Vernon Subutex, tome 1

Voici un roman que je me devais de lire étant donné les critiques élogieuses. Malheureusement je suis passée complètement à côté. J'y ai rencontré un nombre important de personnages à la dérive je ne me suis jamais attachée à Vernon Subutex.
Je reste perplexe.

L 'écriture de Virginie Despentes ne doit pas être ma came.
Je me suis ennuyée à en mourir en lisant l'histoire d'un mec ordinaire paumé. Un histoire sans queue ni tête.
Je n'ai pas été choquée par le vocabulaire emprunté dans le récit, c'est crash, c'est sexe, c'est roots.
Je n'ai pas été touchée par l'histoire du personnage principal et de tous ceux qui gravitent autour de lui.
Je ne déconseille pas ce livre, chacun a le droit de se faire sa propre opinion.
La mienne est que je ne renouvèlerai pas l'expérience de la saga ni des autres écrits de l'autrice.

Bon... Eh bien, arrivée au trois quarts de cet ouvrage, j'estime avoir fait le job...
Je me refuse à être la "psychanalyste" payante, de surcroît (!), de madame Despentes.
Et à perdre un temps précieux pour des lectures plus enrichissantes...
Comment peut-on lire l'apologie de ce texte ?
Snobisme ? Je ne m'émerveillerai pas plus devant ce lamentable"héros" que devant ces expositions où les bobos commentent, avec moult éloges, une rondelle de salami collée à côté d'une pantoufle lors de vernissages qui rameutent le tout-Paris...
Merci madame Despentes.
Soulagée de n'avoir commandé que le premier opus d'une improbable trilogie...

Trop mode, trop toc, trop flashy pour être honnête. Despente est une autrice faussement provoc, utilisant le féminisme comme un objet marketing. C'est juste un produit , fabriqué pour être vendu, et vendu avec une puissance que je préfère ne pas commenter. Pas un coup de coeur mais un coup de gueule. Despente, une Punk? Grande confusion. Si vous voulez de la littérature féministe engagée et puissante, rendez-vous chez Margaret Atwood !

Cette litterature là n est vraiment pas mon truc !J avais lu king kong theory du même auteurE et j avais trouvé l ecriture un peu violente même si le contenu avait sa part de vérité. J ai retenté un livre de Virginie Despentes, car on me l'a conseillé et prêté mais je me suis arrêtée à 180 pages. Les personnages sont détestables ( le mot est peut-être un peu fort) mais ils représentent tout ce que je déteste donc difficile de s y attacher :
Xavier qui fait ses courses parce que sinon ça femme va encore gueuler ( l image de la femme dans le rôle de la mégère est un peu agaçante) et qui critique toutes les personnes qu il voit . Raciste qui plus est.

Vernon qui se fait héberger par une amie et qui la vole. Là encore cette amie qui passe pour une maniaque qui passe son temps à faire des critiques et des remarques.

Les femmes sont vu comme des objets sexuels, les hommes sont tous dans une course à la virilité. le vocabulaire employée pour parler de sexualité entre 2 personnes est hyper violent.

Bref sortant de ma lecture d avant que j ai adoré ( les couilles sur la table), forcément le changement est rude.

Je pensais apprécier et je m'en faisais une super idée depuis le temps que je voulais le lire, et voilà que je tombe de haut....

C'est au bout de 129 pages que je décide d'abandonner le roman ( ce qui ne me ressemble pas tellement d'habitude ), car avec moi ça ne le fait pas.
L'écriture contemporaine très trash et crue dont fait preuve Virginie Despentes n'est pas pour me déplaire. Un monde gris, glauque où chacun a ses problèmes et ses addictions ne me dérange pas mais ici, je ne trouve aucun réél lien commun dans toute cette myriade de personnages ( à part leurs dérives et leurs autodestructions... ), où donc est l'intrigue / le fil rouge de ce roman ?

Je suis déçue de passer à côté mais j'ai clairement l'impression que continuer à lire serait une perte de temps.

Stop au 1er, ascenseur en panne ... la vulgarité, le langage cru, la drogue et la psychologie bobo citadine ne masquent pas l'absence totale d'histoire. C'est totalement creux, sans intérêt, rien d'autre qu'un alignement de mots vraiment insipide. Chacun ses goûts, je déconseille ce navet inutilisable dans les toilettes car il ne sert à rien de s'essuyer le fondement avec un étron.

Ça avait bien commencé pourtant ! Je m'attache au personnage principal des les premières pages, j'ai vite envie d'en savoir plus. Mais au fur et à mesure de la lecture, c'est une succession de rencontres, sans intérêt. Ça devient cru et vulgaire, sans aucune finesse.
J'ai voulu le finir en espérant changer d'avis, mais non. Je ne lirai pas le 2eme.

Le titre d'abord, original, et l'auteure ensuite, avec son aura médiatique, m'ont accroché et donné envie de lire ce livre.
J'ai tenu jusqu'au tiers du roman, en essayant d'avancer en tournant les pages pour trouver le moment où il va se passer quelque chose, mais non.
J'arrête donc.
Mal écrit, des descriptions sans fin, des apartés inutiles, des logorrhées creuses et ineptes, je déteste.
Tous les personnages ne sont que des caricatures. On dirait que l'auteure a sélectionné tous les poncifs de la sociétés pour les répartir dans ses personnages qui sont tous très bas en couleurs, aigris, veules, et franchement antipathiques.
Le style est sans intérêt, inutilement familier. Il ne se passe rien, ou si peu.
Bref je ne comprends pas l'engouement pour cette auteure

Virginie Despentes explore des situations extrêmes et des vies de sujets à la dérive, en difficulté avec la société. Son bouquin c'est un imbroglio de personnages qui n'ont pas grand chose en commun, à part peut être le fait d'être à la marge et déprimés, ces personnages manquent de corps , de vie, de crédibilité. Pas ou peu de fil narratif à proprement parler, une errance, des gens qui se croisent, qui se méfient les uns des autres, qui s'aiment parfois ( c'est toujours très romantique😁 ) et qui s'évitent...
Je ne vois pas où Virginie Despentes cherche à nous emmener. Cette errance, ok, mais pourquoi? Où est l'intrigue ? Et le style , il n'y en a pas .
Ici tout est moche , glauque, délétère, malsain, sordide. C'est creux.
Une fausse valeur littéraire.