Citations sur Les enfants de la Résistance, tome 2 : Premières répressions (28)
"Mon père était libre. Libre de prendre des risques...livre de ne pas tolérer l'idéologie abjecte du nazisme. libre de se battre pour notre liberté qui se réduisait chaque jour...libre aussi de mourir en luttant contre ces gens qui prétendaient appartenir à une race supérieure. Une race autorisée à persécuter tout homme qu'ils considéraient de race différente. Libre enfin de mourir en sauvant cet Africain dont il ne connaissait même pas le nom."
Des mois après l'armistice, nous n'étions encore que des petits grains de sable isolés. Mais ces milliers de petits grains de sable pouvaient enrayer la machine nazie.
Huit mois après l'armistice, la résistance n'en était qu'à ses débuts...
La répression, elle, gagnait chaque jour en efficacité.
Libre aussi de mourir en luttant contre ces gens qui prétendaient appartenir à une race supérieure. Une race autorisée à persécuter tout homme qu'ils considèrent de race différente.
Libre enfin de mourir en sauvant cet africain dont il ne connaissait même pas le nom.
- Qui sait ! ... on est peut-être en train de créer le contact avec De Gaulle et ses hommes.
Des mois après l'armistice, nous n'étions encore que des petits grains de sable isolés. Mais ces milliers de petits grains de sable pouvaient enrayer la machine nazie.
ET TOUT LE MONDE TENTAIT DE S' INTERCONNECTER, TOUT EN SE CACHANT PAR SÉCURITÉ.
A mes yeux, la chose la plus absurde de cette guerre était qu'à la place de s'unir, les français s'étaient divisés.
A mes yeux, la chose la plus absurde de cette guerre était qu'à la place de s'unir, les Français s'étaient divisés.
Le racisme, c'est prétendre que l'espèce humaine est divisée en plusieurs races et que des populations sont supérieures à d'autres. Cette idéologie provoque hostilité, stigmatisation et discrimination.