Ouf, enfin terminé ce pavé ! Il m'a fait penser à un paquet de chips ce roman : de prime abord il semble très rempli, mais il y a en fait beaucoup de vide et de passages dispensables. Plus Mimo vieillit et moins il devient attachant. Reste le personnage de Viola qui est prisonnière de sa condition féminine. Très déçue de ce Goncourt qui nous promet sur 580 pages une apothéose qui n'a lieu que sur les 20 dernières, mais à la façon d'un pétard mouillé.
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