AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,93

sur 538 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Un angle mort, c'est la zone inaccessible au champ de vision d'un conducteur de véhicule qui ne lui permet pas de voir une partie de son environnement.

Pourtant, le danger peut y être tapi mais nous ne le voyons pas.

On peut dire que Catherine Clare ne possédait pas de rétroviseurs pour voir le danger lui tomber dessus.

Oh, il y eu bien quelques coups de klaxon timide, des appels de phares, mais elle vit les signes un peu trop tard et bardaf, ce fut l'embardée… Une hache plantée dans la tête, ça ne pardonne pas.

Non, non, je ne spolie rien du tout, dès les premières pages, le ton est donné, le crime a eu lieu, mais au contraire de la série Columbo, nous n'avons pas assisté à son déroulement. Pourtant, le nom du coupable est d'une criante évidence.

C'est ensuite que l'auteur va faire une marche arrière afin de nous présenter l'affaire sous son véritable jour, sans angles morts, parce que je peux vous dire que j'ai tout vu venir et de loin !

Catherine, elle, était une moins grande visionnaire que moi, mais c'est souvent les personnes qui sont plongés dedans qui ne voient rien venir, ni la température de l'eau monter…

Ce roman, les copinautes de blog que sont Dealer de Lignes et Blacknovel en avaient parlé en bien parce qu'ils l'avaient adoré, ce roman noir qui flirte avec la psychose car il met en scène George Clare, psychopathe qui le cache bien à sa famille, ses amis, ses collègues.

Sauf à nous, lecteurs/trices, car l'auteur ne nous laisse pas espérer que l'on se soit trompé sur son cas pathologique de pervers narcissique dominateur, genre prédateur pour tout qui ne va pas dans son sens, en plus d'être un peu pervers sexuel.

Niveau ambiance angoissante, je dois vous dire que j'ai connu mieux, ou pire, dans la montée de l'adrénaline et la distillation de la trouille. Un thriller psychologique, ça ? Même pas frémi !

Savoir que les impôts vont bientôt envoyer leurs feuillets à remplir me donne plus de sueurs froides que ce roman qui, par certains moments, m'a même profondément ennuyé, me faisait sauter allégrement des paragraphes et des pages.

Si les personnages sont très bien campés, si la petite ville est bien décrite, si la vie rurale est bien rendue, avec toutes ses emmerdes, j'ai détesté l'absence de tirets cadratins ou de guillemets pour délimiter les dialogues.

Je n'aime pas ce procédé qui consiste à économiser sur ces sigles ! Pour certains romans, ça passe très bien, alors qu'ici, j'ai eu une sensation d'une écriture brouillonne à laquelle je n'arrivais pas à accrocher.

La première et la dernière partie étaient, pour moi, les meilleures, celles où je n'ai pas fait des sauts de paragraphes.

La construction narrative avait du bon dans le fait de revenir en arrière, de nous présenter la même scène, mais vue sous des yeux différents, pourtant, je n'ai pas réussi à accrocher mon wagon au train et j'ai suivi en ballotage total, n'attendant qu'une seule chose : le terminer et puis basta !

Et ça me fait râler parce que j'attendais beaucoup de cette lecture et que mes deux blogueurs cités plus haut sont souvent de bons conseils lectures. L'exception confirmera la règle.

Ma deuxième lecture de l'année et bardaf, déjà une déception d'autant plus amère que je m'attendais à un coup de coeur à venir.

Lien : https://thecanniballecteur.w..
Commenter  J’apprécie          224
Le roman commence par la découverte de l'assassinat de sa femme Catherine Clare par George. le couple a acheté une veille ferme isolée quelques mois plus tôt et le lieu semble maudit, en effet quelques temps plus tôt les anciens propriétaires, les Hale, s'étaient suicidés dans le garage. le récit nous raconte donc l'histoire croisée des Clare et des fils Hale qui viennent effectuer différents travaux dans la ferme.

On s'attend donc à une histoire policière mais très vite on se rend compte que l'auteur nous dirige vers un roman noir à l'ambiance angoissante avec un soupçon d'ésotérisme sur fond de choc des cultures entre l'intelligentsia New-Yorkaise venu goûter aux plaisirs de la campagne et la population autochtone ancrée dans la tradition paysanne.

J'ai eu beaucoup de mal à entrer dans l'histoire qui sous prétexte de développement des personnages se perd, par exemple, dans des discussions entre DeBeers et George à propos de Swedenborg et de son rapport aux esprits dont on se dit que cela aura son importance dans la suite du récit puisque l'esprit de feu Mme Hale hante la maison des Clare et que DeBeers et Catherine Clare perçoivent sa présence alors que George n'y croit pas du tout. Plouf un coup dans l'eau.

Bon le côté choc des cultures alors ! Certes il est présent mais n'apporte pas grand-chose non plus à l'histoire.

Le côté angoissant est un peu plus réussi même si on est loin de @Rebecca ou de @les hauts du hurle-Vent. George est un psychopathe qu'on aime détester. Et la partie où il est prêt à tout pour garder intacte son image d'homme parfait et de professeur émérite est la partie que j'ai préféré.


Alerte spoil !

Mais ce qui m'a vraiment rebuté ce sont toutes les incohérences du récit :

Pourquoi la famille de Catherine s'oppose-t-elle à une enquête sur George alors qu'il a toujours été méprisant envers celle-ci et que Catherine a émis des doutes à plusieurs reprises sur la pertinence de son couple ?

Pourquoi alors que Catherine est morte de peur et sait pertinemment qu'elle est en danger, pourquoi raconte-t-elle à George qu'elle sait qu'il a assassiné DeBeers ?

Comment les lettres retrouvées par Franny 20 ans après le drame sont-elles toujours bien en évidence dans la maison alors qu'entre-temps la maison a été louée à de nombreuses reprises. Et comment la police sensée avoir mené une enquête approfondie pendant de nombreuses années n'a-t-elle pas simplement ouvert cette boite posée sur la commode de la chambre à la vue de tous ?

Toutes ces choses et d'autres non énumérées ci-dessus nuisent à la crédibilité du roman et j'ai trouvé celui-ci très confus. Une grande déception.

Challenge Multi-Défis
Challenge pavé
Challenge USA
Pioche dans ma PAL
Commenter  J’apprécie          140
Un couple de New-Yorkais vient s'installer dans une vieille ferme à la campagne. Il est professeur à l'université, elle s'occupe de leur petite fille de 3 ans. Mais sous l'apparence du couple parfait, un drame se dessine.

Petite déception en ce qui me concerne pour cette lecture.
J'ai trouvé que la mise en place de l'intrigue traînait vraiment trop en longueur. Alors certes, l'auteure a vraiment fouillé les personnages et tenté de créer une atmosphère particulière, y mêlant même une touche de surnaturel, mais cela ne m'a pas accrochée. Les deux premiers tiers du livre m'ont vraiment paru très (trop) longs, tant et si bien que je me suis longtemps demandé où voulait en venir l'auteure.
Heureusement, la fin du roman rachète un peu ces longueurs, avec un crescendo dans l'intrigue et une très bonne mise en perspective des mécanismes d'emprise et de domination.
Dommage que cela soit seulement arrivé trop tard pour me passionner vraiment pour ce roman.
Commenter  J’apprécie          130
Qu'on ne s'y trompe pas, cette histoire est celle d'un grand méchant. Un couple d'intellectuels vient s'installer dans une ferme marquée par une triste histoire familiale. Très vite, on se rend compte que le mari est un être violent, mauvais, égoïste et j'en passe…
Tout le talent de ce thriller psychologique est de nous faire pénétrer dans une ambiance rurale de petite ville des Etats-Unis, à travers une galerie de portraits qui se croisent. le récit conduit au tragique, mais le tragique s'intègre vachement bien dans ce quotidien ! On n'en est même plus étonné !
Une ambiance poisseuse, rance, pour une lecture vraiment réussie, j'ai aimé cette histoire et le style, même si je déplore quelques longueurs, qui m'ont fait lâcher le livre quelque temps au milieu. Quand je l'ai repris, j'ai retrouvé cette ambiance si particulière, et suis donc allée au bout !
Commenter  J’apprécie          130
Livre lu dans le cadre du Prix Elle des lycéennes 2018.

1979. George et Catherine Clare ont emménagé huit mois plus tôt dans l'ancienne ferme des Hale avec leur fillette, Franny. Les Hale se sont suicidés en laissant derrière eux trois orphelins, Eddy, Wade, et Cole. Un soir, en rentrant chez lui, George découvre sa femme assassinée.
Par la suite, Elizabeth Brundage nous fait faire un bond dans le temps pour retrouver la ferme à l'époque des Hale, un an plus tôt. On découvre les personnages, pour ensuite rencontrer George et Catherine, bien avant qu'ils n'achètent la ferme, lorsqu'ils n'étaient que deux étudiants qui venaient à peine de se rencontrer. Petit à petit, Elizabeth Brundage tisse en profondeur les portraits de tous ses personnages pour broder un récit énigmatique, ténébreux. le style est simple et clair, assez doux, malgré le thème abordé. Lentement, on oublie le début du récit et on se laisse porter par les mots délicatement bien choisis par la romancière. Mystérieux, effrayant, mais surtout hypnotisant, ce roman témoigne de la richesse de la plume de l'auteure. Un récit étonnamment agréable à lire.
Commenter  J’apprécie          120
Voici un roman étonnant et singulier. Ou peut-être est-ce juste l'impression qu'il m'a laissée. En réalité j'ai été un peu déboussolée en début de lecture, car je m'attendais à autre chose.
Un peu comme quand on se régale d'avance de manger une tarte au citron, et que finalement on se retrouve avec une mousse au chocolat. Même si on aime bien les deux, il y a une petite part de déception à ne pas avoir le dessert que l'on envisageait.
Eh bien là, je pensais mettre le nez dans un polar avec une pointe de fantômes, avec véritablement en personnage principal, une maison hantée. de quoi flirter délicieusement avec le surnaturel et se filer quelques frissons de peur en pleine nuit. Certes il y a bien un peu de surnaturel et de fantômes, mais le personnage principal n'est pas la maison. C'est ce couple pas très heureux, fondé sur un marécage de sentiments poisseux de convenances, ensuqué de mensonges, qui n'attendent qu'une bonne tempête ou une marée basse pour remonter à la surface.
Ce roman dépeint avec grande finesse la société américaine via ce couple, mais aussi ses amis, et la famille qui les avait précédés dans la fameuse maison. En résulte un roman d'atmosphère qui prend son temps, loin des thrillers palpitants qui font surgir un cadavre à chaque chapitre.
Il faut donc prendre le temps de se laisser envouter. Accepter la relation un peu malaisante des nouveaux habitants avec les enfants des anciens. Accepter de côtoyer le mari qu'on apprend à détester au fur et à mesure que la lumière se fait. Même si elle reste tamisée, avec des ombres dans les coins...
Mention spéciale au couple d'amis un peu hippy, assez riche et suffisamment sage pour vivre hors normes, dans un joyeux désordre et un amour fort qui contraste avec la pauvreté familiale de notre couple principal.
Alors, faut-il le lire ? Oui. Finalement c'est bien.
Commenter  J’apprécie          110
Dans les angles morts est un roman noir psychologique, dramatique et sociétal. Dans une ferme d'une petite ville un peu oppressante de l'état de New-York, un nouveau drame se produit. le rythme est lent et déroule la vie des personnages un à un pour finalement élucider le meurtre de Catherine, nouvelle propriétaire de la ferme des Hale, décédés peu de temps avant. Ambiance feutrée et inquiétante, sensation de maison hantée, d'esprits toujours présents.
Commenter  J’apprécie          50
Il faut le dire tout simplement : ce roman ne l'a pas fait pour moi. Non pas que ce soit un mauvais roman mais, personnellement, je n'ai pas réussi à comprendre où l'autrice voulait m'amener. A force de vouloir sortir des codes, je crois qu'elle a fini par me perdre voire par me lasser.

Première déconvenue : mon incapacité à définir le genre de ce roman. On ne peut pas dire qu'il s'agit d'un polar car il n'y a pas vraiment d'enquête (elle est réduite au minimum syndical et encore, ceci est une hyperbole). On ne peut pas non plus dire qu'il s'agit d'un thriller (bien que cela apparaît comme tel sur l'ancienne couverture du Livre de poche. Sur ma version, la mention a disparu, preuve que cette oeuvre pose problème pour son classement générique). Alors oui, certes, le crime est horrible (une femme tuée à coup de hache), l'un des personnages pourrait passer en apparence pour un serial killer mais ses agissements relevant plus de l'égocentrisme, on ne peut lui accorder finalement cette dénomination. Pour le reste, point de thriller à l'horizon. Enfin, y voir un roman noir me semble là aussi impossible car point de suspense. Elizabeth Brundage dissémine elle-même les indices sans même prendre la peine de les cacher un tant soit peu et nous amène sur la piste qu'elle souhaite nous voir suivre. Alors, au vu de la fin du roman (qui retombe comme un soufflé pour moi, en gros tout cela pour cela !), on a deux questions qui nous viennent à l'esprit : pourquoi l'auteur nous a-t-elle révélé le fin mot de l'histoire aussi rapidement ? ou alors, la fin nous dévoile-t-elle vraiment la solution de l'énigme ? Mais dans ce cas-là, quelle déception car le lecteur se sent finalement floué ! du moins fut-ce mon impression ! le sentiment de se retrouver dans l'expectative alors qu'aucune suite n'est envisageable.

Autre aspect qui ne m'a pas plu dans ce roman : des passages qui, parfois, se révèlent d'une longueur sans nom. Les considérations artistiques sur Swedenborg entre DeBeers et George se transforment en un dialogue de sourds qui dure des dizaines de pages alors qu'en une page, le lecteur a compris : l'un croit en Dieu, l'autre non ! Point barre ! Et que dirais-je du côté surnaturel de certains passages qui aurait pu prendre tout son intérêt dans l'intrigue s'il avait été exploité à fond. On aurait alors pu vraiment avoir un thriller. Mais là, rien à espérer ! Cela tourne au saupoudrage pour faire saliver le lecteur qui restera finalement sur sa faim jusqu'au bout du roman.

Pour ne pas être totalement négatif, je dois reconnaître que le côté saga familial au sein d'une bourgade déjà marquée par les drames était judicieux et aurait pu être approfondi pour donner à l'intrigue un aspect huis clos qui lui aurait apporté un peu plus de profondeur en matière d'atmosphère oppressante. Pour ma part, j'ai plus l'impression que l'autrice, en faisant passer le côté enquête de côté, a avant tout voulu peindre des portraits de personnages en proie avec leurs propres destins qu'ils ne semblent pas avoir choisi : George soumis à au regard de sa famille totalement obsédée par les apparences ; Catherine et, là encore, le poids du regard maternel lui intimant le sacrifice pour préserver l'existence de sa fille, Franny, choix qui ne sera d'ailleurs pas sans conséquence pour la fillette ; Willis, ado en révolte face à un père incarnant une justice en laquelle elle ne croit plus et qu'elle cherchera à combattre toute sa vie ; les trois frères Hale à qui le destin a fait comme unique cadeau la mort tragique de leur mère tant aimée causée par un époux infidèle et jaloux et qui vont devoir se dépêtrer avec ce lourd héritage.

Mes chouchous à moi

Sans aucun doute, c'est le trio formé par les trois frères Hale. Personnages inquiétants et dont on ignore les intentions au début du roman, on les sent peu à peu grandir et retrouver une sorte de paix intérieure au contact de Catherine, figure maternelle (voire mariale) de substitution inspirée par leur propre mère, Ella, depuis l'au-delà. Quels que soient leurs destins respectifs, on y trouve du positif pour chacun d'eux : la réalisation d'un rêve de jeunesse, la quête de l'amour enfin assouvie et l'expression d'une fraternité à toute épreuve. Les femmes également dans ce roman sont des personnages marquants. Ella, Catherine, Justine, Mary, Willis et même Franny sont des êtres qui affrontent la vie en face, sans se plaindre et sans renoncer à leurs convictions. Même si la vie ne leur fait pas de cadeaux, elles restent des femmes fortes, des femmes liées par la demeure des Hale, qui décidera du destin de chacune d'elle.

Ma tête à claques à moi

Alors je ne développerai pas, pour vous laisser le privilège de découvrir par vous-même cette petite ordure qu'est George Clare. Il incarne sans aucun doute à mes yeux tout ce que l'homme peut représenter en matière de lâcheté, de médiocrité et de fatuité. Vous n'aurez qu'une envie en le voyant se dévoiler au fil des pages : le tarter !

Au final, un roman qui ne donne pas lieu, pour moi, à un consensus : soit on aime, soit on n'aime pas. Pour ma part, c'est plutôt la deuxième option qui l'a emporté. Malgré certains aspects intéressants, je suis ressorti mi-figue mi-raisin et pas vraiment convaincu. N'hésitez, cependant, pas à vous faire votre propre avis.
Lien : https://mespetitsplaisirsamo..
Commenter  J’apprécie          50
Lecture au rythme étrange...j'ai lu un tiers du livre, lecture lente...me demandant si j'allais poursuivre mais l'écriture est belle. J'ai laissé reposer 2-3 mois et j'ai repris et avec plus de plaisir et moins de lenteur.
Roman choral autour de femmes toutes deux dessinées comme victimes d'un homme... avec une ferme perdue comme paysage, comme si cette ferme allait de paire avec les destins féminins tragique.
Je reste perplexe, le texte est beau, l'histoire touche mais c'est comme si tout était flouté.
Commenter  J’apprécie          50
Nous sommes dans une Amérique qui se transforme rapidement. Les fermes séculaires ne sont plus rentables et les paysans cèdent la place à de nouveaux arrivants, des citadins qui ne connaissent rien aux moeurs de la campagne, ni de son histoire.
Les Hale, fermiers de pères en fils depuis des décennies ne peuvent plus tourner et leurs vaches sont saisies. le couple se suicide, laissant trois jeunes à l'aube de l'âge adulte. Les Clare, monsieur, madame et leur petite fille vont prendre leur place.
Or quelques temps après leur installation, monsieur (George) retrouve madame dans son lit avec un hache fichée dans le crâne. Inquiété par la police dans un premier temps, il part se réfugier chez ses parents avec son enfant.
Commence alors une longue remontée dans le temps où le couple uni en apparence ne l'est pas tant que ça et George apparaît comme un personnage pour le moins inquiétant, quasi psychopathe.
Cela donne un roman intéressant, mais glaçant. La fin pourtant est un peu décevante et aurait mérité d'être un peu plus travaillée.
Le livre est pourtant très bien écrit et je vais suivre cette auteure.
Commenter  J’apprécie          40



Autres livres de Elizabeth Brundage (1) Voir plus

Lecteurs (1202) Voir plus



Quiz Voir plus

Quiz sur le livre "Dans les angles morts" de Elizabeth Brundage.

Que brûle George dans le champs à côté de chez lui ?

une couverture
un matelas
un oreiller

10 questions
16 lecteurs ont répondu
Thème : Dans les angles morts de Elizabeth BrundageCréer un quiz sur ce livre

{* *}