Le Pavillon des combattantes

Mon ressenti sur ce roman va être un peu à contre-courant de la plupart des avis élogieux que j'ai pu lire ou entendre.
En effet, même si ma lecture a été aisée, je n'ai pas vraiment accroché avec ce roman, qui contient pour moi trop de descriptions médicales au détriment du "reste". Même si ces scènes médicales sont nécessaires, permettant d'ancrer le récit dans le contexte sanitaire de cette année 1918, où l'Irlande est frappée par l'épidémie de grippe, les moments en dehors de la zone médicale ont été pour moi trop peu nombreux et c'est vraiment dommage car ils étaient à chaque fois intéressants, nous permettant de mieux appréhender le contexte historique et les enjeux politiques et sociaux traversés par l'Irlande.
Une lecture en demi-teinte donc : un contexte passionnant et des personnages attachants, tant principaux que secondaires, mais un peu décevante, tant j'aurai apprécié un meilleur équilibre entre passages médicaux et "scènes de vie".

Je ressors enchantée de cette lecture qui donne à nous retrouver en Irlande en 1918 dans un hôpital de Dublin où la grippe fait des ravages. C'est Julia qui nous entraîne avec elle est ses patientes enceintes et malades. Avec force de détail et sensibilité, l'autrice nous entraîne dans les naissances mais aussi la mort. Son héroïne fête ses trente ans et au milieu de ce chaos prend le temps de dresser le bilan de sa vie. Un livre fort, puissant pour développer de nombreuses thématiques. Je recommande.

Trois jours en compagnie de Julia, infirmière gérant en pleine épidémie de grippe durant l'année 1918, des femmes enceintes infectées par la maladie.
Aidée par une jeune orpheline, elle va essayer de soulager ses patientes, mettre au monde leur progéniture et renaitre elle même par les rencontres qu'elle fera lors de ces trois jours.
Un roman puissant, assez angoissant.

Mon avis 🤓 : ⭐️⭐️⭐️ / 5

C'est le cul entre deux chaises que je ressors de cette lecture.

Autant j'ai adoré le contexte historique. On se retrouve dans un hôpital de Dublin au début du XXe siècle où la grippe espagnole fait rage. J'ai adoré le personnage de Julia Power, une jeune infirmière qui se bat chaque jour, avec le peu de moyens qu'on lui donne, pour sauver un maximum de femmes et de les accoucher du mieux qu'elle le peut.
J'ai adoré chaque patiente de ce service de maternité. Elles sont toutes différentes mais sont ici pour la même raison : elles sont enceintes et malades.

Malheureusement j'ai trouvé que le récit était très long au début et trop descriptif par moment. Puis d'un coup tout s'est accéléré, allant trop vite sur des moments importants ! Il m'a même du coup manqué quelques pages pour mieux conclure l'histoire.

C'est donc un avis mitigé pour ce roman.

As-tu lu ce livre?
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Lecture mitigée.

Si j'ai beaucoup aimé la force et le courage du personnage principal, Julia Power, infirmière en service de gynécologie-obstétrique, j'ai nettement moins accroché avec l'histoire.

L'ambiance est très particulière : nous sommes en pleine pandémie de grippe espagnole, en 1918 à Dublin. de nombreux passages m'ont fait penser à la période anxiogène du Covid que l'on a vécu.

Dans ce roman, on suit le quotidien de Julia, où le rythme est dicté par le flux des patientes qui intègrent son service, plus ou moins en bonne santé. de nombreux sujets sont mis en lumière : le travail incroyable des infirmières, en manque cruel de moyens à l'hôpital, la rébellion qui gronde dans le pays, les séquelles de la Grande Guerre sur la population, la pauvreté et les affreuses conditions des orphelinats…

Ce roman aurait pu être intéressant mais selon moi c'était décousu. Pendant les trois quarts du roman l'histoire tournait au ralenti (malgré le quotidien rempli de Julia) et puis à la fin tout s'accélère trop brusquement, et trop grossièrement. J'ai eu une pointe de déception.

C'est un roman qui met en lumière l'incroyable dévouement du personnel soignant mais qui malheureusement me laisse sur ma faim…
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J'ai lu le pavillon des combattantes dans le cadre du Grand Prix des Lecteurs Pocket et malheureusement je ressors mitigée de ma lecture. Bien que le sujet soit bien traité et qu'on ait vraiment l'impression de se retrouver aux côtés de Julia, je n'ai pas été passionnée par l'histoire. J'ai trouvé le temps long. Il y a beaucoup de détails sur les soins apportés par l'infirmière aux patientes ainsi que sur les accouchements et certains passages ont été difficiles à lire. Je pense que les lecteurs seront tous touchés d'une manière différente selon leur sensibilité. Je reconnais que ce roman a beaucoup de qualités mais il n'était tout simplement pas fait pour moi. Si vous êtes enceinte alors je vous déconseille fortement de lire ce roman. Autrement je vous invite à vous faire votre propre avis sur ce roman si l'histoire vous attire.

Il me tentait dès sa sortie mais vu la thématique, je voulais attendre qu'on soit un peu sorti de la crise sanitaire actuelle. En effet l'histoire se déroule en 1916, en pleine période de grippe espagnole, en Irlande.
Julia Power, infirmière, se retrouve à la tête du service des femmes enceintes atteintes de la grippe espagnole. Elle est aidée par une jeune orpheline, Bridie.
Les naissances s'enchainent, dans le bonheur et le malheur.
Chaque cas est décrit, très bien décrit même. En fait, trop à mon goût.
J'ai travaillé dans le secteur paramédical pendant dix ans et ce n'est pas vraiment le genre de choses que je souhaite lire. Ce n'est que mon avis personnel, mais entre l'épidémie et les descriptions d'accouchement, il y a un siècle ne l'oublions pas, je n'ai pas pu m'évader comme me le permettent certaines lectures.
Du coup, je n'ai pas vraiment adhéré aux trois quarts du livre.
Heureusement, le dernier chapitre m'a transportée, il est vraiment très émouvant.
A la fin de la lecture, j'ai tout de même un ressenti très mitigé.
Heureusement que le livre est court et qu'il se lit facilement.

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Le roman se déroule dans un service de maternité-maladies infectieuses et il y est évoqué les moyens, ou plutôt l'absence de moyens, mis à disposition tant pour soigner la grippe espagnole que pour accompagner les femmes et les soignant(e)s dans le cadre de grossesses pathologiques (moyens de soulager, méthodes employées pour les accouchements difficiles... ).

Les personnages y sont attachants et font preuve d'une grande combativité, dans un contexte historique fragilisé.

Sur la forme du roman j'ai été plus dérangée que certains autres lecteurs par l'absence de chapitres. le découpage en 4 parties du roman ne m'a en effet pas toujours permis une lecture fluide, et s'est avéré, pour moi, contraignant au moment où il m'était nécessaire de mettre ma lecture en pause.

C'est donc d'une lecture en demie teinte que je ressors, mais pour autant il ne s'agit en rien d'une déception.

Un roman qui nous plonge dans l'Irlande du début du 20ème siècle en pleine épidémie de Grippe Espagnole. Nous allons suivre Julia, une jeune infirmière en charge de femmes enceintes atteintes par le virus dans une maternité.

L'histoire raconte la condition des femmes mais aussi les outils rudimentaires de l'époque en médecine. Les accouchements étaient très difficiles.

Je dirais que ce livre n'est pas à mettre dans toutes les mains. L'intime est une partie intégrante de l'histoire. Certaines descriptions sont parfois assez choquantes. L'auteure n'épargne aucun détail.

Un huit clos qui se déroule durant 3 jours éprouvants. Julia et Bridie, son aide qui ne connaît rien au monde médical, vont faire preuve d'un sang-froid exemplaire pour sauver les femmes enceintes et leurs bébés. Une maternité dans laquelle la vie et la mort se côtoient et où les combattantes sont ces femmes qui enfantent dans la douleur. On est confronté à la dure réalité de l'époque. Âmes sensibles s'abstenir.