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4,23

sur 606 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Le Pape, le Kid, l'Iroquois et le lecteur médusé.

Hey, m'sieur Anonyme, quid de votre propension à faire dans le léger jouissif ?
Hein, dis ?
Non pas que je sois devenu soudainement exigeant mais lorsque je me tourne vers quelque chose que je sais pertinement être superficiel, je m'attends à un minimum d'épaisseur stylistique.
Comme un persistant doute quant à l'auteur de ce petit bijou de contrefaçon à la plume aussi pauvre que l'oralité défaillante proposée par la batterie d'élevage de télé-réalistes officiant sur NRJ12, j'en passe et des moins bons, pour peu que ce soit humainement possible.

Le style est inexistant, l'histoire totalement incohérente.
Prenez un puzzle 6 pièces, je sais, j'ai de l'audace à revendre, prises séparément, chacune présentera un intérêt certain. Tentez de les assembler pour en tirer quelque chose de finalement abouti et c'est le cassage de crâne assuré.
Les deux premiers opus de la franchise m'avaient procuré un bien fou, les deux suivants commençaient déjà à s'essoufler.
Celui-là me laisse sans voix. Abandon libérateur aux alentours des 200 premiers feuillets ingurgités sans qu'aucun petit sourire ne soit venu titiller mon cortex habituellement bon public.
Impossible d'y trouver la moindre excuse, plaisir zéro, curseur agacement poussé à son max.

Foultitude de personnages aux pseudos improbables, bordel subtilement baptisé "Au minou joyeux", vacuité abyssale des dialogues, récit labyrinthique que même Icare s'y serait paumé, ma patience est à bout, je lâche l'affaire en souhaitant ardemment que Psycho Killer tienne bien plus du pastiche que du grotesque.
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Ce sixième roman (deuxième depuis l'arrivée de l'Iroquois), n'est clairement plus inspiré.

Le principal argument mis en avant ici est de réunir dans un même roman tous les personnages de l'auteur anonyme. Quelques ingrédients supplémentaires : une comédie musicale, la présence du souverain pontife, sensés relever le niveau, ne permettent guère à la sauce de masquer son manque de saveur.

Le roman est long (près de 600 pages), peine à démarrer et malgré quelques bons mots ici ou là, peine à susciter l'intérêt. La confrontation promise tourne rapidement court, et nous voyons ici un thriller non plus déjanté mais qui devient classique.

Comme preuve de ce manque d'inspiration nous pouvons relever de trop nombreuses blagues scatologiques et l'apparition de créatures proches du dénouement qui ne changent pas grand chose à l'affaire. Les nombreuses références à la pop culture ne parviendront pas non plus à sauver l'ensemble.

L'auteur anonyme succombe par ailleurs à la mode du moment : se débarrasser de personnages de manière brutale. Tout cela flirte avec le conformisme, ce qui est bien dommage.

Bref, voici donc une lecture facile, bien que longue et peu inspirée. Mieux vaut passer son chemin.
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C'est la première fois que j'abandonne un livre d'Anonyme. J'attendais celui-là avec impatience mais je l'ai lâché après une cinquantaine de pages. Trop de personnages, trop de sauts dans le temps. Ça allait dans tous les sens. Peut-être que ça se replace en cours de route mais j'ai pas eu le courage de me rendre plus loin.
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