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4,31

sur 5068 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Un livre qui a dû être très long à écrire, demander un grand travail, de nombreuses connaissances... mais pour moi la magie n'a pas du tout fonctionné.
Il y a des paragraphes complets en latin, des locutions latines par-ci, par-là, quelques mots éparses, parfois d'autres langues comme l'allemand... j'ai tout simplement sauté ces passages vu que je ne parle que le français. le livre reste compréhensible, mais je suis restée sur le côté, je n'ai pas pu sauter dans le train du livre, entres autres, à cause de cela. Il y a avait aussi de nombreux mots que je ne connaissais pas (pourtant j'aime apprendre des mots, mais là il y en avait trop) ce qui rendait la lecture encore plus chaotique. Je l'ai trouvé assez ardu et désagréable à lire.
L'environnement est complétement médiéval, une période qui ne m'intéresse pas vraiment.
Des informations sur l'auteur, par l'auteur sont données à la fin du livre, ce qui m'a permis de mieux comprendre pourquoi ce livre était ce qu'il était. Visiblement Umberto Eco était un universitaire spécialisé dans le domaine médiéval, il baignait dedans et était plus connecté à cette période qu'à celle contemporaine actuelle, cela devait lui sembler naturel, évident, de dépeindre un monde médiéval et de passer d'une langue à l'autre... c'est pas mon cas et je garde de ce livre la nette impression d'être passée à côté de lui.
L'idée du roman policier médiéval était originale et l'intrigue policière est très bien ficelée.
Il y a de très longues descriptions qui m'ont clairement ennuyées.
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Me voilà très ennuyée ou plutôt frustrée d'être passée à côté de ce monument de la littérature italienne. Je me fourvoyais complètement sur son contenu qui m'a...ennuyée. Oui j'ose dire ça de ce très grand roman. 750 pages constituées de deux histoires : une intrigue policière et l'autre faite de très longs discours religieux. Je partage mon ressenti pour avertir les lecteurs qui pourraient s'aventurer ici afin qu'ils revoient leurs attentes vis à vis de cette Oeuvre.

Avant d'ouvrir les vannes de la frustration, abordons d'abord les points positifs :
• L'auteur a une réflexion très pertinente sur les extrémistes religieux qui sont prêts à tout pour défendre leurs croyances et ce qu'ils pensent être Vrai. Sur le fond, le discours d'Umberto Eco est brillant et pourrait être transposé à notre société actuelle.
• le questionnement en profondeur sur l'absence de vérité absolue. Chacun a SA propre perception de la vérité.
• La finesse de l'enquête policière et la résolution des énigmes.

Maintenant rentrons dans le vif du sujet : ce qui s'est mal passé pour moi :
• Trop de discours théologiques à mon goût pour débattre… si le Christ avait fait voeu de pauvreté.
• Peu d'explications sur les différents ordres religieux (Franciscains, Bénédictins, Dominicains) ce qui aurait été utile pour mieux comprendre les échanges quand on est novice en la matière.
• Quantité de références à des manuscrits anciens, saints et ecclésiastiques, à vous en faire perdre le fil.
• Énormément de citations en latin non traduites qui donnent au choix : un certain charme ou une forme d'élitisme. L'auteur précise dans la préface qu'il a fait des coupes dans cette version. Je n'ose même pas imaginer ce que ça donnait avant.
• Des d'énumérations à rallonge dont je n'ai pas bien perçu l'intérêt. Par exemple, l'auteur cite une litanie de termes pour désigner des vagabonds : besaciers, fieffés coquin, etc. ...sur près d'une page !
• Une multitude de mots inconnus au bataillon (qui peut me donner la définition de porrectus ou torculus ?!). Autant vous dire qu'en plus de mes dizaines d'heures de lecture pour venir à bout des 750 pages, j'en ai passé quelques autres à faire des recherches.

Vous voilà avertis chers lecteurs. Ceci n'est que mon humble avis et peut-être qu'un jour je tenterai de le lire avec une approche différente.
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J'ai lu ce livre dans le cadre du challenge Challenge Livra'deux pour Pal'addict *6*. Il fait parti des trois livres que ma binômette Nymou du blog Rossignol Livresque m'a proposé.
J'ai choisi ce livre pour plusieurs raisons:
-cela faisait très longtemps que j'avais envie de le lire
-j'avais adoré le film
-ma binômette Nymou l'avait également dans sa PAL et j'ai failli le lui proposer pour ce challenge et j'avais envie de lui donner mon avis dessus.
Je devais donc en terminer la lecture et écrire ma chronique avant le 31 octobre! Pari gagné!

Par contre, ça n'a pas été une lecture de tout repos. Il était long et complexe.
J'ai été drôlement déçue. Je ne m'attendais pas du tout à ça. Étant classé dans le genre policier historique, je pensais naïvement que l'historique serait une toile de fond et que l'enquête policière prendrait la place la plus importante. Finalement, ça été l'inverse.
Le côté investigation y est plus ou moins ténu.
Pour moi, c'était plus un traité sur la religion, sa philosophie et ses différents ordres au XIVème siècle qu'une enquête policière. Et ce point prenait pas loin de 90% de la plupart des chapitres.
Je me suis atrocement ennuyée dans ce livre. Je suis soulagée que ce soit terminé.

Alors bien sûr, j'ai adoré certains passages: chaque fois que les protagonistes entrent et découvrent un peu plus la bibliothèque, tous les moments ayant un rapport direct avec l'enquête ou avec la résolution d'une énigme, certaines explications scientifiques que j'ai trouvé super intéressantes, une fin prenante et angoissante. C'est pour tout cela que je suis arrivée au bout et que j'ai persisté dans ma lecture.
Malheureusement, ces passages étaient trop peu nombreux pour me rendre ce livre plaisant.
Je suis, malgré tout, contente de l'avoir lu et surtout terminé parce que j'ai failli plus d'une fois abandonner.

Bref, je n'ai pas aimé et ça m'attriste parce que j'ai adoré et j'adore toujours le film. Ça ne m'arrive pas souvent, mais c'est bien la première fois que j'affirme haut et fort que j'ai nettement préféré le film au livre.
J'aurai bien aimé pouvoir faire une chronique positive, j'en suis incapable. Donc désolée, Nymou, ce n'est pas mon avis qui te donnera envie de sortir ce pavé de ta PAL!
Lien : http://psylook.kimengumi.fr/..
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Je trouve ce roman relativement dur à lire pourtant j'apprécie le latin en ayant fait durant mes années du secondaire mais malgré ça, j'ai du avoir à côté de moi un dictionnaire pour m'aider car ce roman aurait pu être entièrement en latin que j'aurais quand même tenté de le lire.

Ce que j'ai eu aussi beaucoup de mal à comprendre et c'est surement du à l'enseignement laïc que j'ai reçu, je n'ai pas compris le titre des chapitres « Matines, complies » etc. pour moi je croyais que c'était comme ça qu'on appelait les heures à l'époque où se déroule le livre mais ce n'était pas ça, c'est les heures des différentes prières dans les monastères, au moins ce livre m'aura appris quelque chose d'autre qu'un mal de tête dès que je commence un chapitre.

J'ai souvent eu envie de l'arrêter mais vu que je le lisais pour un challenge, j'ai tenu bon, enfin, parfois je sautais des passages (sincèrement les passages en latin était à la fin relativement lourd à lire et ça me prenait plus de temps à essayer de les traduire que de lire le livre).

Peut être que le film est moins lourd, je serais bien tentée par le voir en plus c'est avec Sean Connery !
Lien : http://sayyadina.over-blog.c..
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Je ne comprends pas du tout ce que tout le monde trouve à ce roman. L'auteur ne fait que digresser, philosopher. On dirait qu'il sort un livre d'histoire de la chrétienté et qu'à chaque chapitre il y colle quelque chose. Ce n'est que de la confiture étalée sur une tartine... et que je te montre mon latin et que je te montre comment je maîtrise le sujet des hérétiques. Historique peut-être mais la part de roman en est devenue insignifiante, ce qui est vraiment dommage puisque l'intrigue elle-même est bien ficelée et intéressante.
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Poussif. Quelques (trop) rares bons moments. Un roman où l'érudition nuit fâcheusement à l'action. Alors que l'adaptation cinématographique d'Annaud est épatante.
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Ce livre est l'un des rares exemples où l'adaptation cinématographique est largement meilleure que l'écrit original. Que ce livre est pénible à lire ! Tous ces mots latin, ces innombrables digressions sur la théologie et les conflits entre l'Eglise catholique et les États, c'est tout bonnement insupportable ! Personnellement, je n'ai jamais rien compris à ces luttes au Moyen-Âge entre ordres religieux eux-mêmes et entre représentants de la religion et représentants politiques et l'auteur a beau manifestement prendre du plaisir à nous les partager, je n'adhère pas et n'y ai toujours rien compris à la fin de la lecture de ce pavé. Seule l'enquête policière a un intérêt. Et encore, on peut être réfractaire à Guillaume, ce moine omnipotent et omniscient. Je sais que ce livre a gagné des prix et était considéré comme un chef-d'oeuvre dans les années 1980. En 2023, autant le film garde toute sa place dans les chefs-d'oeuvre, quant on peut reléguer ce livre soit-disant policier ( mais en fait plutôt un livre historique) aux oubliettes.
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Ce livre nous plonge dans une abbaye en 1327, au coeur des moines, au coeur d'une enquête sur des meurtres perpétré sur des moines, par des moines ?
Bien que l'enquête soit très bien ficelée, on se doute tout de même assez tôt de qui est l'assassin, le pourquoi reste à découvrir.
Pourquoi ce livre ne m'a tellement plu ? Les descriptions à rallonge, les passages en latin (non traduits ! qui parle le latin ???? une annexe aurait appréciée !), les histoires d'hérésie, d'inquisition... J'avoue ça ne m'a pas emballé...
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Italie, 1968, un narrateur évoque la possession d'un manuscrit écrit plusieurs siècles auparavant par un certain Adso de Melk ; celui-ci y relate des évènements de 1327 auxquels il prit part alors que, novice chez les moines bénédictins, il devint le secrétaire du moine franciscain Guillaume de Baskerville. A peine arrivés dans l'abbaye où doit se dérouler une entrevue de médiation entre deux confréries de moines qui ne reconnaissent pas l'autorité d'un même chef de l'église, ils sont mandatés pas l'abbé pour trouver la cause de la mort du jeune aide-bibliothécaire qui vient d'être retrouvé dans le précipice que surplombe l'Edifice, un très ancien bâtiment qui abrite la cuisine, le scriptorium et enfin la bibliothèque dans l'étage supérieur mais où personne n'est admis à pénétrer, exception faite des deux bibliothécaires : le responsable et son aide. Bientôt, d'autres cadavres sont retrouvés, sans que Guillaume réussisse à deviner l'identité du ou des coupables... si seulement la bibliothèque pouvait livrer son secret !

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Lien : http://lecturesencontrepoint..
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J'ai lu ce classique pour mon cours de français sur thème du rire. Je suis assez contente car je sais que je ne l''aurais pas lu si cela n'avait pas été une lecture scolaire. Pour être honnête, je n'ai pas du tout aimé ce roman. Je n'ai pas vu le rapport avec le rire. Je ne m'attendais à rien de tout de cette lecture donc je ne suis pas vraiment déçue.
Lien : http://leschroniquesdemilie...
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