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Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Au moins, on ne va pas accuser la 4ème de couverture de mentir : elle annonce une histoire d'amour et on a bien droit à une histoire d'amour. Dramatique puisqu'elle se tient en 1944 à Paris, alors que l'occupant s'agite, fébrile à la perspective d'un débarquement annoncé. La résistance décide d'envoyer la jeune Marianne, encore presque vierge dans les bras d'un officier du renseignement allemand amateur de femmes... L'occasion d'un coup de projecteur sur ces femmes qui ont donné leur corps pour leur pays sans forcément en obtenir une grosse reconnaissance. Bien sûr, rien ne se passe comme prévu, l'amour s'en mêle et complique sérieusement les choses... Mais j'en espérais un peu plus, parce que le contexte historique se prête à approfondissement tant au niveau de la psychologie des personnages que des enjeux complexes des deux camps. Bon, l'histoire donne matière à un roman fluide, qui se lit vite. Mais, à aucun moment on n'a l'impression d'apprendre quelque chose ou de faire face à un point de vue inédit. Ce qui laisse finalement une vague impression d'inutilité. En tout cas, moi qui ai lu un grand nombre de romans sur la période, je suis restée sur ma faim et en plus, je n'ai ressenti que peu d'empathie à l'égard des personnages. Bref. A réserver aux grands amateurs de romans d'amour et de passions impossibles, ils y trouveront leur compte.
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J'ai lu ce roman en 2 trajets de train... C'est une gentille histoire qui se passe surtout à la fin de l'occupation à Paris et beaucoup au Lutetia. Je suis restée sur ma faim... C'est un jeu mièvre, pas beaucoup d'action... Bref ça se laisse lire mais ce n'est pas très palpitant.. La gentille résistante qui tombe amoureuse de l'officier allemand pas vraiment méchant... Plutôt à classer dans la catégorie "romance" que littérature.
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Un gros écueil, la première partie du roman (une quarantaine de pages) où j'ai été a deux doigts d'abandonner la lecture. Ensuite l'auteure, nous entraîne dans le récit de sa vie d'une grand-mère à son petit-fils allemand. L'Histoire : une (pseudo) résistance française presque vierge peut-elle aimer un (gentil) officier allemand ivrogne, la clope au bec, grand consommateur de prostitués, tout en espionnant sa sacoche ? Au final, un roman à l'eau de rose, érotique et évidemment peu crédible. Très loin de Lucie Aubrac ou consoeurs.
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Ce qui ne nous tue pas est un roman qui avait tout pour me plaire. le résumé tentateur et les critiques élogieuses m'avaient convaincue de le rajouter à ma liste d'envie. C'est lors d'une de mes ballades à la médiathèque que je suis tombée dessus. Je me suis empressée de l'emprunter et de le lire.

En 1944, Paris est envahi par les soldats Allemands. Les rationnements ne semble pas concerner ces énergumènes qui profite à tout va de ce que la vie dans la capitale française peut offrir comme plaisir. C'est à dire la bonne chaire et la bonne nourriture.

Maximilian von Wreden, officier du Renseignement allemand, est un habitué de ces plaisirs. Chaque soir une nouvelle femme réchauffe son lit à l'hôtel de Lutetia, là où il est logé et sa panse est remplie des meilleurs mets Français.

Sa rencontre impromptue avec la belle Marianne, étudiante en philosophie à l'université de la Sorbonne va changer les habitudes de l'officier. Il va se vouer de passion pour cette jeune femme dont il ne connaît que très peu de chose. Et pour cause, Marianne travaille pour un groupe de résistants français. Sa mission est de conquérir le coeur et le corps de von Wreden dans le but de lui soutirer des informations qui pourraient être utiles au réseau.

Le temps passé entre les bras de Maximilian va bouleverser les certitudes de Marianne. Quand il n'est pas en costume, il est si facile d'oublier que Max ne peut pas être l'homme qu'elle pourrait aimer.

Si l'histoire avait tout pour être intéressante, je l'ai trouvée d'une platitude sans fin. La relation entre Maximilian et Marianne m'a semblée creuse et même par moment insipide. le personnage de Marianne aurait pu être attachant si il n'était pas aussi bipolaire. Je comprends bien que nous sommes en temps de guerre et qu'elle fait partie de la résistance mais ses incertitudes et certitudes enchaînées m'ont tout d'abord étonnée puis exaspérée.

Ce roman est au final basé uniquement sur la romance. On n'en apprends que très peu sur le travail de Maximilian dans les renseignements ou sur les pensées des soldats Allemands, non nazis. J'aurais appréciée que la partie historique de l'histoire soit plus approfondie.

Au final, aucune surprise pendant cette lecture monotone. le résumé et les premières pages suffisent à connaître le dénouement qui auraient pu être touchant si il n'était pas couru d'avance.

Je ressors très déçue de ma lecture de Ce qui ne nous tue pas. Je m'attendais à une histoire originale qui en définitive ne laisse aucune place à la découverte ou à l'émotion.
Lien : http://lepuydeslivres.blogsp..
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