Trop historique et politique on s'y perd, la romance amoureuse ne prend que 10 % de l'histoire, j'ai abandonné à la page 299- Ceci malgré les éloges des autres babéliotes j'etais épuisée par toutes ces references historico-politiques
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Indéniablement séduit par le récit historique mêlé au récit romanesque, j'ai plongé avec intérêt dans cette Roumanie coincée entre le nazisme d'Hitler et le communisme de Staline.
Au départ, l'aspect historique m'a davantage plu que la romance entre Eugénia et l'écrivain juif. Mais très vite, je me suis perdu dans les changements de gouvernements, les tueries entre bandes rivales et le comportement ambiguë des personnages politiques, jusqu'à ne plus rien y comprendre. Mieux vaut lire Wikipédia sur l'Histoire de la Roumanie...
Je me suis alors tourné vers la romance amoureuse, dont les relations ambiguës auraient pu être passionnantes. Malheureusement, elles passent très vite au second plan. Alors, vers la page 200, j'ai abandonné, à regret, car le style d'écriture est agréable. Les trop nombreux noms propres roumains, imprononçables pour un lecteur français moyen, sont venus à bout de mon assiduité...
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