Depuis la mort de sa mère, Christophe, 12 ans, vit à Rennes avec sa grand-mère. Lorsque celle-ci tombe malade, Christophe est envoyé en Algérie auprès de son père, capitaine du port d'Oran. le jeune garçon doit alors se familiariser avec un pays où sévit, depuis plusieurs années, une guerre menée pour l'indépendance algérienne. Avec ses yeux d'enfant, il découvre une situation tendue et complexe, dans laquelle personne n'est ni totalement coupable, ni totalement innocent.
L'avis d'Aurélie, 16 ans : Ce roman retrace une période de la vie d'un adolescent français, qui a rejoint son père à Oran. Accompagné d'Ahmed, de José et d'Aïcha, Christophe essaye de comprendre les raisons des événements de la guerre d'Algérie. Poignant lors des scènes de rue, ce livre est aussi triste lors des scènes de retrouvailles ou d'adieux.
L'avis de rédaction : Un beau roman qui nous plonge dans des événements historiques rarement abordés dans la littérature jeunesse. En faisant le choix de décrire ces événements à travers le regard naïf d'un enfant, l'auteur évite de prendre parti, pour se concentrer sur une description juste et poignante de ce qu'a pu être l'ambiance de cette époque.
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La grand-mère de Christophe vient de faire un malaise, elle est à l'hôpital. Il va devoir rejoindre son père, à Oran en Algérie, où la guerre attire autant qu'elle terrorise.
Un beau roman qui permet de faire découvrir la vie en Algérie dans les années soixante et de vivre les événements de l'intérieur.
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La grand-mère de Christophe vient de faire un malaise, elle est à l'hôpital. Il va devoir rejoindre son père, à Oran en Algérie, où la guerre attire autant qu'elle terrorise.
Un beau roman qui permet de faire découvrir la vie en Algérie dans les années soixante et de vivre les événements de l'intérieur.
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Je n'ai pas fini de lire ce livre, je n'arrive pas à m'intégrer dans la lecture. Je conseille ce livre a ceux qui sont passionner d'histoire.
Anthony 2ASSP
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La fin de la guerre d'Algérie et les conséquences des accords d'Evian vus par Christophe, un adolescent de l'époque. Un des petits romans de la mémoire édités par Nathan. Excellent pour sensibiliser les jeunes à l'histoire.
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Ces grilles rappelaient constamment aux passagers des bus que
les rues d'Oran étaient meurtrières, et qu'il fallait être en cage pour
être protégé. Le jeune garçon ne se sentait libre que sur les trois
cents mètres qu'il devait parcourir à pied de la place d'Armes au
lycée Lamoricière, par le boulevard Gallieni. Son père estimait le
trajet sans danger parce que, aussi bien devant l'hôtel Martinez
qu'à l'entrée de la Banque d'Algérie, des militaires casqués,
pistolet-mitrailleur au côté, montaient la garde à l'abri de sacs de sable.
Au début, Christophe avait été impressionné, puis rapidement, leur
présence lui avait paru naturelle. Ils étaient jeunes et ils plaisantaient
entre eux, surtout lorsqu'une jeune fille passait à proximité.