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EAN : 9791033916772
224 pages
Harper Collins (15/05/2024)
4.38/5   4 notes
Résumé :
« Je ne crois plus au bonheur.
C’est ce que je me suis dit, après avoir touché le fond et essayé littéralement toutes les méthodes prônées par le développement personnel pour m’en sortir.
Car force est de constater que le bonheur est loin de dépendre de notre volonté. Cette prise de conscience, de prime abord fataliste, est au contraire libératrice : en se détachant de l’injonction au bonheur, on peut enfin se concentrer sur ce qui relève réellement de... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique
L'autrice dénonce les recettes du développement personnel. Ces recettes qui sont censées nous aider à trouver des aides ou solutions à nos soucis "personnels" sans aucune nuance. Donc la solution est pour tous, donc universelle qui semble être le contraire de "personnel". Je comprends l'autrice, car pour avoir lu de nombreux livres à ce sujet, je trouve aussi qu'ils manquent de nuances et de préventions. Tout individu est unique ! Et donc les solutions sont également uniques. J'aime lire ces livres car ils m'aident à réfléchir sur ma propre vie mais pas plus.
Je suis aussi assez d'accord avec l'autrice qui souligne que les "solutions" que proposent le développement personnel aident surtout quand tout va bien. Devant les épreuves, il faut avoir la sagesse, la force et la qualité de savoir demander de l'aide.
Un livre qui met devant le bonheur, le SENS de la vie. Et là je pense que l'autrice a raison.
Merci à l'autrice pour ce message.
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Citations et extraits (15) Voir plus Ajouter une citation
Le philosophe Pascal nous livre une analyse particulièrement intéressante de ce qui peut justifier un tel comportement : tant que l'on n'accepte pas sa mort, on se divertit pour ne pas y penser ; on se crée un "flot d'occupations" qui semble viser le bonheur mais qui ne sert en réalité qu'à éviter de penser à nous-même et à notre propre mort.
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On ne choisit pas ce qui nous arrive dans la vie ou ce que les gens disent de nous, mais on peut choisir nos valeurs, et ce sont nos valeurs qui déterminent comment on réagit face à ce qui se présente dans nos vies.
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S'il peut exister une corrélation entre nos "demandes" à l'univers et ce que l'on reçoit effectivement, comme le défendent les partisans de cette théorie, rien ne permet d'en déduire une causalité, ce qui est à l'œuvre n'est autre que le biais de confirmation, un biais psychologique qui révèle que l'on choisit ce à quoi l'on accorde de l'attention.
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La comparaison nous condamne désormais à simuler le bonheur aux yeux de tous, plutôt que de le vivre sans témoins.
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S'il y a un enseignement à retenir de ce chapitre, c'est celui-ci : on ne gagne pas de points bonus à souffrir dans la vie. Alors, la prochaine fois que vous avez besoin d'aide, la chose la plus noble que vous pouvez faire, c'est d'aller en demander.
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