a ce petit pincement au coeur lorsque l'on referme le livre.

La dernière partie, l'Eté, axée sur Geneviève est peut-être celle que j'ai le moins aimé parce que ça s'éloignait un peu de ce à quoi l'auteur nous avait habitué. En effet durant les vacances, les soeurs sont séparées (certaines sont à Paris chez les cousins, d'autres sont à la campagne avec des amies…) et je n'ai pas retrouvé la petite routine de la Vill'Hervé qui m'a tant charmée.
Je n'ai, à part cela, rien à reprocher à ce roman, très facile et agréable à lire et qui peut plaire à un large public. Un très bon moment plein de malice.
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D'abord parue en quatre tomes distincts (en 2003) portant chacun le titre d'une des quatre soeurs (qui sont en fait cinq), la série a été éditée en version intégrale par la célèbre maison d'édition L'École des Loisirs en 2010.

Dans l'ordre chronologique, les cinq soeurs Verdelaine se prénomment : Charlie, 23 ans, Geneviève, 16 ans, Bettina, 14 ans, Hortense, 11 ans et Enid, 9 ans. Leurs parents sont morts dans un accident de voiture un peu plus d'un an auparavant quand débute le roman. Elles vivent toutes les cinq dans leur grande demeure au bord de la mer, la Vill'Hervé, avec deux chats, Ingrid et Roberto. Charlie, l'aînée qui a endossé le rôle de tutrice, est le lien, le fil rouge entre ces quatre soeurs qui ont chacune une personnalité bien à elle : Enid, petite fille rêveuse et amoureuse des animaux, Hortense, artiste et diariste, Bettina, un peu rebelle et enfin Geneviève, serviable et secrète. Nous les suivons le temps d'une année, une saison pour chacune, sans pour autant que soient négligés les autres occupants de la maison.

Malika Ferdjoukh parvient à rendre vivantes ces cinq jeunes filles d'âge différent, à leur donner les préoccupations de leur âge, à décrire comment chacune se débrouille avec la mort de leurs parents, Fred et Lucie. Au fur et à mesure, d'autres personnages viennent se greffer : des amis, des amours, des cousins, mais aussi un rat, un autre chat, un écureuil, une chauve-souris, etc. La Vill'Hervé devient une vraie auberge espagnole.

Il règne dans cette maison et donc dans ce roman, une douce folie : les patronymes sonnent étrangement, il y a un gnome dans la chasse d'eau, leur tante insupportable apparaît dès que l'une des soeurs prononce son nom, les parents surgissent des limbes accoutrés de tenues les plus improbables… Réel et imaginaire se mêlent. Car la réalité est cependant bien présente et les cinq soeurs vivent et font des rencontres que toutes jeunes filles peuvent faire dans leur vie. Malika Ferdjoukh ne passe pas sous silence les heurts de la vie : la mort, la maladie, les ruptures amoureuses, les accidents, les mauvaises fréquentations, les problèmes d'argent font partie de la vie et sont présents ici, tout comme sont présents les joies essentielles : être ensemble, un bon couscous, le réconfort de l'amitié, etc.

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Quatre soeurs raconte la vie des cinq soeurs Verdelaine. Les quatre plus jeunes vont tour à tour prendre la parole, dans la partie qui porte leur nom, pour raconter leurs aventures banales ou plus extraordinaires, leurs joies, leurs peines, leurs envies, leurs déceptions et tous les petits bonheurs de leur famille.

J'ai aimé partager un bout du quotidien des soeurs Verdelaine, toutes aussi attachantes les unes que les autres, rire et pleurer avec elles et rencontrer toute la galerie de personnages (et de bestioles) qu'elles côtoient ou hébergent. L'ambiance du roman, pleine de tendresse, d'humour et de joie simple, nous fait passer un moment presque hors du temps.
L'écriture de Malika Ferdjoukh est vive et poétique et le roman, même s'il est estampillé « jeunesse », nous offre aussi une réflexion plus mature et plus profonde de la vie.
Une belle et agréable découverte que je vous conseille !
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J'ai beaucoup aimé ce livre, je trouve que c'est un récit de vie un peu farfelu qui fait du bien. Comment ne pas s'attacher à ses 5 soeurs Verdelaine, à leur entourage et même à leur maison !
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Je ne saurais dire combien de fois j'ai lu cette série de livres. J'adorais m'y replongée, revivre avec les soeurs Verdelaine dans leur maison isolée. On s'attache très rapidement aux personnages. Leur quotidien est drôle, triste, rempli de folie... On en redemande.
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Je suis l'aînée d'un duo de soeurs qui n'a pas toujours fonctionné, qui a souvent déraillé mais qui a toujours su se relever des aléas et est aujourd'hui apaisé. Une seule soeur donc mais l'expérience est suffisante pour se plonger dans cette intégrale de Malika Ferdjoukh et y retrouver quelques situations connues. J'en profite pour remercier ma nouvelle soeur de coeur (belle-soeur) qui a eu la belle idée de m'offrir ce titre il y a quelques mois. Quel bon choix !

Derrière ce gros volume vert se cachent les quatre tomes de la série Quatre soeurs, chacun étant dédié à une soeur ET à une saison de l'année.
On commence par la plus jeune, Enid, en automne. Enid a 9 ans et est une petite fille espiègle qui aime explorer les environs, soigner, domestiquer et baptiser les animaux (improbables) qui l'entourent, notamment un écureuil et une chauve-souris. C'est à travers ses yeux que l'on découvre pour la première fois la Vill'Hervé, gros manoir un peu déglingué posé au bord d'une falaise en Bretagne. C'est aussi en suivant Enid que l'on fait la connaissance de toutes ses soeurs et contrairement à ce que pourrait laisser croire le titre de la série, elles ne sont pas 4 mais… 5 !
C'est Charlie l'aînée qui s'occupe de tout depuis la mort de leurs parents quelques années plus tôt, parents qui réapparaissent régulièrement sous forme de fantômes dans le quotidien des 5 filles ; car après tout, fantômes ou non, ils restent des parents présents lorsque leurs enfants ont besoin d'être guidés.

Difficile de se construire et de grandir avec cette immense perte mais les filles ne manquent pas de force, de courage et d'ingéniosité pour pimenter chaque journée (et d'apparitions spectrales pour les mettre sur la bonne voie) !
Toutes d'un âge différent – de 9 à 23 ans -, toutes ont des « problématiques » qui leur sont propres et surtout liées à leur personnalité.
Si Enid est une enfant inventive et extravertie, Hortense 11 ans préfère la sécurité et la solitude d'un bon livre dans sa chambre, Bettina 14 ans adore passer du temps avec ses amies pour commérer (ce qui lui jouera des tours), Geneviève 16 ans cache les poings d'une boxeuse derrière les tâches ménagères qu'elle effectue toujours avec dévouement et Charlie 23 ans est déjà particulièrement raisonnable pour son jeune âge mais n'est pas à l'abri d'un petit déraillement au niveau du coeur…

Chaque tome apporte son lot d'éléments perturbateurs (souvent sous forme de nouveaux personnages rencontrés plus ou moins par hasard) et donc tout un tas de situations variées qui font tour à tour passer du rire aux larmes.
Parce qu'une année auprès des 5 soeurs dans la Vill'Hervé c'est faire l'apprentissage des difficultés et des joies de la vie. C'est émouvant, tendre et tout simplement beau.
Malika Ferdjoukh a ce je-ne-sais-quoi dans le style qui matche avec le lecteur. C'est visuellement impactant sans s'appesantir dans les descriptions, c'est souvent plein d'humour sans jamais en faire trop… c'est juste exactement ce qu'il faut au moment où il faut ; et ça, ce n'est clairement pas donné à tous les auteurs !

Bien sûr, j'ai eu plus d'atomes crochus avec certaines soeurs et donc avec certains tomes ; bien sûr, j'ai été plus émue par certains passages et plus marquée par d'autres… mais globalement, j'ai adoré l'ensemble de la série et la recommande chaudement aux lecteurs adolescents et adultes car la balade à travers les mots de Malika Ferdjoukh est plus que douce. Elle est inoubliable.
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Ma libraire me l'avait chaudement recommandé, le qualifiant de "petit bijou".

Perle, pépite, ou tout autre substantif se rapportant à ce qui est rare et précieux conviendrait aussi, à mon humble avis de lectrice totalement conquise. Tellement conquise à vrai dire, que m'essayer à une critique de ce chef-d’œuvre m'a longtemps semblé impossible. Mais tellement conquise aussi, qu'il me paraissait ingrat de ne pas essayer, ne serait-ce que pour remercier l'auteure d'avoir créé cette merveille.

Donc nous y voilà.

Le secret des très bons livres me semble assez similaire à celui des très bons plats : outre le choix et la qualité des ingrédients, tout se joue dans l'équilibre des saveurs. Or ce livre est un très beau spécimen d'équilibre des saveurs.
Sachant que l'histoire débute avec cinq orphelines - très fraîchement orphelines je précise - il y avait quand même de quoi craindre l'inondation lacrymale. Ce n'est pas le cas du tout. Mais - et ceci est très important à mes yeux - ce n'est pas non plus le contraire. Car rien ne m'irrite plus que l'excès de mièvrerie, sinon l'écueil inverse : la purge des sentiments.
La littérature jeunesse s'expose peut-être plus souvent que la littérature adulte au sentimentalisme à outrance, mais la littérature adulte, à trop vouloir se différencier de cette littérature jeunesse qu'elle considère comme un sous-genre, engendre pléthore de plumes froides, incapables de (me) transmettre la moindre émotion, parce qu'elles confondent excès de sentiments et sentiments tout courts. Bref, la noirceur sans nuances m’écœure tout autant que le rose sans touches sombres.

Revenons au tour de force accompli par l'auteure, puisqu'elle a réussi à faire commencer son récit par le décès des parents sans faire de cet évènement l'élément majeur du récit.
La mort des parents ne sera pas un poids qui plombera le récit. le deuil est à l’œuvre en chacune des soeurs mais se découvre par petites touches, avec finesse, presque avec pudeur, sans jamais nuire au pétillant des petites et grandes péripéties du quotidien. La douleur, présente en toile de fond, se laisse parfois oublier pour réapparaître plus mordante que jamais à la faveur d'un détail (ceux qui ont lu le livre se souviendront sans doute de la date de péremption des yaourts... cruelle piqûre de rappel parmi d'autres du même acabit).
La construction des personnages est elle aussi de très très bonne facture. Certes, le récit a un avantage : il repose sur cinq sœurs (l'aînée étant passée tutrice de la fratrie, elle dégage du compteur semble-t-il, mais attention, elle demeure l'un des ingrédients indispensables à cette délicieuse alchimie familiale). du coup, on est à l'abri d'un personnage "surchargé", polarisant tous les clichés imaginables (ou les faux contrepieds) auxquels certains auteurs recourent maladroitement pour donner de l'épaisseur à leur héros. Les personnages sont hauts en couleur, mais pas stéréotypés. Ce n'est pas que Malika Ferdjouk ait aboli les clichés, (car les clichés ont leur raison d'être et cette grande dame sait sûrement que les éviter à tout prix aboutit paradoxalement à quelque chose de guère mieux) mais les clichés sont présents ici juste ce qu'il faut, ni plus ni moins. Malika Ferdjouk en use avec parcimonie - et pour filer la métaphore de la popote jusqu'au bout, je dirais - comme de simples exhausteurs de goût. Une vraie chef, cette Malika, je vous assure.
Autre écueil évité avec brio, aucune sœur ne vole la vedette à l'autre. D'une part, chacune tiendra le crachoir pour une saison (sauf Charlie, mais Charlie... son statut est un peu à part, elle est comme un fil rouge tissé par la voix des quatre autres). La première édition de l’œuvre a d'ailleurs été découpée en quatre tomes, chaque tome portant le nom d'une des quatre soeurs et correspondant à une saison. Et croyez-moi, l'alternance des points de vue est rondement menée. Chacune à leur tour, Enid, Hortense, Bettina, et Geneviève nous donneront un accès privilégié à leurs pensées, leurs petits secrets, sans négliger les autres puisque l'existence de l'une et toujours imbriquée dans celles des autres.

Ce en quoi ce livre se distingue des beaucoup de ses camarades d'étagère en rayon jeunesse, c'est qu'il ne recourt à aucun ingrédient magique en tant que tel. Ni créatures magiques ni sorcières ici, pas la plus petite allusion à une prophétie pondue par je ne sais quel mage barbu, pas de voyage dans l'espace ou dans le temps. Je n'ai rien contre la Fantasy ou la dystopie, je me régale avec l'Assassin royal, Harry Potter ou l'Attaque des Titans donc loin de moi l'idée de fustiger les livres qui intègrent ces éléments à leur récit. Mais force est de constater qu'il ne suffit pas de déjouer les lois de la physique et du réel pour que le charme opère. Or le charme des quatre soeurs, fait de problèmes bien réels (de thune, de famille, de chaudière en panne, de boulot, d'école, de météo pourrie et j'en passe) agit mille fois plus sur moi que tous les vampires incompris du monde.

La vie des quatre soeurs, c'est la vie comme elle est, quand on se donne la peine de la regarder avec sensibilité, humour et espièglerie. J'ai une préférence pour les auteurs qui savent nous rendre les objets plus vivants qu'ils ne le paraissent et révéler dans l'apparente simplicité du quotidien mille et une merveille de drôlerie et de poésie.

Quant à l'écriture... que dire? C'est recherché mais jamais pédant, c'est original sans être prétentieux, c'est inventif, riche, audacieux, rythmé, subtil...

Alors... Dévorez, dégustez, savourez, accommodez cette délicieuse lecture comme il vous plaira, mais de grâce, lectrices et lecteurs, offrez sans tarder à votre esprit gourmet une explosion de saveurs avec ce met littéraire des plus raffinés.



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quatre filles, quatre soeurs qui vivent seules dans leur grande baraque perchée au dessus de la mer, on peut les voir vivre avec leurs amis, leurs amours, leurs crises de rire et de larmes, et les drames et de grands évènements... A lire à tout âge
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